Le mouvement s'est créé. Puis, il a eu le soutien de quelques personnalités (Moulay Hicham, Mohamed Bensaid Ait Idder, Miloud Chaâbi, Karim Tazi), des partis et formations politiques (Parti Socialiste Unifié, Annahj Addimocrati, Al Adl Wal Ihsane), et de nombreuses associations (AMDH, Amnesty, Adala, etc.) et syndicats (SNPM, CDT, UMT, ODT).
Le mouvement n'a jamais cherché ce soutien. Il s'est adressé à la jeunesse marocaine sur internet et ne s'est jamais adressé à ces personnalités, ces partis et formations politiques, et ces nombreuses associations qu'ils l'ont offert leur soutien. Quelques partis et formations politiques ont proposé à ces jeunes de rejoindre leurs groupements politiques ; propositions qui ont été refusées par ces jeunes qui s'opposent à toutes sortes d'activisme et d'alliances politiques et qui veulent rester fidèles à leur statut de mouvement social.
Bref, la pratique des jeunes du mouvement 20 février prouve quils sopposent à tout rôle politique et quils ne cherchent pas dêtre plus que mouvement social.