Tzipi Livni annonce des élections anticipées

un truc m échape dans ces élections vous me diriez com ttes celles qui l ont precedées..le parti shass n'est il pas un parti extremistes?comment pe il faire autant d'audience et etre aussi plebicité?Israel n'est elle pas une démocratie et ce parti a des valeurs qui vont à l'encontre de cette dernière et sont contraire à celles de l ONU et du droit international?!!

:rolleyes:

Voilà un des problèmes: même si un "grand" parti (Kadima et/ou Travaillistes) voulait faire la paix (on y est pas encore, loin de là), il est obligé de faire coalition avec ses petits partis extrémistes qui ne seront bien sur jamais d'accord.

Sinon on dit que Netanyahu a ses chances, super...
 

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
Voilà un des problèmes: même si un "grand" parti (Kadima et/ou Travaillistes) voulait faire la paix (on y est pas encore, loin de là), il est obligé de faire coalition avec ses petits partis extrémistes qui ne seront bien sur jamais d'accord.

Sinon on dit que Netanyahu a ses chances, super...
après on vient de nous parler de laicité :rolleyes:

laissez moi me marrer :D
 

farid_h

<defunct>
Contributeur
Voil`a un des problemes: meme si un "grand" parti (Kadima et/ou Travaillistes) voulait faire la paix (on y est pas encore, loin de l`a), il est oblige de faire coalition avec ses petits partis extremistes qui ne seront bien sur jamais d'accord.

Sinon on dit que Netanyahu a ses chances, super...

Yep, c'est ce que j'ai toujours critique: meme le timing politique des palestiniens et israeliens n'est jamais synchronise. Quand les uns veulent faire la paix, de l'autre cote on a des faucons au pouvoir. Plus tard, la situation bascule des deux cotes... et on a les autres qui veulent la paix, alors que les uns ont des faucons de leur cote.

C'est toujours la meme chose et rien ne semble changer. C'est ce qu'on appelle une situation politique meta-stable (stable dans le sense negatif du terme: ca contribue a cimenter le conflit).
 

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
Yep, c'est ce que j'ai toujours critique: meme le timing politique des palestiniens et israeliens n'est jamais synchronise. Quand les uns veulent faire la paix, de l'autre cote on a des faucons au pouvoir. Plus tard, la situation bascule des deux cotes... et on a les autres qui veulent la paix, alors que les uns ont des faucons de leur cote.

C'est toujours la meme chose et rien ne semble changer. C'est ce qu'on appelle une situation politique meta-stable (stable dans le sense negatif du terme: ca contribue a cimenter le conflit).
des faucons qui deviennent leur pote com par magie kan ils le désirent :rolleyes:
 

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
Pas de gouvernement Livni en Israël
mercredi 29 octobre 2008 - 06h:58

Juan Miguel Muñoz - El Païs


Le rabbin a décidé et Tzipi Livni voit s&#8217;évanouir son désir de former un gouvernement en Israël. Ovadia Yossef, 87 ans, chef spirituel du parti ultra-orthodoxe Shas, a administré hier un coup mortel aux négociations avec Kadima. :D


Conscient du fait que son soutien est essentiel à Livni pour disposer d&#8217;un gouvernement fort, le parti qui partage le vote séfarade a tendu la corde. Sans céder un pouce.

Le refus du Shas ouvre la porte à des élections anticipées.

Shas a affirmé que la candidate s&#8217;engageait à octroyer 200 millions d&#8217;euros en subventions aux familles nombreuses et aux écoles Talmud, à exclure Jérusalem des négociations avec les Palestiniens. Livni, qui s&#8217;est approchée de l&#8217;offre économico-politique, mais a rejeté la demande concernant la ville sainte, a lancé jeudi un ultimatum. Shas a répondu hier en annonçant qu&#8217;il ne se joindrait pas au gouvernement.

Aux vues des allers et venues incessantes à sa résidence de Jérusalem, il semblerait que le candidat à la succession d&#8217;Ehud Olmert soit le puissant rabbin Yossef. Aucun des dirigeants politiques a manqué le rendez-vous au cours des dernières semaines. Après consultation avec les rabbins du Conseil des Sages du parti, Yossef a donné dans la dentelle avec Livni, bien que dans le souk de la politique israélienne, rien ne soit acquis tant qu&#8217;il n&#8217;a pas été mené à terme.

La rupture autant que l&#8217;ultimatum de la candidate peuvent être des pièces de plus dans le casse-tête de la négociation. « Shas ne peut pas être acheté et ne vendra pas Jérusalem. Cela a toujours été notre ligne de conduite. S&#8217;ils s&#8217;étaient engagés à ne pas négocier sur Jérusalem, nous aurions pu approuver l&#8217;accord ", a déclaré hier, Eli Yishai, président du Shas. Dans Kadima ils suspectent que le refus de négocier avec Livni était convenu d&#8217;avance avec la droite israélienne.

Livni avait promis une nouvelle façon de faire de la politique. Mais le mois de négociations que Kadima a tenu avec différents partis de la coalition au pouvoir et de l&#8217;opposition ont mis en évidence que le commerce et l&#8217;extorsion ont de nouveau dominé le tortueux processus de formation de gouvernement. Kadima est d&#8217;accord avec le président travailliste, Ehud Barak, pour renforcer les 48 députés de l&#8217;alliance dans une chambre de 120 sièges. Il est apparu aussi crucial de se joindre au parti Shas, qui a fait irruption sur la scène avec les exigences énumérées ci-dessus. À l&#8217;époque, Livni dialoguait avec la gauche Meretz (cinq sièges), l&#8217;opposé de Shas. Le parti des pensionnés, pour sa part, a exigé plus d&#8217;argent et d&#8217;aides pour les retraités. Enfin, Shas et les sept parlementaires retraités ont coupé les ponts. Et Livni a épuisé les alternatives.

Parce que même son intention de former un gouvernement avec une minorité parlementaire se heurte aux menaces d&#8217;une demi-douzaine de collègues députés, précisément ceux qui ont appuyé Saul Mofaz dans les élections primaires de Kadima.

Ca sent les élections anticipées. Livni, qui va annoncer demain sa préférence pour le président, Shimon Peres, a deux options : former un gouvernement minoritaire instable, en s&#8217;appuyant sur la gauche Meretz et sur les partis arabes (très peu probable, étant donné le refus d&#8217;ouverture que cette possibilité suscite dans Kadima- ou elle opte pour des élections anticipées.

Une anticipation que Livni voulait éviter à tout prix. D&#8217;abord, parce que la crise économique guette Israël et qu&#8217;embarquer le pays dans une coûteuse campagne électorale n&#8217;est pas la meilleure recette pour y faire face. Deuxièmement, parce que les négociations (bien qu&#8217;elles n&#8217;aient obtenu aucun résultat en un an) avec les Palestiniens et les Syriens souffriraient d&#8217;un ralentissement ou d&#8217;un déraillement. Et, bien sûr, parce que le favori dans les sondages est l&#8217;homme de droite Benjamin Netanyahu, chef du Likoud. Le rabbin Yosef méditera au cours du Sabbath. C&#8217;est lui qui a le dernier mot.
:D
 
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