Cette affaire a été révélée suite à une perquisition dans un centre de soins situé à Ben Aknoun, dans la capitale algérienne. Le centre en question, censé proposer des services de bien-être et de relaxation, a attiré l’attention des forces de l'ordre après des suspicions de pratiques douteuses.
Selon Ennahar, l’établissement se faisait passer pour un centre de "massage" tout en offrant des services sexuels en échange d’une rémunération. Après une longue surveillance, les policiers ont procédé à une perquisition le 13 août 2025.
Lors de cette intervention, les autorités ont interpellé 11 femmes, âgées de 20 à 40 ans, provenant de plusieurs wilayas d’Algérie. Ces dernières ont été trouvées en possession de sommes d’argent considérables, avoisinant les 100 millions de centimes, ainsi que d’autres objets compromettants, tels que des pilules contraceptives et des dispositifs à caractère sexuel. En outre, l’enquête a révélé que les services étaient également proposés via l’application Snapchat, où des rendez-vous étaient organisés moyennant une somme de 8 000 dinars algériens.
Selon Ennahar, l’établissement se faisait passer pour un centre de "massage" tout en offrant des services sexuels en échange d’une rémunération. Après une longue surveillance, les policiers ont procédé à une perquisition le 13 août 2025.
Lors de cette intervention, les autorités ont interpellé 11 femmes, âgées de 20 à 40 ans, provenant de plusieurs wilayas d’Algérie. Ces dernières ont été trouvées en possession de sommes d’argent considérables, avoisinant les 100 millions de centimes, ainsi que d’autres objets compromettants, tels que des pilules contraceptives et des dispositifs à caractère sexuel. En outre, l’enquête a révélé que les services étaient également proposés via l’application Snapchat, où des rendez-vous étaient organisés moyennant une somme de 8 000 dinars algériens.