Montauban : le témoin a « vu le visage du tueur »
De quoi relancer lenquête ? La description est semble-t-il précise et sans hésitation. Martine dune voix troublée par une émotion bien légitime lâche cette phrase qui laisse tout le monde sans parole : « Jai vu le tueur des parachutistes. » Il est 17 heures et des poussières hier à Montauban à quelques mètres à peine de lendroit où trois parachutistes du 17 e RGP ont été mitraillés jeudi en tout début daprès-midi.
Un tatouage sur la joue gauche
Martine va étayer son affirmation en apportant une précision qui devrait faciliter le travail des enquêteurs dans leurs recherches : « Je faisais des courses. Je sortais de la pharmacie, jallais au bureau de tabac lorsque le tueur ma bousculée. Il sest retourné et, dans le mouvement, la visière de son casque sest relevée de quelques centimètres. Jai alors aperçu un tatouage ou une cicatrice au niveau de sa joue gauche. Jai aussi entrevu ses yeux à travers la visière. Il avait un regard froid, dune lucidité effrayante. Un regard que lon noublie pas. »
La suite se déroule en quelques fractions de secondes à peine. Le tueur regagne son puissant scooter et prend la fuite à travers les rues de Montauban avant de disparaître des écrans vidéo des caméras de sécurité de la ville. Pendant plusieurs heures, Martine va garder un silence total, véritablement paralysée par ce drame. Même son compagnon découvrira ce témoignage hier après-midi.
Lire la suite de larticle : La Dépêche
De quoi relancer lenquête ? La description est semble-t-il précise et sans hésitation. Martine dune voix troublée par une émotion bien légitime lâche cette phrase qui laisse tout le monde sans parole : « Jai vu le tueur des parachutistes. » Il est 17 heures et des poussières hier à Montauban à quelques mètres à peine de lendroit où trois parachutistes du 17 e RGP ont été mitraillés jeudi en tout début daprès-midi.
Un tatouage sur la joue gauche
Martine va étayer son affirmation en apportant une précision qui devrait faciliter le travail des enquêteurs dans leurs recherches : « Je faisais des courses. Je sortais de la pharmacie, jallais au bureau de tabac lorsque le tueur ma bousculée. Il sest retourné et, dans le mouvement, la visière de son casque sest relevée de quelques centimètres. Jai alors aperçu un tatouage ou une cicatrice au niveau de sa joue gauche. Jai aussi entrevu ses yeux à travers la visière. Il avait un regard froid, dune lucidité effrayante. Un regard que lon noublie pas. »
La suite se déroule en quelques fractions de secondes à peine. Le tueur regagne son puissant scooter et prend la fuite à travers les rues de Montauban avant de disparaître des écrans vidéo des caméras de sécurité de la ville. Pendant plusieurs heures, Martine va garder un silence total, véritablement paralysée par ce drame. Même son compagnon découvrira ce témoignage hier après-midi.
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