Trop de coïncidences dont quelques unes sont citées par aldajjal. Donc difficile de laisser place au hasard.
La vierge " Marie" avait pris le " dessus" dans la veneration des arabes ( et des chrétiens arabes) , tellement excessif qu'elle devenait une " trinité"...la "pierre noire" representer justement la vierge (kaabu) :
Elle etait venerait ; comme j'ai dis les femmes faisaient des gateaux ( "kolluris" ) dans le texte, voir Epyphane et les " mariamites" !
Premier exemple typique: la réaction énergique des Pères du troisième siècle contre le montanisme. Selon cette secte, la bienheureuse Marie était considérée comme une déesse qui aurait engendré par l'opération d'une puissance céleste et qui aurait réalisé le transfert de l'esprit divin du Christ dans une créature humaine.
Un autre exemple typique: la réaction énergique d'Epiphane contre les Colliridiens, des communautés féminines religieuses (présentes en Arabie et en d'autres régions de l'Asie centrale) au 4e siècle qui offraient à la Vierge sur un autel carré des fouaces de farine d'orge (1). Epiphane se montre scandalisé de cette forme de culte qu'il sait être païen et il se plaint de la simplicité et de l'ignorance de ces femmes qui manifestaient une dévotion si profane et si peu discrète, car, dit Epiphane, Marie n'est pas une divinité et donc, quelque soit l'excellence de sa dignité et de ses vertus, on ne doit pas lui offrir de sacrifices qui sont seulement réservés à Dieu:
« Marie en effet n'est pas Dieu et elle n'a pas reçu un corps du ciel mais elle fut conçue d'un homme et d'une femme. Marie donc, bien qu'elle soit comme un vase honorable, elle est aussi toujours une femme, en rien différente de la nature commune de la femme. Aussi, que Marie soit honorée, tandis que le Père, le Fils et l'Esprit Saint doivent être adorés. Que personne ne se permette d'adorer Marie. » (2)
(
http://www.mariedenazareth.com/13164.0.html?&L=0)
autre ( meme site):
Saint Jean Damascène (environ 650-750)
la periode qui peut nous concerner ..
extrait : "
La doctrine mariale de Jean Damascène peut être considérée comme une synthèse exhaustive et puissante de tout l'enseignement des auteurs chrétiens qui l'ont précédé.
Le concile de Nicée II a reconnu et a repris sa pensée pour la défense du culte des icônes sacrées parce qu'il a su allier la théologie de l'incarnation et la théologie de la beauté, en créant un espace liturgique où "le ciel est descendu sur la terre."
Sont particulièrement importantes quatre homélies mariales : une sur la Nativité de la Vierge, trois sur la Dormition. ...
etc