Après plus de 2 ans de bataille judiciaire, le verdict est tombé : Dominique et Isabelle doivent renoncer à appeler leur fils Titeuf.
C'est une histoire judiciaire bien compliquée ! Des parents acharnés auront tout essayé pour que le fils s'appelle Titeuf, jusqu'à ce que l'arrêt rendu hier par la Cour de cassation mette les points sur les « i » : l'enfant, aujourd'hui âgé de plus de 2 ans, s'appelle Grégory Léo.
Retour en arrière : nous sommes en 2009, Dominique et Isabelle souhaitent appeler leur bébé Titeuf. L'officier d'état civil trouve, lui, que ce prénom est « contraire à l'intérêt de l'enfant », puisqu'il fait référence à un personnage de bande-dessinée inventé par Zep. Le procureur de la République assigne les parents devant le juge aux affaires familiales de Pontoise, qui décide que l'enfant ne s'appellera pas ainsi.
Pascale Robert Diard, journaliste au Monde raconte dans ses Chroniques judiciaires que les parents, frustrés, font alors appel devant la Cour d'appel de Versailles. Malheureusement, celle-ci confirme la décision du juge : le prénom Titeuf, « de nature à attirer les moqueries, risque de constituer un réel handicap pour l'enfant devenu adolescent, puis adulte, tant dans ses relations personnelles que professionnelles ».
Les parents s'obstinent encore. Selon eux, il s'agit là d'une « appréciation subjective ». Ils décident de faire une demande de pourvoi en cassation, leur dernier recours. Finalement, donc, ils perdent la bataille.
En 2011, une autre famille avait aussi dû se battre pour que leur enfant s'appelle Daemon !
source : famili.fr
C'est une histoire judiciaire bien compliquée ! Des parents acharnés auront tout essayé pour que le fils s'appelle Titeuf, jusqu'à ce que l'arrêt rendu hier par la Cour de cassation mette les points sur les « i » : l'enfant, aujourd'hui âgé de plus de 2 ans, s'appelle Grégory Léo.
Retour en arrière : nous sommes en 2009, Dominique et Isabelle souhaitent appeler leur bébé Titeuf. L'officier d'état civil trouve, lui, que ce prénom est « contraire à l'intérêt de l'enfant », puisqu'il fait référence à un personnage de bande-dessinée inventé par Zep. Le procureur de la République assigne les parents devant le juge aux affaires familiales de Pontoise, qui décide que l'enfant ne s'appellera pas ainsi.
Pascale Robert Diard, journaliste au Monde raconte dans ses Chroniques judiciaires que les parents, frustrés, font alors appel devant la Cour d'appel de Versailles. Malheureusement, celle-ci confirme la décision du juge : le prénom Titeuf, « de nature à attirer les moqueries, risque de constituer un réel handicap pour l'enfant devenu adolescent, puis adulte, tant dans ses relations personnelles que professionnelles ».
Les parents s'obstinent encore. Selon eux, il s'agit là d'une « appréciation subjective ». Ils décident de faire une demande de pourvoi en cassation, leur dernier recours. Finalement, donc, ils perdent la bataille.
En 2011, une autre famille avait aussi dû se battre pour que leur enfant s'appelle Daemon !
source : famili.fr