Pas dindulgence avec les dé-jeûneurs en public. Mustapha El Khalfi, ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement, était on ne peut plus clair. «Le gouvernement sera ferme dans lapplication de la loi, comme il la fait depuis son investiture», a-t-il précisé. Les membres du mouvement Masayminch (Nous nallons pas jeûner) risquent ainsi des peines de prison sils rompent le jeûne en public durant le mois de ramadan, comme cela est prévu par une loi qui date des années du protectorat français.
L'Economiste
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