La Chambre criminelle (2ème degré) chargé des affaires de terrorisme à l'annexe de la Cour d'Appel à Salé a confirmé, lundi, les peines, allant de 3 mois à 2 ans de prison ferme, prononcées à l'encontre de cinq détenus de la Salafiya Jihadia, impliqués dans une tentative d'évasion collective de la prison centrale de Kénitra.
Ainsi, la Cour d'Appel a confirmé la peine de trois mois de prison ferme, prononcée contre Abdelkader Othmani, qui purge une peine de 15 ans de prison au pénitencier de Kénitra pour terrorisme.
Les dénommés Khalid Tijri, Karim Aouidat, Hassan Harkala et Daoudi Bousselham, condamnés à deux ans de prison ferme chacun, ont vu également leurs peines confirmées par la chambre criminelle.
Les détenus étaient poursuivis pour "association de malfaiteurs en vue de préparer et de commettre des actes terroristes, assistance à un terroriste pour l'aider à s'évader de la prison par le biais de correspondance et du transport, participation et non dénonciation d'un crime terroriste et récidive".
Au début du mois de mai 2008, les services de sécurités avaient fait avorter un projet d'évasion collective d'un groupe de détenus de la Salafiya Jihadia incarcérés à la prison centrale de la ville Kénitra.
Ces détenus, dont le projet était à sa phase finale, ont pu s'assurer la complicité de quatre de leurs acolytes hors de la prison qui devaient les prendre en charge une fois l'évasion réussie.
Auteur : aufait
Ainsi, la Cour d'Appel a confirmé la peine de trois mois de prison ferme, prononcée contre Abdelkader Othmani, qui purge une peine de 15 ans de prison au pénitencier de Kénitra pour terrorisme.
Les dénommés Khalid Tijri, Karim Aouidat, Hassan Harkala et Daoudi Bousselham, condamnés à deux ans de prison ferme chacun, ont vu également leurs peines confirmées par la chambre criminelle.
Les détenus étaient poursuivis pour "association de malfaiteurs en vue de préparer et de commettre des actes terroristes, assistance à un terroriste pour l'aider à s'évader de la prison par le biais de correspondance et du transport, participation et non dénonciation d'un crime terroriste et récidive".
Au début du mois de mai 2008, les services de sécurités avaient fait avorter un projet d'évasion collective d'un groupe de détenus de la Salafiya Jihadia incarcérés à la prison centrale de la ville Kénitra.
Ces détenus, dont le projet était à sa phase finale, ont pu s'assurer la complicité de quatre de leurs acolytes hors de la prison qui devaient les prendre en charge une fois l'évasion réussie.
Auteur : aufait