Un grand merci à caroline fourest!

« Convoqué par la police pour avoir qualifié Caroline Fourest de « désinformatrice »

Démystifier publiquement le travail "journalistique" de Caroline Fourest peut vous conduire au tribunal. Tel est mon cas.
Journaliste indépendant, je devrai prochainement me présenter devant un juge d'instruction à la suite d'une plainte en diffamation déposée à mon encontre "par Caroline Guillemot-Fourest": un policier en charge du dossier m'a récemment convoqué à son bureau pour m'en informer.La plaignante me reproche les mots utilisés à son endroit dans deux articles publiés en février 2013, l'un sur le site Oumma, l'autre sur mon blog. Termes visés : "bidonnage", "désinformatrice", "opération frauduleuse", "escroquerie journalistique", "elle ment".
Le fond de l'affaire? Ma démonstration de l'altération d'une interview (visible ici) relative à la connexion israélienne du 11-Septembre et extraite d'un documentaire réalisé par Caroline Fourest pour France 5. Le témoignage portait sur les agents des services secrets israéliens qui ont été arrêtés aux abords de New York le 11 septembre 2001 pour avoir manifesté une joie incongrue cinq minutes après l'impact du premier avion dans le World Trade Center. Au lieu du mot "pincer", prononcé par l'interviewé dont la voix fut déformée, le sous-titrage afficha le mot"passer" suivi de trois points de suspension. Le sens de la phrase en fut donc modifié : il n'était plus question de la réalité de l'arrestation policière d'agents secrets israéliens.L'homme interrogé par l'équipe de Caroline Fourest, dénommé Raphaël Berland, m'a contacté à la suite de la mise en ligne de mon article afin de me confirmer avoir bien prononcé le mot "pincer".
Quelques jours plus tard, le journaliste d'investigation Denis Robert avait salué mon article -partagé alors par plus de 3000 utilisateurs de Facebook- sur son propre compte.
Quant à Caroline Fourest, elle aurait pu contre-argumenter en demandant un droit de réponse ou en rédigeant une tribune adressée à l'un des nombreux médias auxquels elle collabore. Il n'en fut rien.Caroline Fourest lance une fatwa contre moi
Je bénéficie visiblement d'un traitement "privilégié" auprès de l'essayiste : depuis une dizaine d'années, nombreux -intellectuels, militants, journalistes, politiques, sociologues- sont celles et ceux à avoir qualifié l'intéressée de "menteuse" ou d'"affabulatrice". En 2011, le géopolitologue Pascal Boniface et l'activiste Sadri Khiari avaient même usé de l'expression"sérial-menteuse" dans leurs ouvrages respectifs à son propos. Aujourd'hui, en s'attaquant à ma personne, Caroline Fourest règle également des comptes vieux de trois ans.Depuis 2010, j'ai révélé, sur Oumma et sur mon blog, plusieurs dérapages verbaux, réunis dans un dossier consultable en ligne et commis par celle qui se targue d'être une journaliste-militante-antiraciste-laïque-et-universaliste. Qu'il s'agisse de sa proposition d'"interdire le Coran en prison", de sa présentation de la "mise en scène" de soi comme un trait culturel spécifique aux Algériens et aux Marocains, ou encore de son altération d'un témoignage politiquement incorrect à propos du 11-Septembre, Caroline Fourest peut me considérer, à juste titre, comme son adversaire intellectuel sur le terrain de l'information. Depuis l'arrivée du Parti socialiste au pouvoir, son influence politico-médiatique s'est accrue : voilà pourquoi il importe, plus que jamais, de continuer à décrypter les allégeances idéologiques du personnage et ses petits arrangements avec la vérité. Sa proximité, de plus en plus affichée, avec Manuel Valls et Bernard-Henri Lévy -autres personnages publics auxquels j'ai consacré des enquêtes embarrassantes- renforce et consolide sa force de frappe -ainsi que sa capacité de nuisance- dans le débat d'idées.
Au-delà de mon cas personnel, sa manoeuvre d'intimidation judiciaire ne doit pas laisser indifférent. Et peu importe ici ce que chacun pense du 11-Septembre : en altérant le témoignage d'un documentaire co-produit par le service public de France Télévisions, Caroline Fourest a trahi la confiance du citoyen, à la fois téléspectateur et contribuable. Ironie du sort : pour la première fois depuis 2001, une cour de justice devra aborder, sur le fond, la question taboue de la connexion israélienne du 11-Septembre. Ce n'est pas là une formule rhétorique : en 2002, Roger Cukierman, président du Crif, avait reproché à Jean-Marie Colombani, directeur du Monde, d'avoir évoqué -dans son journal- l'affaire des agents secrets israéliens déguisés en artistes qui gravitaient, en 2000/2001, autour des futurs pirates de l'air présumés. Revenu récemment à la tête du Crif -un organisme qui relaie régulièrement les billets de Caroline Fourest-, il n'est pas certain que Roger Cukierman puisse apprécier une telle publicité susceptible de relancer l'intérêt des citoyens pour ce sujet passé sous silence et auquel je viens précisément de consacrer un ouvrage intituléIsraël et le 11-Septembre : le grand tabou. Nulle pseudo-"théorie du complot" en la matière : ce dont il est question ici, c'est du terrorisme d'Etat sous fausse bannière -pratique militaire dont Israël n'a pas le monopole- et de sa trace factuellement étayée dans les évènements du 11 septembre 2001.
En utilisant la police et la justice pour tenter de baillôner la liberté de critique à son sujet, Caroline Fourest va contribuer -bien malgré elle- à raviver, dans l'espace public, le débat relatif au degré d'implication du Mossad dans un attentat terroriste de grande ampleur. Et c'est en France, douze ans après et au coeur d'une enceinte judiciaire, que ce problème crucial -relatif à une manipulation géopolitique de l'opinion publique internationale- va désormais refaire surface. Merci, Caroline Fourest.

Hicham HAMZA



Edit: c est plus digeste comme ca
http://www.panamza.com/29122013-police-fourest-desinformatrice
 
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« Convoqué par la police pour avoir qualifié Caroline Fourest de « désinformatrice »

Démystifier publiquement le travail "journalistique" de Caroline Fourest peut vous conduire au tribunal. Tel est mon cas.Journaliste indépendant, je devrai prochainement me présenter devant un juge d'instruction à la suite d'une plainte en diffamation déposée à mon encontre "par Caroline Guillemot-Fourest": un policier en charge du dossier m'a récemment convoqué à son bureau pour m'en informer.La plaignante me reproche les mots utilisés à son endroit dans deux articles publiés en février 2013, l'un sur le site Oumma, l'autre sur mon blog. Termes visés : "bidonnage", "désinformatrice", "opération frauduleuse", "escroquerie journalistique", "elle ment".Le fond de l'affaire? Ma démonstration de l'altération d'une interview (visible ici) relative à la connexion israélienne du 11-Septembre et extraite d'un documentaire réalisé par Caroline Fourest pour France 5. Le témoignage portait sur les agents des services secrets israéliens qui ont été arrêtés aux abords de New York le 11 septembre 2001 pour avoir manifesté une joie incongrue cinq minutes après l'impact du premier avion dans le World Trade Center. Au lieu du mot "pincer", prononcé par l'interviewé dont la voix fut déformée, le sous-titrage afficha le mot"passer" suivi de trois points de suspension. Le sens de la phrase en fut donc modifié : il n'était plus question de la réalité de l'arrestation policière d'agents secrets israéliens.L'homme interrogé par l'équipe de Caroline Fourest, dénommé Raphaël Berland, m'a contacté à la suite de la mise en ligne de mon article afin de me confirmer avoir bien prononcé le mot "pincer".Quelques jours plus tard, le journaliste d'investigation Denis Robert avait salué mon article -partagé alors par plus de 3000 utilisateurs de Facebook- sur son propre compte.Quant à Caroline Fourest, elle aurait pu contre-argumenter en demandant un droit de réponse ou en rédigeant une tribune adressée à l'un des nombreux médias auxquels elle collabore. Il n'en fut rien.Caroline Fourest lance une fatwa contre moiJe bénéficie visiblement d'un traitement "privilégié" auprès de l'essayiste : depuis une dizaine d'années, nombreux -intellectuels, militants, journalistes, politiques, sociologues- sont celles et ceux à avoir qualifié l'intéressée de "menteuse" ou d'"affabulatrice". En 2011, le géopolitologue Pascal Boniface et l'activiste Sadri Khiari avaient même usé de l'expression"sérial-menteuse" dans leurs ouvrages respectifs à son propos. Aujourd'hui, en s'attaquant à ma personne, Caroline Fourest règle également des comptes vieux de trois ans.Depuis 2010, j'ai révélé, sur Oumma et sur mon blog, plusieurs dérapages verbaux, réunis dans un dossier consultable en ligne et commis par celle qui se targue d'être une journaliste-militante-antiraciste-laïque-et-universaliste. Qu'il s'agisse de sa proposition d'"interdire le Coran en prison", de sa présentation de la "mise en scène" de soi comme un trait culturel spécifique aux Algériens et aux Marocains, ou encore de son altération d'un témoignage politiquement incorrect à propos du 11-Septembre, Caroline Fourest peut me considérer, à juste titre, comme son adversaire intellectuel sur le terrain de l'information. Depuis l'arrivée du Parti socialiste au pouvoir, son influence politico-médiatique s'est accrue : voilà pourquoi il importe, plus que jamais, de continuer à décrypter les allégeances idéologiques du personnage et ses petits arrangements avec la vérité. Sa proximité, de plus en plus affichée, avec Manuel Valls etBernard-Henri Lévy -autres personnages publics auxquels j'ai consacré des enquêtes embarrassantes- renforce et consolide sa force de frappe -ainsi que sa capacité de nuisance- dans le débat d'idées.Au-delà de mon cas personnel, sa manoeuvre d'intimidation judiciaire ne doit pas laisser indifférent. Et peu importe ici ce que chacun pense du 11-Septembre : en altérant le témoignage d'un documentaire co-produit par le service public de France Télévisions, Caroline Fourest a trahi la confiance du citoyen, à la fois téléspectateur et contribuable. Ironie du sort : pour la première fois depuis 2001, une cour de justice devra aborder, sur le fond, la question taboue de la connexion israélienne du 11-Septembre. Ce n'est pas là une formule rhétorique : en 2002, Roger Cukierman, président du Crif, avait reproché à Jean-Marie Colombani, directeur du Monde, d'avoir évoqué -dans son journal- l'affaire des agents secrets israéliens déguisés en artistes qui gravitaient, en 2000/2001, autour des futurs pirates de l'air présumés. Revenu récemment à la tête du Crif -un organisme qui relaie régulièrement les billets de Caroline Fourest-, il n'est pas certain que Roger Cukierman puisse apprécier une telle publicité susceptible de relancer l'intérêt des citoyens pour ce sujet passé sous silence et auquel je viens précisément de consacrer un ouvrage intituléIsraël et le 11-Septembre : le grand tabou. Nulle pseudo-"théorie du complot" en la matière : ce dont il est question ici, c'est du terrorisme d'Etat sous fausse bannière -pratique militaire dont Israël n'a pas le monopole- et de sa trace factuellement étayée dans les évènements du 11 septembre 2001.En utilisant la police et la justice pour tenter de baillôner la liberté de critique à son sujet, Caroline Fourest va contribuer -bien malgré elle- à raviver, dans l'espace public, le débat relatif au degré d'implication du Mossad dans un attentat terroriste de grande ampleur. Et c'est en France, douze ans après et au coeur d'une enceinte judiciaire, que ce problème crucial -relatif à une manipulation géopolitique de l'opinion publique internationale- va désormais refaire surface. Merci, Caroline Fourest.

Hicham HAMZA




http://www.panamza.com/29122013-police-fourest-desinformatrice

Lol Fourest...pour se faire passer pour ce quelle n'est pas elle t'attaque en justice quand tu démontres incohérence et contradiction dans ses oeuvres, c'est une sacré chipie...:D
 
Attendons le jugement pour savoir qui a raison dans cette affaire...;)

Toi on sais que c'est Caro que tu soutiens, tous ça parce qu'elle diabolise les musulmans, tu t'en tape pas mal des inchoérence, mensonge et altération d'infos quelle fait pour diabolisé la communauté musulmane, faut dire que sa t'arranges, tout en se prétendant respectueuse de cette communauté pour brouiller les pistes.
 
Toi on sais que c'est Caro que tu soutiens, tous ça parce qu'elle diabolise les musulmans, tu t'en tape pas mal des inchoérence, mensonge et altération d'infos quelle fait pour diabolisé la communauté musulmane, faut dire que sa t'arranges, tout en se prétendant respectueuse de cette communauté pour brouiller les pistes.

Figure toi que cette femme a déjà été condamnée pour diffamation en 2012 il me semble . Malhonnêteté intellectuelle déjà démontrée .. Son avocat était aussi celui de Charlie Hebdo pour l'affaire des caricatures, et celui qui gère le cas Patrick Cohen (via France Info) vs Dieudonné aujourd'hui :intello:
 
Figure toi que cette femme a déjà été condamnée pour diffamation en 2012 il me semble . Malhonnêteté intellectuelle déjà démontrée .. Son avocat était aussi celui de Charlie Hebdo pour l'affaire des caricatures, et celui qui gère le cas Patrick Cohen (via France Info) vs Dieudonné aujourd'hui :intello:

Tu sais Sifaoui à essayer d'expliquer que se balader seins nue dans la rue c'est pas contraire à la loi (en référence au femen)...je crois qu'à partir de là tout est dit.
 
Tu sais Sifaoui à essayer d'expliquer que se balader seins nue dans la rue c'est pas contraire à la loi (en référence au femen)...je crois qu'à partir de là tout est dit.

LOL
Tu fais bien de dire "essayer" paske c'est juste .. techniquement impossible dans le monde réel sans camisole :D
L'attentat à la pudeur, ça existe et c'est appliqué "normalement" .
 
Toi on sais que c'est Caro que tu soutiens, tous ça parce qu'elle diabolise les musulmans, tu t'en tape pas mal des inchoérence, mensonge et altération d'infos quelle fait pour diabolisé la communauté musulmane, faut dire que sa t'arranges, tout en se prétendant respectueuse de cette communauté pour brouiller les pistes.
Tout ce que tu affirmes ce n'est que du blabla de journaliste, attendons de voir ce que la justice décide et qui a raison.
Je ne soutiens personne sans preuves, en attendant c'est elle qui a porté plainte et pas l'autre....:D
 
Tout ce que tu affirmes ce n'est que du blabla de journaliste, attendons de voir ce que la justice décide et qui a raison.
Je ne soutiens personne sans preuves, en attendant c'est elle qui a porté plainte et pas l'autre....:D

Bien sur que si tu soutient sans preuves, tu est du côté de Caroline on le sait bien fait pas semblant, tu espères que Caroline gagnera le procès pour faire un raccourcis disant que si la justice lui donne raison, c'est que les preuves sont là, même si celles ci démontre le contraire.
 
T'as pas l'air de savoir ce que c'est un attentat à la pudeur, étudie la question, lis et reviens nous voir après...:D

Montré ses seins nue en publique c'est un viol de l'article 222-32 du code civil, tu fais semblant de pas savoir encore une fois...le pire c'est qu'après tu nous sors que tu juge personne sans preuve, la mauvaise foi c'est ta nature propre.

Tiens au faite toi qui disait que si les femen n'était pas poursuivie par la justice c'est quelles n'avaient rien fait (encore un de tes jolie raccourcis) et bien sache qu'elles sont actuellement poursuivie par la justice pour dégradation dans un lieu de culte...(et là les preuves c'est pas ce qu'il manque elles même s'en vante) inutile de me répondre, ta mauvaise foi va encore tous faire pour esquiver l'évidence...
 
Bien sur que si tu soutient sans preuves, tu est du côté de Caroline on le sait bien fait pas semblant, tu espères que Caroline gagnera le procès pour faire un raccourcis disant que si la justice lui donne raison, c'est que les preuves sont là, même si celles ci démontre le contraire.
Quand vas tu arrêter de scénariser la vie des intervenants?
Tu travailles trop du cerveau, on ne se connaît pas, occupe toi du fil et de débattre sans attribuer des idées aux autres qui n'ont pas été dîtes.
je ne soutiens rien du tout, je me contente des faits et là c'est elle qui porte plainte!
 
Montré ses seins nue en publique c'est un viol de l'article 222-32 du code civil, tu fais semblant de pas savoir encore une fois...le pire c'est qu'après tu nous sors que tu juge personne sans preuve, la mauvaise foi c'est ta nature propre.

Tiens au faite toi qui disait que si les femen n'était pas poursuivie par la justice c'est quelles n'avaient rien fait (encore un de tes jolie raccourcis) et bien sache qu'elles sont actuellement poursuivie par la justice pour dégradation dans un lieu de culte...(et là les preuves c'est pas ce qu'il manque elles même s'en vante) inutile de me répondre, ta mauvaise foi va encore tous faire pour esquiver l'évidence...
Elles sont poursuivies pour dégradation, c'est ce que tu dis?
Alors qu'en est-il des seins nus?
Selon tes affirmations elles devraient être poursuivies pour attentat à la pudeur non?
je vois que tu connais la loi...:D
 
Quand vas tu arrêter de scénariser la vie des intervenants?
Tu travailles trop du cerveau, on ne se connaît pas, occupe toi du fil et de débattre sans attribuer des idées aux autres qui n'ont pas été dîtes.
je ne soutiens rien du tout, je me contente des faits et là c'est elle qui porte plainte!

Ce n'est pas parce que on porte plainte contre quelqu'un que les faits sont avéré, si il suffisait juste de ça pour emprisonné quelqu'un tous le monde serait en taule.

T'es pathétique.
 
Ce n'est pas parce que on porte plainte contre quelqu'un que les faits sont avéré, si il suffisait juste de ça pour emprisonné quelqu'un tous le monde serait en taule.

T'es pathétique.
Evidemment, inutile de rajouter pathétique, laissons faire la justice!
Et porter plainte sans preuves c'est s'exposer à une condamnation pour procédure abusive qui peut coûter très cher.
Je pense que ses avocats sont au courant...;)
 
Elles sont poursuivies pour dégradation, c'est ce que tu dis?
Alors qu'en est-il des seins nus?
Selon tes affirmations elles devraient être poursuivies pour attentat à la pudeur non?
je vois que tu connais la loi...:D

Commence pas à faire genre que c'étais que pour l'histoire de la nudité en publique, c'étais bien dans l'optique de tous ce dont on les a accusé (trouble à l'ordre publique, agressions, profanation, etc...) tu croyais vraiment que t'aller tromper tous le monde avec un raccourcis aussi simpliste que :

Pas de poursuite judiciaire = aucun méfait autant que tu crois tromper tous le monde avec si poursuite judiciaire = méfait ?

Une chose que tu omets de façon volontaire c'est les preuves, sauf quand elle servent ton intérêt.
 
je parie que cette affaire se terminera par... Rien
C'est clair, elles sont juste poursuivies pour dégradation sur une cloche, ce qui loin d'être prouvé.:D

Le tribunal correctionnel de Paris a renvoyé vendredi au 19 février 2014, le procès de neuf membres du groupe féministe Femen, poursuivies pour des dégradations sur les cloches de Notre-Dame de Paris, lors de leur action en février dernier. Le premier procès des Femen en France a ainsi tourné court après un peu plus d'une heure d'audience.
 
« Convoqué par la police pour avoir qualifié Caroline Fourest de « désinformatrice »

Démystifier publiquement le travail "journalistique" de Caroline Fourest peut vous conduire au tribunal. Tel est mon cas.
Journaliste indépendant, je devrai prochainement me présenter devant un juge d'instruction à la suite d'une plainte en diffamation déposée à mon encontre "par Caroline Guillemot-Fourest": un policier en charge du dossier m'a récemment convoqué à son bureau pour m'en informer.La plaignante me reproche les mots utilisés à son endroit dans deux articles publiés en février 2013, l'un sur le site Oumma, l'autre sur mon blog. Termes visés : "bidonnage", "désinformatrice", "opération frauduleuse", "escroquerie journalistique", "elle ment".
Le fond de l'affaire? Ma démonstration de l'altération d'une interview (visible ici) relative à la connexion israélienne du 11-Septembre et extraite d'un documentaire réalisé par Caroline Fourest pour France 5. Le témoignage portait sur les agents des services secrets israéliens qui ont été arrêtés aux abords de New York le 11 septembre 2001 pour avoir manifesté une joie incongrue cinq minutes après l'impact du premier avion dans le World Trade Center. Au lieu du mot "pincer", prononcé par l'interviewé dont la voix fut déformée, le sous-titrage afficha le mot"passer" suivi de trois points de suspension. Le sens de la phrase en fut donc modifié : il n'était plus question de la réalité de l'arrestation policière d'agents secrets israéliens.L'homme interrogé par l'équipe de Caroline Fourest, dénommé Raphaël Berland, m'a contacté à la suite de la mise en ligne de mon article afin de me confirmer avoir bien prononcé le mot "pincer".
Quelques jours plus tard, le journaliste d'investigation Denis Robert avait salué mon article -partagé alors par plus de 3000 utilisateurs de Facebook- sur son propre compte.
Quant à Caroline Fourest, elle aurait pu contre-argumenter en demandant un droit de réponse ou en rédigeant une tribune adressée à l'un des nombreux médias auxquels elle collabore. Il n'en fut rien.Caroline Fourest lance une fatwa contre moi
Je bénéficie visiblement d'un traitement "privilégié" auprès de l'essayiste : depuis une dizaine d'années, nombreux -intellectuels, militants, journalistes, politiques, sociologues- sont celles et ceux à avoir qualifié l'intéressée de "menteuse" ou d'"affabulatrice". En 2011, le géopolitologue Pascal Boniface et l'activiste Sadri Khiari avaient même usé de l'expression"sérial-menteuse" dans leurs ouvrages respectifs à son propos. Aujourd'hui, en s'attaquant à ma personne, Caroline Fourest règle également des comptes vieux de trois ans.Depuis 2010, j'ai révélé, sur Oumma et sur mon blog, plusieurs dérapages verbaux, réunis dans un dossier consultable en ligne et commis par celle qui se targue d'être une journaliste-militante-antiraciste-laïque-et-universaliste. Qu'il s'agisse de sa proposition d'"interdire le Coran en prison", de sa présentation de la "mise en scène" de soi comme un trait culturel spécifique aux Algériens et aux Marocains, ou encore de son altération d'un témoignage politiquement incorrect à propos du 11-Septembre, Caroline Fourest peut me considérer, à juste titre, comme son adversaire intellectuel sur le terrain de l'information. Depuis l'arrivée du Parti socialiste au pouvoir, son influence politico-médiatique s'est accrue : voilà pourquoi il importe, plus que jamais, de continuer à décrypter les allégeances idéologiques du personnage et ses petits arrangements avec la vérité. Sa proximité, de plus en plus affichée, avec Manuel Valls et Bernard-Henri Lévy -autres personnages publics auxquels j'ai consacré des enquêtes embarrassantes- renforce et consolide sa force de frappe -ainsi que sa capacité de nuisance- dans le débat d'idées.
Au-delà de mon cas personnel, sa manoeuvre d'intimidation judiciaire ne doit pas laisser indifférent. Et peu importe ici ce que chacun pense du 11-Septembre : en altérant le témoignage d'un documentaire co-produit par le service public de France Télévisions, Caroline Fourest a trahi la confiance du citoyen, à la fois téléspectateur et contribuable. Ironie du sort : pour la première fois depuis 2001, une cour de justice devra aborder, sur le fond, la question taboue de la connexion israélienne du 11-Septembre. Ce n'est pas là une formule rhétorique : en 2002, Roger Cukierman, président du Crif, avait reproché à Jean-Marie Colombani, directeur du Monde, d'avoir évoqué -dans son journal- l'affaire des agents secrets israéliens déguisés en artistes qui gravitaient, en 2000/2001, autour des futurs pirates de l'air présumés. Revenu récemment à la tête du Crif -un organisme qui relaie régulièrement les billets de Caroline Fourest-, il n'est pas certain que Roger Cukierman puisse apprécier une telle publicité susceptible de relancer l'intérêt des citoyens pour ce sujet passé sous silence et auquel je viens précisément de consacrer un ouvrage intituléIsraël et le 11-Septembre : le grand tabou. Nulle pseudo-"théorie du complot" en la matière : ce dont il est question ici, c'est du terrorisme d'Etat sous fausse bannière -pratique militaire dont Israël n'a pas le monopole- et de sa trace factuellement étayée dans les évènements du 11 septembre 2001.
En utilisant la police et la justice pour tenter de baillôner la liberté de critique à son sujet, Caroline Fourest va contribuer -bien malgré elle- à raviver, dans l'espace public, le débat relatif au degré d'implication du Mossad dans un attentat terroriste de grande ampleur. Et c'est en France, douze ans après et au coeur d'une enceinte judiciaire, que ce problème crucial -relatif à une manipulation géopolitique de l'opinion publique internationale- va désormais refaire surface. Merci, Caroline Fourest.

Hicham HAMZA



Edit: c est plus digeste comme ca
http://www.panamza.com/29122013-police-fourest-desinformatrice


Il faut tenir le cap et en faire la démonstration devant les juges, apporter vos arguments et preuves...
 

UNIVERSAL

---lcdcjve---
VIB
« Convoqué par la police pour avoir qualifié Caroline Fourest de « désinformatrice »

Démystifier publiquement le travail "journalistique" de Caroline Fourest peut vous conduire au tribunal. Tel est mon cas.
Journaliste indépendant, je devrai prochainement me présenter devant un juge d'instruction à la suite d'une plainte en diffamation déposée à mon encontre "par Caroline Guillemot-Fourest": un policier en charge du dossier m'a récemment convoqué à son bureau pour m'en informer.La plaignante me reproche les mots utilisés à son endroit dans deux articles publiés en février 2013, l'un sur le site Oumma, l'autre sur mon blog. Termes visés : "bidonnage", "désinformatrice", "opération frauduleuse", "escroquerie journalistique", "elle ment".
Le fond de l'affaire? Ma démonstration de l'altération d'une interview (visible ici) relative à la connexion israélienne du 11-Septembre et extraite d'un documentaire réalisé par Caroline Fourest pour France 5. Le témoignage portait sur les agents des services secrets israéliens qui ont été arrêtés aux abords de New York le 11 septembre 2001 pour avoir manifesté une joie incongrue cinq minutes après l'impact du premier avion dans le World Trade Center. Au lieu du mot "pincer", prononcé par l'interviewé dont la voix fut déformée, le sous-titrage afficha le mot"passer" suivi de trois points de suspension. Le sens de la phrase en fut donc modifié : il n'était plus question de la réalité de l'arrestation policière d'agents secrets israéliens.L'homme interrogé par l'équipe de Caroline Fourest, dénommé Raphaël Berland, m'a contacté à la suite de la mise en ligne de mon article afin de me confirmer avoir bien prononcé le mot "pincer".
Quelques jours plus tard, le journaliste d'investigation Denis Robert avait salué mon article -partagé alors par plus de 3000 utilisateurs de Facebook- sur son propre compte.
Quant à Caroline Fourest, elle aurait pu contre-argumenter en demandant un droit de réponse ou en rédigeant une tribune adressée à l'un des nombreux médias auxquels elle collabore. Il n'en fut rien.Caroline Fourest lance une fatwa contre moi
Je bénéficie visiblement d'un traitement "privilégié" auprès de l'essayiste : depuis une dizaine d'années, nombreux -intellectuels, militants, journalistes, politiques, sociologues- sont celles et ceux à avoir qualifié l'intéressée de "menteuse" ou d'"affabulatrice". En 2011, le géopolitologue Pascal Boniface et l'activiste Sadri Khiari avaient même usé de l'expression"sérial-menteuse" dans leurs ouvrages respectifs à son propos. Aujourd'hui, en s'attaquant à ma personne, Caroline Fourest règle également des comptes vieux de trois ans.Depuis 2010, j'ai révélé, sur Oumma et sur mon blog, plusieurs dérapages verbaux, réunis dans un dossier consultable en ligne et commis par celle qui se targue d'être une journaliste-militante-antiraciste-laïque-et-universaliste. Qu'il s'agisse de sa proposition d'"interdire le Coran en prison", de sa présentation de la "mise en scène" de soi comme un trait culturel spécifique aux Algériens et aux Marocains, ou encore de son altération d'un témoignage politiquement incorrect à propos du 11-Septembre, Caroline Fourest peut me considérer, à juste titre, comme son adversaire intellectuel sur le terrain de l'information. Depuis l'arrivée du Parti socialiste au pouvoir, son influence politico-médiatique s'est accrue : voilà pourquoi il importe, plus que jamais, de continuer à décrypter les allégeances idéologiques du personnage et ses petits arrangements avec la vérité. Sa proximité, de plus en plus affichée, avec Manuel Valls et Bernard-Henri Lévy -autres personnages publics auxquels j'ai consacré des enquêtes embarrassantes- renforce et consolide sa force de frappe -ainsi que sa capacité de nuisance- dans le débat d'idées.
Au-delà de mon cas personnel, sa manoeuvre d'intimidation judiciaire ne doit pas laisser indifférent. Et peu importe ici ce que chacun pense du 11-Septembre : en altérant le témoignage d'un documentaire co-produit par le service public de France Télévisions, Caroline Fourest a trahi la confiance du citoyen, à la fois téléspectateur et contribuable. Ironie du sort : pour la première fois depuis 2001, une cour de justice devra aborder, sur le fond, la question taboue de la connexion israélienne du 11-Septembre. Ce n'est pas là une formule rhétorique : en 2002, Roger Cukierman, président du Crif, avait reproché à Jean-Marie Colombani, directeur du Monde, d'avoir évoqué -dans son journal- l'affaire des agents secrets israéliens déguisés en artistes qui gravitaient, en 2000/2001, autour des futurs pirates de l'air présumés. Revenu récemment à la tête du Crif -un organisme qui relaie régulièrement les billets de Caroline Fourest-, il n'est pas certain que Roger Cukierman puisse apprécier une telle publicité susceptible de relancer l'intérêt des citoyens pour ce sujet passé sous silence et auquel je viens précisément de consacrer un ouvrage intituléIsraël et le 11-Septembre : le grand tabou. Nulle pseudo-"théorie du complot" en la matière : ce dont il est question ici, c'est du terrorisme d'Etat sous fausse bannière -pratique militaire dont Israël n'a pas le monopole- et de sa trace factuellement étayée dans les évènements du 11 septembre 2001.
En utilisant la police et la justice pour tenter de baillôner la liberté de critique à son sujet, Caroline Fourest va contribuer -bien malgré elle- à raviver, dans l'espace public, le débat relatif au degré d'implication du Mossad dans un attentat terroriste de grande ampleur. Et c'est en France, douze ans après et au coeur d'une enceinte judiciaire, que ce problème crucial -relatif à une manipulation géopolitique de l'opinion publique internationale- va désormais refaire surface. Merci, Caroline Fourest.

Hicham HAMZA



Edit: c est plus digeste comme ca
http://www.panamza.com/29122013-police-fourest-desinformatrice
Un résumé serait bienvenu...
 

Fitra

Allah, Souria, Houria wa bass
Elle fait ça partout ! C'est une vraie furie ! Elle a fait des procès hallucinants, ce qui comte pour elle, c'est juste de dire ses mensonges, ensuite elle intimide les autres ! Il y'a plein de témoignages comme !a ! Elle envoie même des mises en demeure complétement infondées juridiquement exprès pour intimider ceux qui l'ont critiquée ! De la folie pure !

Au moins des gens comme Zemmour, ils disent n'importe quoi mais sont sincères ! Leurs paroles sont dangereuses mais eux ne sont pas machiavéliques ! Alors que Fourest ... C'est grave !
 

Fitra

Allah, Souria, Houria wa bass
Toi on sais que c'est Caro que tu soutiens, tous ça parce qu'elle diabolise les musulmans, tu t'en tape pas mal des inchoérence, mensonge et altération d'infos quelle fait pour diabolisé la communauté musulmane, faut dire que sa t'arranges, tout en se prétendant respectueuse de cette communauté pour brouiller les pistes.

T'as vu son pseudo aussi ? Mohamed nous dit qu'il l'a pris en hommage à "6 fois 8", mon oeil. Si ça se trouve, c'est le vrai Mohamed Sifaoui qui prépare un reportage sur les propos terroristes des musulmans sur Internet (le hic, c'est qu'il ne trouve rien :D), ce serait bien son genre, il a bien dit qu'il avait infiltré Al-Qaïda ! :D
 

Fitra

Allah, Souria, Houria wa bass
« Convoqué par la police pour avoir qualifié Caroline Fourest de « désinformatrice »

Démystifier publiquement le travail "journalistique" de Caroline Fourest peut vous conduire au tribunal. Tel est mon cas.
Journaliste indépendant, je devrai prochainement me présenter devant un juge d'instruction à la suite d'une plainte en diffamation déposée à mon encontre "par Caroline Guillemot-Fourest": un policier en charge du dossier m'a récemment convoqué à son bureau pour m'en informer.La plaignante me reproche les mots utilisés à son endroit dans deux articles publiés en février 2013, l'un sur le site Oumma, l'autre sur mon blog. Termes visés : "bidonnage", "désinformatrice", "opération frauduleuse", "escroquerie journalistique", "elle ment".
Le fond de l'affaire? Ma démonstration de l'altération d'une interview (visible ici) relative à la connexion israélienne du 11-Septembre et extraite d'un documentaire réalisé par Caroline Fourest pour France 5. Le témoignage portait sur les agents des services secrets israéliens qui ont été arrêtés aux abords de New York le 11 septembre 2001 pour avoir manifesté une joie incongrue cinq minutes après l'impact du premier avion dans le World Trade Center. Au lieu du mot "pincer", prononcé par l'interviewé dont la voix fut déformée, le sous-titrage afficha le mot"passer" suivi de trois points de suspension. Le sens de la phrase en fut donc modifié : il n'était plus question de la réalité de l'arrestation policière d'agents secrets israéliens.L'homme interrogé par l'équipe de Caroline Fourest, dénommé Raphaël Berland, m'a contacté à la suite de la mise en ligne de mon article afin de me confirmer avoir bien prononcé le mot "pincer".
Quelques jours plus tard, le journaliste d'investigation Denis Robert avait salué mon article -partagé alors par plus de 3000 utilisateurs de Facebook- sur son propre compte.
Quant à Caroline Fourest, elle aurait pu contre-argumenter en demandant un droit de réponse ou en rédigeant une tribune adressée à l'un des nombreux médias auxquels elle collabore. Il n'en fut rien.Caroline Fourest lance une fatwa contre moi
Je bénéficie visiblement d'un traitement "privilégié" auprès de l'essayiste : depuis une dizaine d'années, nombreux -intellectuels, militants, journalistes, politiques, sociologues- sont celles et ceux à avoir qualifié l'intéressée de "menteuse" ou d'"affabulatrice". En 2011, le géopolitologue Pascal Boniface et l'activiste Sadri Khiari avaient même usé de l'expression"sérial-menteuse" dans leurs ouvrages respectifs à son propos. Aujourd'hui, en s'attaquant à ma personne, Caroline Fourest règle également des comptes vieux de trois ans.Depuis 2010, j'ai révélé, sur Oumma et sur mon blog, plusieurs dérapages verbaux, réunis dans un dossier consultable en ligne et commis par celle qui se targue d'être une journaliste-militante-antiraciste-laïque-et-universaliste. Qu'il s'agisse de sa proposition d'"interdire le Coran en prison", de sa présentation de la "mise en scène" de soi comme un trait culturel spécifique aux Algériens et aux Marocains, ou encore de son altération d'un témoignage politiquement incorrect à propos du 11-Septembre, Caroline Fourest peut me considérer, à juste titre, comme son adversaire intellectuel sur le terrain de l'information. Depuis l'arrivée du Parti socialiste au pouvoir, son influence politico-médiatique s'est accrue : voilà pourquoi il importe, plus que jamais, de continuer à décrypter les allégeances idéologiques du personnage et ses petits arrangements avec la vérité. Sa proximité, de plus en plus affichée, avec Manuel Valls et Bernard-Henri Lévy -autres personnages publics auxquels j'ai consacré des enquêtes embarrassantes- renforce et consolide sa force de frappe -ainsi que sa capacité de nuisance- dans le débat d'idées.
Au-delà de mon cas personnel, sa manoeuvre d'intimidation judiciaire ne doit pas laisser indifférent. Et peu importe ici ce que chacun pense du 11-Septembre : en altérant le témoignage d'un documentaire co-produit par le service public de France Télévisions, Caroline Fourest a trahi la confiance du citoyen, à la fois téléspectateur et contribuable. Ironie du sort : pour la première fois depuis 2001, une cour de justice devra aborder, sur le fond, la question taboue de la connexion israélienne du 11-Septembre. Ce n'est pas là une formule rhétorique : en 2002, Roger Cukierman, président du Crif, avait reproché à Jean-Marie Colombani, directeur du Monde, d'avoir évoqué -dans son journal- l'affaire des agents secrets israéliens déguisés en artistes qui gravitaient, en 2000/2001, autour des futurs pirates de l'air présumés. Revenu récemment à la tête du Crif -un organisme qui relaie régulièrement les billets de Caroline Fourest-, il n'est pas certain que Roger Cukierman puisse apprécier une telle publicité susceptible de relancer l'intérêt des citoyens pour ce sujet passé sous silence et auquel je viens précisément de consacrer un ouvrage intituléIsraël et le 11-Septembre : le grand tabou. Nulle pseudo-"théorie du complot" en la matière : ce dont il est question ici, c'est du terrorisme d'Etat sous fausse bannière -pratique militaire dont Israël n'a pas le monopole- et de sa trace factuellement étayée dans les évènements du 11 septembre 2001.
En utilisant la police et la justice pour tenter de baillôner la liberté de critique à son sujet, Caroline Fourest va contribuer -bien malgré elle- à raviver, dans l'espace public, le débat relatif au degré d'implication du Mossad dans un attentat terroriste de grande ampleur. Et c'est en France, douze ans après et au coeur d'une enceinte judiciaire, que ce problème crucial -relatif à une manipulation géopolitique de l'opinion publique internationale- va désormais refaire surface. Merci, Caroline Fourest.

Hicham HAMZA



Edit: c est plus digeste comme ca
http://www.panamza.com/29122013-police-fourest-desinformatrice

Il ne faut pas qu'il ait peur, Caroline Guillemot-Fourest intente des procès même quand elle sait qu'elle va les perdre, c'est de l'intimidation de sa part. Elle est riche et elle attaque des gens qui ont parfois peu de moyens. Hicham gagnera le procès et ses frais seront remboursés, car c'est vraiment n'importe quoi, encore une fois.

Par ailleurs, même si je ne suis pas d'accord avec tooooooutes ses opinions qui peuvent transparaître dans ses articles (mais c'est bien normal, on est toujours orienté), Hicham Hamza est vraiment un bon journaliste qui débusque des choses incroyables et qui source à fond ses articles. C'est quelqu'un d'honnête .
 
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