Et ton complément d'information prouve bien que j'avais raison (et que donc tu avais tort !!! lol !!!) puisque je lis sur le lien de Port saint Nicolas (site catho) que tu as donné, ceci :
" Contrairement à une opinion assez répandue, les divorcés remariés ne sont pas exclus de l’Église ; ils ne font pas l’objet de la sanction pénale d’excommunication, laquelle d’ailleurs est toujours un appel à la conversion.
Donc, et c'est ce que je disais, contrairement à ta première affirmation : ILS NE SONT PAS EXCOMMUNIES ... Point .
Et je précise que dire à quelqu'un qu' il est " nul " sur un point très précis, n'est ni une grossièreté, ni une insulte . !!! En famille, on se le dit très souvent et cela très amicalement. Mais peut-être n'es-tu pas francophone ??? Car appeler cela un "dérapage verbal" n'est pas le signe d'une bonne connaissance de la langue et de ses subtilités.
En ce qui me concerne je te dirai ceci :
Appliquer l'expression "tu es nul" a quelqu'un ne me semble pas être correct ! Ni en famille ni avec des interlocuteurs d'un forum. D'autant plus qu'il s'agissait d'une dame/demoiselle.
Après tu sais bien qu'en "famille" verbalement, l'intonation, le contexte et autres détails se chargent d'amplifier ou d'aténuer la portée du qualificatif.
Quant au niveau de mes connaissances linguistiques... permets moi de m'inscrire en faux dans tes suppositions.
Pour revenir au sujet, si j'ai mis le lien, pour que tout un chacun puisse le lire, c'est après l'avoir lu, donc j'y ai bien relevé la phrase que tu cites.
Cela n'enlève rien au paradoxe de traiter "honorifiquement" quelqu'un dans une situation que l'église condamne... et traite comme péché dans tous les cas... même si l'excommunication n'est plus de mise, comme je disais plus haut sans doute à cause de la multiciplité de ces cas.
J'espère que tu as lu, en conclusion ceci aussi
- Beaucoup de chrétiens, et pas seulement des divorcés remariés, considèrent comme une injustice de traiter avec tant de rigueur les divorcés remariés, alors qu’on laisse s’approcher de l’Eucharistie des dictateurs notoires, des racistes sans complexe, des profiteurs et exploiteurs sans scrupule. Tenter de refaire sa vie après l’échec d’un premier mariage en pensant à soi mais aussi aux enfants nés de cette union, serait-ce là le seul crime impardonnable ?
Bien sûr, on fera remarquer que dans le cas d’un remariage il ne s’agit pas de l’une de ces innombrables contradictions portant sur l’être chrétien conféré au baptême, mais sur l’essence même du sacrement de mariage.connaissons toutefois que ces subtilités ne sont pas toujours comprises et que la logique de la discipline actuelle de l’Église n’est pas très facile à expliquer !