Un condamné pour terrorisme, interdit du territoire français, peut être renvoyé en algérie

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion GPA2SOU
  • Date de début Date de début

GPA2SOU

Personne n'a le droit de mourir le ventre vide
Dans son arrêt de chambre 1 , rendu ce jour dans l’affaire A.M. c. France (requête n o 12148/18), la
Cour européenne des droits de l’homme dit, à l’unanimité, que :

Dans l’éventualité de la mise à exécution de la décision de renvoyer le requérant vers l’Algérie, il
n’y aurait pas violation de l’article 3 (interdiction de la torture et des traitements inhumains ou
dégradants) de la Convention européenne des droits de l’homme.

L’affaire concerne le renvoi vers l’Algérie du requérant condamné en France en 2015 pour
participation à des actes de terrorisme et interdit définitivement du territoire français.

La Cour conclut que la situation générale en matière de traitement des personnes liées au terrorisme
en Algérie n’empêche pas, en soi, l’éloignement du requérant.

La Cour partage la même conclusion que les juridictions françaises. Elle considère que leur
appréciation est adéquate et suffisamment étayée par les données internes ainsi que celles
provenant d’autres sources fiables et objectives.

La Cour considère qu’il n’existe pas de motifs sérieux et avérés de croire que s’il était renvoyé en
Algérie, le requérant y courrait un risque réel d’être soumis à un traitement contraire à l’article 3 de
la Convention et elle estime en conséquence qu’un tel renvoi n’emporterait pas violation de
l’article 3 de la Convention.

Source et plus de lecture sur https://hudoc.echr.coe.int/app/conv...ce%20-%20expulsion%20vers%20l%27Alg%E9rie.pdf
 
Dans son arrêt de chambre 1 , rendu ce jour dans l’affaire A.M. c. France (requête n o 12148/18), la
Cour européenne des droits de l’homme dit, à l’unanimité, que :

Dans l’éventualité de la mise à exécution de la décision de renvoyer le requérant vers l’Algérie, il
n’y aurait pas violation de l’article 3 (interdiction de la torture et des traitements inhumains ou
dégradants) de la Convention européenne des droits de l’homme.

L’affaire concerne le renvoi vers l’Algérie du requérant condamné en France en 2015 pour
participation à des actes de terrorisme et interdit définitivement du territoire français.

La Cour conclut que la situation générale en matière de traitement des personnes liées au terrorisme
en Algérie n’empêche pas, en soi, l’éloignement du requérant.

La Cour partage la même conclusion que les juridictions françaises. Elle considère que leur
appréciation est adéquate et suffisamment étayée par les données internes ainsi que celles
provenant d’autres sources fiables et objectives.

La Cour considère qu’il n’existe pas de motifs sérieux et avérés de croire que s’il était renvoyé en
Algérie, le requérant y courrait un risque réel d’être soumis à un traitement contraire à l’article 3 de
la Convention et elle estime en conséquence qu’un tel renvoi n’emporterait pas violation de
l’article 3 de la Convention.

Source et plus de lecture sur https://hudoc.echr.coe.int/app/conv...ce%20-%20expulsion%20vers%20l%27Alg%E9rie.pdf
C'est vieux cette histoire ....Avril ;) et c'est pas un poisson !
Le cas jugé concerne Ali Meguimi, interpellé en 2013 et condamné en 2015 par le tribunal correctionnel de Paris à six ans de prison et à une interdiction définitive de territoire français pour « participation à une association de malfaiteurs en vue de la préparation d’un acte terroriste ». Il lui avait été reproché un soutien actif à des responsables algériens de l’organisation terroriste Al-Qaida au Maghreb islamique (AQMI), qu’il voulait rejoindre, ainsi que d’avoir listé des cibles d’attentat possibles en France. Sous le coup d’un arrêté d’expulsion pris par la préfecture de la Loire en 2018, Ali Meguimi avait saisi la CEDH.
 
C'est vieux cette histoire ....Avril ;) et c'est pas un poisson !
Le cas jugé concerne Ali Meguimi, interpellé en 2013 et condamné en 2015 par le tribunal correctionnel de Paris à six ans de prison et à une interdiction définitive de territoire français pour « participation à une association de malfaiteurs en vue de la préparation d’un acte terroriste ». Il lui avait été reproché un soutien actif à des responsables algériens de l’organisation terroriste Al-Qaida au Maghreb islamique (AQMI), qu’il voulait rejoindre, ainsi que d’avoir listé des cibles d’attentat possibles en France. Sous le coup d’un arrêté d’expulsion pris par la préfecture de la Loire en 2018, Ali Meguimi avait saisi la CEDH.

Oui je connais cette histoire

Interpellé en 2013 condamné en 2015 mais le doc lui date de 2019 donc c'était juste pour une petite "maj"
 
bizarre quand même quant on sait que la france a recueilli des centaines de terroristes du GIA, une époque révolue ?
je ne crois pas, les bons terroristes sont payés et envoyés je ne sais où pour faire le sale boulot

les véritables terroristes sont à l'elysée, y'a pas de secret !
 
bizarre quand même quant on sait que la france a recueilli des centaines de terroristes du GIA, une époque révolue ?
je ne crois pas, les bons terroristes sont payés et envoyés je ne sais où pour faire le sale boulot

les véritables terroristes sont à l'elysée, y'a pas de secret !

la France a accueilli les terroristes du GIA ?? :D mort de rire, !!!

ceux sont tes généraux assassins qui ont créé, nourri, armé et dirigé les GIA ...

et dis merci à la France où tu étais caché et où tu mangeais du bon pain ..., si tu étais en algérie, ta tête aura terminé sur un trottoir :D
 
Retour
Haut