Le tribunal correctionnel de Toulouse acondamné ce jeudi à 6 mois de prison dont 3 fermes une femme de 37 ans qui avait refusé le dimanche 15 avril de retirer le niqab de son visage à la demande de policiers.
Elle était poursuivi pour outrage, rebellion et menaces de mort envers les policiers. A l'audience, le procureur avait demandé 6 mois de prison dont 2 fermes. Le tribunal a assorti sa peine d'une amende de 100 euros et de 500 euros de dommages et intérêts à chacun des six policiers parties civiles. Il n'y a pas eu de mandat de dépôt à l'audience. La prévenue a décidé de faire appel.
La jeune femme comparaissait ce 17 mai, un mois après les faits, qu'elle avait contestés. Son interpellation, en pleine après-midi un dimanche sur une place du quartier Bellefontaine, avait été mouvementée. Les policiers s'étaient arrêtés alors qu'elle utilisait des agrès de sport en plein air. Selon la version de la police, il lui avait demandé de dévoiler son visage et de présenter ses papiers.
La jeune femme avait présenté une photocopie de mauvaise qualité de sa carte d'identité et avait refusé de montrer son visage. Son interpellation avait alors donné lieu à des tirs de gaz lacrymogène pour éloigner des riverains, en présence d'enfants. Plaquée au sol et menottée après s'être rebellée, la jeune femme avait été ensuite conduite au commissariat et placée en garde à vue.
France info
Elle était poursuivi pour outrage, rebellion et menaces de mort envers les policiers. A l'audience, le procureur avait demandé 6 mois de prison dont 2 fermes. Le tribunal a assorti sa peine d'une amende de 100 euros et de 500 euros de dommages et intérêts à chacun des six policiers parties civiles. Il n'y a pas eu de mandat de dépôt à l'audience. La prévenue a décidé de faire appel.
La jeune femme comparaissait ce 17 mai, un mois après les faits, qu'elle avait contestés. Son interpellation, en pleine après-midi un dimanche sur une place du quartier Bellefontaine, avait été mouvementée. Les policiers s'étaient arrêtés alors qu'elle utilisait des agrès de sport en plein air. Selon la version de la police, il lui avait demandé de dévoiler son visage et de présenter ses papiers.
La jeune femme avait présenté une photocopie de mauvaise qualité de sa carte d'identité et avait refusé de montrer son visage. Son interpellation avait alors donné lieu à des tirs de gaz lacrymogène pour éloigner des riverains, en présence d'enfants. Plaquée au sol et menottée après s'être rebellée, la jeune femme avait été ensuite conduite au commissariat et placée en garde à vue.
France info