Tags d' étoiles de David à Paris et en Ile de France : La piste d'une opération de déstabilisation russe étudiée

[remake]

Ils ont essayé de s'attirer la sympathie du peuple en TRICHANT . Les autres le font d'une autre manière .
Le peuple n'est pas dupe en grande partie même en utilisant les médias . Il y a le monde réel et virtuel .
en observant le stade de france et le parc des princes . Ils étaient vides.
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Après plusieurs plaintes concernant des dégradations antisémites dans un immeuble du 11e arrondissement de Paris, la plaignante a été filmée en train de taguer elle-même un message antisémite dans l'ascenseur du bâtiment, a appris l'Agence Radio France auprès du parquet de Paris, confirmant une information du journal Le Parisien(Nouvelle fenêtre).

Entre septembre et octobre 2024, cette femme dépose dix plaintes pour des tags ""antisémites""" dans les parties communes de son immeuble. L'exploitation de plusieurs caméras ne permet pas d'identifier un quelconque suspect. Une nouvelle plainte pour un courrier antisémite est déposée par la même personne en décembre 2024. L'enquête détermine alors que le timbre a été payé par la victime elle-même.

L'affaire est résolue grâce à l'installation d'une caméra dans l'ascenseur de l'immeuble. Le 18 janvier, la plaignante et sa fille sont filmées en train de commettre elles-mêmes des tags antisémites.

Placée quelques jours après en garde à vue, la mère a été déférée. L'audience de comparution immédiate pour dégradations racistes et dénonciation mensongère a été renvoyée au 31 mars.

 

[Quovadis]

Ils ont essayé de s'attirer la sympathie du peuple en TRICHANT . Les autres le font d'une autre manière .
Le peuple n'est pas dupe en grande partie même en utilisant les médias . Il y a le monde réel et virtuel .
en observant le stade de france et le parc des princes . Ils étaient vides.
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Après plusieurs plaintes concernant des dégradations antisémites dans un immeuble du 11e arrondissement de Paris, la plaignante a été filmée en train de taguer elle-même un message antisémite dans l'ascenseur du bâtiment, a appris l'Agence Radio France auprès du parquet de Paris, confirmant une information du journal Le Parisien(Nouvelle fenêtre).

Entre septembre et octobre 2024, cette femme dépose dix plaintes pour des tags ""antisémites""" dans les parties communes de son immeuble. L'exploitation de plusieurs caméras ne permet pas d'identifier un quelconque suspect. Une nouvelle plainte pour un courrier antisémite est déposée par la même personne en décembre 2024. L'enquête détermine alors que le timbre a été payé par la victime elle-même.

L'affaire est résolue grâce à l'installation d'une caméra dans l'ascenseur de l'immeuble. Le 18 janvier, la plaignante et sa fille sont filmées en train de commettre elles-mêmes des tags antisémites.

Placée quelques jours après en garde à vue, la mère a été déférée. L'audience de comparution immédiate pour dégradations racistes et dénonciation mensongère a été renvoyée au 31 mars.

Celle qui dénonçait une cabale antisémite dans les médias l’automne dernier sera jugée en mars pour dégradations à caractère antisémite et dénonciation mensongère. Elle a été surprise en flagrant délit.
Les tags antisémites sur sa porte, les étoiles juives sur sa boîte aux lettres, les croix gammées sur son paillasson ont bien existé. Mais le corbeau, c’était elle.
Nancy S., qui s’exposait visage découvert, à l’automne, comme victime de menaces antisémites anonymes, devra s’expliquer au tribunal judiciaire de Paris en mars, pour des dégradations qu’elle est accusée d’avoir minutieusement orchestrées.