Mais les faits sont justes ou c'est des mensonges? J'veux dire par là est-ce que tu as les faits exacts de ce qui y est avancé?
A priori j'ai trouvé les mêmes choses en francais sur de très nombreux sites:
"Arrivé à Médine, Mahomet rassembla ses partisans médinois et mecquois sous une même communauté, l’ouma. Il rédigea un document appelé Constitution de Médine où il appela à la guerre sainte. Après six mois à Médine, il lança des raids pour capturer des caravanes mecquoises allant en Syrie. Il attaqua notamment une caravane durant le mois sacré des païens, s’appropriant un cinquième du butin"
"La victoire de la bataille de Badr, contribua au prestige de Mahomet, bien qu’une histoire de razzia et de pillage en fut à l’origine. Parmi les prisonniers se trouvait un dénommé Al Nadr qui s’était autrefois illustré en se moquant du prophète à la Mecque. Ivre de vengeance, Mahomet en profita pour l’exécuter, et Al Nadr devint la première victime".
" Reprochant aux juifs leur prétendue trahison, Mahomet ordonna l’extermination des membres mâles de la tribu des Qurayza. Emmenés par groupe de cinq, ces hommes sont tous décapités et jetés dans des fosses communes creusées par les musulmans. Toute ressemblance avec des événements récents de l’Histoire européenne du XXième ne serait que fortuite. Les femmes et les enfants sont vendus comme esclaves. Après le carnage, Mahomet prend pour concubine la belle Rayhana, veuve de l’un des suppliciés. "
"En janvier 630, Mahomet entre à la Mecque à la tête d’une armée de 10 000 hommes et sans effusion de sang. Il se rend à la Kaaba, le sanctuaire de tous les Arabes, frappe les idoles aux yeux et ordonne de les détruire avant de retourner à Médine"
"La poétesse Asma bint Marwan avait composé des vers contre cet étranger de Mahomet dont la nouvelle religion l’indignait. Apprenant ses dires un peu trop injurieux à son goût, Mahomet questionna : « N’y aurait-il donc personne pour me débarrasser de la fille de Marwan ? » Un serviteur zélé de Mahomet se porta volontaire en assassinant la malheureuse dans son lit. Lorsque ce serviteur exprima ses craintes quant à la réprobation possible d’Allah devant ce meurtre, preuve que les remords étaient parfois supérieurs dans le cœur de ses guerriers que dans le sien, Mahomet le rassura en lui disant que « même deux chèvres ne se disputeraient pas pour cela ». D’autres poètes suivirent sur la liste noire des assassinés, tel Abu Afak, lui qui avait osé critiquer le prophète."
"Mahomet ordonna également le meurtre de Kab ibn al-Ashraf, fils de femme juive, qui tenta de mobiliser les foules mecquoises contre le prophète. Se faisant passer pour un ami, des partisans musulmans l’assassinèrent durant la nuit, près d’une cascade. On remarquera la tromperie qui précéda cet acte.Il félicita ses serviteurs qui jetèrent à ses pieds la tête coupée de Kab. "