Trois autres scandales dans le diesel‑gate, l’affaire des diesels tricheurs

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Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
Pour les gens qui n’en avaient pas entendu parler, d’abord un petit résumé des bases de l’affaire.

Dans la première décennies des années 2000, des normes environnementales ont exigé des constructeurs automobiles, que les moteurs soient conçu pour ne pas dépasser certains seuils de rejets pour divers produits sortant des échappements. Ne parvenant pas à mettre au point un moteur dans les normes en assez peu de temps et pour un coût de développement à sa porté, l’entreprise Volkswagen, avait décidé de tromper les contrôles anti‑pollution avec un logiciel de l’ordinateur de la voiture, détectant les contrôles qui se distinguaient assez d’un régime de conduite normale. Le logiciel faisait le maximum pour réduire les rejets pendants les contrôle, mais pour ne pas limiter la puissance du moteur et sa consommation, ne le faisait plus en situation de conduite normale. Seulement, dans une ville des États‑Unis, en faisant des mesures de la pollution, dont les résultats avaient au préalable estimé d’après le parc automobile, des gens ont constaté que la quantité de composé pollution était de loin au delà de ce à quoi ils s’attendaient. De fils en aiguilles, ils sont arrivé à constater que l’anomalie constaté provenait de moteurs diesel, plus polluants que prévu. L’affaire s’est terminé en scandale, celui du procès pour tricherie, fait contre Volkswagen, un procès qui a traîné, traîné et traîne encore.

D’après le documentaire ci‑dessous, on peut voir trois autres scandales dans cette affaire.

Les lois elles‑mêmes sont autant suspectes que les dirigeants de Volkswagen. En effet, les lois autorisent que les système anti‑pollution puissent se couper automatiquement dans des conditions non‑précisées, ce que les constructeurs automobile ne se privent pas de mettre en œuvre, comme ça permet d’augmenter la puissance du moteur et/ou de réduire sa consommation de carburant.

Même après que l’affaire ait fait la une des journaux pendant quelques temps, la même technique de tricherie a continué à être utilisée, sur des moteurs conçus après le début de l’affaire.

Les employé(e)s qui ont parlé, qui ont été victime de représailles de la part de Volkswagen, n’ont bénéficié d’aucune aide, ils ont subit les licenciement comme s’ils avaient vraiment été en faute, n’ont bénéficié d’aucune prolongation exceptionnelle de leurs allocations de chômage. À ce propos, on peut dire que les états ne se sont pas mieux comporté que l’entreprise Volkswagen elle‑même.

Source de ces trois notes (apparemment sans limitation de durée de disponibilité en ligne) :

 
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Note en marge : la victimisation gynocentriste a été l’alibi de choix pour se débarrasser des employés gênants qui parlaient trop ou posaient trop de questions, accusés d’harcèlement ou menaces sur des employéEs.
 
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