Le Maure
Taza avant Gaza
Vingt-sept personnes soupçonnées d'appartenir à une cellule terroriste ont été déférées devant la justice marocaine jeudi à Salé, près de Rabat, selon l'agence de presse officielle MAP.
Les mis en cause sont poursuivis "pour constitution d'une bande criminelle dans le but de préparer et commettre des actes terroristes dans le cadre d'un projet collectif visant à porter gravement atteinte à l'ordre public, participation avec récidive, vols qualifiés et coups et blessures", précise la MAP. L'examen du dossier a été reporté au 15 septembre pour permettre à la défense de préparer ses plaidoiries.
Les services de sécurité disent avoir démantelé, en janvier dernier, une cellule "terroriste" composée de 27 éléments. Les investigations auraient permis la découverte d'un arsenal d'armes caché dans trois sites près d'Amghala, à 220km de Laâyoune.
Cette cellule était encadrée par un citoyen marocain opérant dans les camps d'Al-Qaïda dans le nord du Mali et planifiait de perpétrer des actes terroristes en utilisant des ceintures explosives et des voitures piégées, selon la MAP.
Ses membres comptaient attaquer des banques, notamment à Rabat et Casablanca (centre-ouest), pour rassembler les fonds nécessaires au financement de leurs projets terroristes au Maroc et à l'étranger. Le ministère de l'Intérieur avait affirmé à l'époque que des soldats marocains avaient aidé des membres de cette cellule à introduire des armes au Maroc sans appartenir pour autant à cette cellule.
Nouvel Observateur
Les mis en cause sont poursuivis "pour constitution d'une bande criminelle dans le but de préparer et commettre des actes terroristes dans le cadre d'un projet collectif visant à porter gravement atteinte à l'ordre public, participation avec récidive, vols qualifiés et coups et blessures", précise la MAP. L'examen du dossier a été reporté au 15 septembre pour permettre à la défense de préparer ses plaidoiries.
Les services de sécurité disent avoir démantelé, en janvier dernier, une cellule "terroriste" composée de 27 éléments. Les investigations auraient permis la découverte d'un arsenal d'armes caché dans trois sites près d'Amghala, à 220km de Laâyoune.
Cette cellule était encadrée par un citoyen marocain opérant dans les camps d'Al-Qaïda dans le nord du Mali et planifiait de perpétrer des actes terroristes en utilisant des ceintures explosives et des voitures piégées, selon la MAP.
Ses membres comptaient attaquer des banques, notamment à Rabat et Casablanca (centre-ouest), pour rassembler les fonds nécessaires au financement de leurs projets terroristes au Maroc et à l'étranger. Le ministère de l'Intérieur avait affirmé à l'époque que des soldats marocains avaient aidé des membres de cette cellule à introduire des armes au Maroc sans appartenir pour autant à cette cellule.
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