La justice française a perdu la tête, les machos misogynes sont aux commandes.
Un dangereux précédent qui risque de créer des violeurs.
J'espère que le parquet va faire appel de cette décision injuste et dangereuse pour les droits des victimes.
Maintenant si il suffit de revendiquer sa culture d'origine pour ne pas être reconnu coupable de crimes dans son pays d'accueil, cela va devenir n'importe quoi, une justice à la carte selon ses origines.
Le violeur a tenté de violer son interprète au poste de police en plein interrogatoire.
Pour moi ce n'est pas un problème culturel, mais un problème de santé mentale, quand un violeur en arrive à ce point ce n'est pas à une simple mise à l'épreuve qu'il devrait être soumis mais à des soins médicaux.
Un dangereux précédent qui risque de créer des violeurs.
Dans la Manche, un réfugié acquitté d'un viol car il n'avait pas «les codes culturels»
C'est un verdict qui choque, embrase les réseaux sociaux et agite les politiques. Le 21 novembre, la cour d'assises de la Manche a acquitté un jeune réfugié d'origine bangladaise du viol d'une lycéenne de 15 ans à Saint-Lô, dans la Manche, fin 2015. Ce dernier a en revanche été condamné à deux ans de prison avec sursis assortis d'une mise à l'épreuve pour l'agression sexuelle d'une autre jeune fille mineure, à quelques semaines d'intervalle, dans son logement au foyer des jeunes travailleurs de Saint-Lô. Le parquet peut encore faire appel de cette décision.
J'espère que le parquet va faire appel de cette décision injuste et dangereuse pour les droits des victimes.
Le journal évoque aussi le témoignage du capitaine de police de la sûreté départementale de Saint-Lô devant la cour. «Lors de l'audition de l'accusé en garde à vue, il a dû placer un brigadier entre l'interprète et le mis en cause car ce dernier tentait de lui peloter les cuisses. Selon lui, l'accusé “considère les femmes françaises comme des p****, il a un comportement de prédateur”», rapporte l'article.
Quant aux experts, ils auraient décrit le réfugié comme «narcissique et égocentré» et empreint de la culture masculine de son pays d'origine où «les femmes sont reléguées au statut d'objet sexuel».
Maintenant si il suffit de revendiquer sa culture d'origine pour ne pas être reconnu coupable de crimes dans son pays d'accueil, cela va devenir n'importe quoi, une justice à la carte selon ses origines.
Le violeur a tenté de violer son interprète au poste de police en plein interrogatoire.
Pour moi ce n'est pas un problème culturel, mais un problème de santé mentale, quand un violeur en arrive à ce point ce n'est pas à une simple mise à l'épreuve qu'il devrait être soumis mais à des soins médicaux.
l'affaire a pris des airs de scandale à la veille de la marche du 24 novembre contre les violences sexistes et sexuelles, portée par le mot d'ordre «Nous toutes». «Allons-nous laisser admettre qu'il existe une culture qui permet aux hommes de violer les femmes?» s'est indignée la députée LR Valérie Boyer dans une lettre adressée au premier ministre. «Un migrant viole deux mineures et ressort libre, le tribunal considérant les “codes culturels” du criminel comme circonstance atténuante. Laxisme criminel d'une justice qui n'en a que le nom.