Marie Labbé, ancienne attachée parlementaire de Georges Tron, a été victime d'un cambriolage. Selon elle, on lui aurait dérobé un document important concernant les accusations de viol visant l'ancien secrétaire d'Etat.
On l'avait oubliée, mais l'affaire Tron est toujours en cours d'instruction. Et un élément vient brouiller un peu plus les pistes.
Le Parisien révèle ce mercredi qu'une des accusatrices a été victime d'un cambriolage. Marie Labbé, ancienne attachée parlementaire de Georges Tron, a découvert son appartement saccagé en rentrant samedi à 23h45. "Tout était sens dessus dessous. Des bijoux, un ordinateur et un écran plat ont été volés", a-t-elle expliqué au quotidien.
Mais ce qui intrigue surtout, c'est la disparition, selon Marie Labbé, d'un document concernant l'affaire Tron. "Il contenait des informations importantes", assure-t-elle, sans avancer, cependant, aucune explication.
Il pourrait autant s'agir d'un simple cambriolage que d'une tentative de récupération de ces informations sensibles.
En juin dernier, LEXPRESS.fr révélait que des soirées se tenaient chez les frères Olivier, proches de Marine Le Pen et habitants de Draveil, ville dont Georges Tron est le maire, soirées au cours desquelles se retrouvaient, notamment, l'une des deux plaignantes, Eva Loubrieu et Marie Labbé.
On l'avait oubliée, mais l'affaire Tron est toujours en cours d'instruction. Et un élément vient brouiller un peu plus les pistes.
Le Parisien révèle ce mercredi qu'une des accusatrices a été victime d'un cambriolage. Marie Labbé, ancienne attachée parlementaire de Georges Tron, a découvert son appartement saccagé en rentrant samedi à 23h45. "Tout était sens dessus dessous. Des bijoux, un ordinateur et un écran plat ont été volés", a-t-elle expliqué au quotidien.
Mais ce qui intrigue surtout, c'est la disparition, selon Marie Labbé, d'un document concernant l'affaire Tron. "Il contenait des informations importantes", assure-t-elle, sans avancer, cependant, aucune explication.
Il pourrait autant s'agir d'un simple cambriolage que d'une tentative de récupération de ces informations sensibles.
En juin dernier, LEXPRESS.fr révélait que des soirées se tenaient chez les frères Olivier, proches de Marine Le Pen et habitants de Draveil, ville dont Georges Tron est le maire, soirées au cours desquelles se retrouvaient, notamment, l'une des deux plaignantes, Eva Loubrieu et Marie Labbé.