Une étudiante porte plainte pour viol à paris, six pompiers devant un juge d'instruction

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion belgika
  • Date de début Date de début

belgika

Vis et meurs entre les 2 fais de ton mieux
VIB
Six sapeurs-pompiers de Paris qui étaient en garde à vue depuis samedi dans le cadre d'une enquête pour "viols en réunion" vont être présentés dans la journée à un juge d'instruction en vue de leur mise en examen, a annoncé lundi le parquet.



Au total, huit soldats du feu avaient été placés en garde à vue samedi après la plainte d'une étudiante norvégienne qui dénonçait des faits de viol, selon un source proche du dossier.

A l'issue de 48 heures de garde à vue, six d'entre eux seront présentés à un juge "dans le cadre d'une information judiciaire qui sera ouverte des chefs de viols en réunion et non empêchement de crime", a indiqué le parquet de Paris.


https://www.7sur7.be/7s7/fr/1505/Mo...x-pompiers-devant-un-juge-d-instruction.dhtml
 
Vous cassez pas la tete, je connais deja la fin de l’histoire, il va y avoir un peu de suspense durant quelques annees, au pire un ou deux pompiers faira quelques jours de prison et ca finira pas une relax general, pour un manque de preuve ou un autre pretexte comme pour les violeurs du 36 quai des orfevres, desole pour avoir spoiler ceux qui croiaient en la justice en france.
 
Education nationale bourree de pedophile, eglise bourree de pedophile, flic violeur, pompier violeur, faites entrer l’accuse y a que des francais de souches ( l’affaire de Tan a strasbourg) les chanteurs connu qui tuent leur femmes des bons francais du terroir, l’affaire mee too , les journalistes bien francais harceleurs, hooliwood de violeurs, et a la TV de ***** la seule menace pour le droit des femmes c’est l’Islam, jsuis mdr.
 
dans cette profession on constate de plus en plus de détraqués
Pas plus que chez les flics...les militaires...les enseignants etc....
Les juges, les avocats, les ministres, les députés, les maires, les huissiers, les notaires, les médecins, les infirmiers, les banquiers, les commerciaux, etc etc etc :D
les curés, les imams, les rabbins!

Les MECS! :fou:
 
Moi mon avis est qu’il y a du sexisme partout dans la societe francaise, mais faut reconnaittre que le sexisme des notables et des francais de souches bien blanc engandreent souvent la mort de femmes ou traumatisent les enfants, le sexisme des musulmans lui ne cause pas la mort ni le viol ni de traumatisme de l’enfant. Mais avec tous ca c’est encore l’Islam avec un grand I qui va porter le chapeau du recul des droits des femmes. Au fait les catho sont contre le divorce, contre l’avortement, mais il n’y pas pire que les musulmans mdr, comme si en 2019 en france il etait encore possible de contraindre une femmme a quoi que se soit. Les musulmans sont les boucs emissaires des tous les maux de cette societe. Parfois c’est grossier. Mais le ridicule n’arrete pas BFM.
 
La société française est pourri après ça vient donner des leçons au musulman sur comment bien traité les femmes et venir leur expliquer que le voile est un carcan

Tout c hypocrite ferai mieux de donner l exemple au lieu de donner des leçons ça serai déjà plus credible
 
Noisy-le-Sec : onze lycéens aux assises pour des viols collectifs.
Comment des lycéens perçus comme des « gamins corrects » dans leur club de sport, sans casier pour la plupart, dont un jeune footballeur à l’avenir prometteur, peuvent-ils se retrouver dans un box de cour d’assises pour des viols collectifs ?
La question sera posée à partir de ce mardi, pour un procès qui se tiendra à huis clos à Bobigny, puisque huit des accusés étaient encore mineurs en septembre 2016. Le 15 septembre, une adolescente en état de choc s’était confiée à une riveraine.
Attirée dans une cave
Cette jeune fille était venue retrouver son ancien petit ami, à la demande de ce dernier. En repartant chez elle, à l’arrêt de bus, elle s’était fait voler son téléphone par d’autres. Un motif fallacieux pour l’attirer dans une cave de l’allée Mansart, où dix jeunes hommes au moins auraient abusé d’elle.
Certains étaient en tenue de foot, prêts pour leur entraînement, et c’est sur le terrain voisin que les premières arrestations ont eu lieu.
Plusieurs victimes
La victime en a reconnu sept. Mais les enquêteurs de la Sûreté territoriale ont continué leurs recherches, dans les clubs de foot des environs et des lycées du coin, pour aboutir à onze placements en détention provisoire les mois qui ont suivi.
Ce n’était pas le seul rebondissement. Les policiers ont aussi découvert d’autres victimes, de faits similaires, des rapports jamais protégés, impliquant pour partie les mêmes suspects.
Certaines n’avaient jamais eu de relation sexuelle
Sur les messages, ils évoquaient des « plav », comprendre « un plan avec une meuf facile », parfois une ancienne petite amie, quand bien même certaines n’avaient jamais eu de relation sexuelle auparavant. Trois autres jeunes femmes ont été retrouvées, d’autres recherches sont restées vaines.
L’une des victimes a expliqué qu’elle n’aurait jamais parlé si elle n’avait pas été convoquée par la police. « On ne peut pas déduire un consentement par l’absence d’un dépôt de plainte », insiste Me Barbara Wallaert, conseil d’une partie civile. Une des plaignantes a évoqué le poids de « la loi de la cité, la loi du silence, où tout le monde sait mais ne dit rien ».
«Une banalisation de la sexualité qui questionne »
Pour la défense des accusés, Me David-Olivier Kaminski estime qu’il s’agit « d’une affaire de mœurs des quartiers, avec tout ce que ça comporte de codes dits et non-dits ». « On est face une banalisation de la sexualité qui questionne », estime pour sa part Me Laure Berrebi-Amsellem. « Cela interroge aussi le rapport des hommes aux femmes et des femmes à elles-mêmes », complète Me Ian Knafou.
En aparté, un avocat explique que les notions de « contrainte, menace, violence et surprise qui caractérisent un viol sont loin d’être évidentes pour les mis en cause, même deux ans après les faits ».
Effet de groupe
Les expertises psychologiques et psychiatriques, qui n’ont révélé aucune pathologie mentale, ont mis en lumière un effet de groupe déterminant dans le passage à l’acte.
Fait rarissime dans l’histoire des assises de Seine-Saint-Denis, le siège d’avocat général sera occupé par deux représentantes du parquet.
Les accusés, aujourd’hui âgés de 18 à 22 ans, encourent vingt ans de réclusion pour les majeurs, moitié moins pour les plus jeunes, si l’excuse de minorité est retenue comme c’est le principe. Le verdict est attendu le 24 mai.
 
Non, pas de viols en réunion chez eux. Encore une fois, tu es largué. Si tu jeûne, tu devrais cesser d'intervenir parce ce que tu semble fatigué.

Qui es tu pour juger ? Je n ai aucun compte à te rendre. On vit en démocratie pas dans une dictature islamiste ou tu peux donner des injonctions religieuses et te mêler de la vie privée des gens! Que je sache en France il n y a pas de police religieuse!
 
Dernière édition:
Deux jours après les accusations de viols en réunion portées par une étudiante norvégienne, six membres de la prestigieuse brigade des sapeurs-pompiers de Paris (BSPP) ont été remis en liberté, sans être mis en examen à ce stade de l'enquête.



Cette affaire a replacé dans la chronique judiciaire ce corps d'élite des pompiers, déjà éclaboussé par le passé par des enquêtes pour violences sexuelles.


Samedi, les accusations sont venues d'une étudiante norvégienne de 20 ans qui a porté plainte, affirmant avoir été violée par plusieurs pompiers à la caserne Plaisance, dans le 14e arrondissement de la capitale, dans la nuit de vendredi à samedi.




Dans la foulée, une enquête initialement ouverte pour "viols en réunion" a été confiée aux enquêteurs du 3e district de police judiciaire qui ont placé en garde à vue huit pompiers au cours du week-end.

Contactée depuis samedi par l'AFP, la BSPP n'avait pas répondu aux sollicitations.


Au terme des auditions, six d'entre eux, âgés de 23 à 35 ans, ont été déférés lundi matin devant un magistrat de la section des affaires militaires du parquet de Paris qui a requis la mise en examen de quatre d'entre eux pour "viols en réunion" et pour "non-empêchement de crime" pour les deux autres.



Toutefois, le juge d'instruction qui a été saisi d'une information judiciaire sur ces chefs, a considéré qu'il n'existait "pas d'éléments suffisants" justifiant à ce stade leur mise en examen, selon des sources concordantes.


L'enquête qui va se poursuivre sous l'autorité du magistrat instructeur devra déterminer leur rôle exact dans cette affaire.


Depuis le début de l'enquête, les policiers tentent d'établir et de préciser les implications des uns et des autres dans le huis-clos de cette caserne.


ETAT DE CHOC


Que s'est-il passé cette nuit-là?

Dans cette affaire, deux récits s'opposent: celui de la plaignante et celui des pompiers qui ont contesté lors de leur garde à vue l'absence de consentement.

Vers 4H00 du matin, un des pompiers a regagné la caserne Plaisance, dans le 14e arrondissement de la capitale, accompagné de cette étudiante norvégienne rencontrée un peu plus tôt lors d'une soirée arrosée dans un bar, a relaté la source proche du dossier.


Devant les enquêteurs, la jeune femme "a décrit une relation consentie avec ce pompier et ensuite des relations imposées par d'autres", a ajouté cette même source, en précisant qu'il ne faisait pas partie des hommes présentés lundi à la justice. La plaignante "ne le met pas en cause", a souligné cette source.


A la suite des faits, l'étudiante s'était enfermée dans les toilettes avant de quitter les lieux et d'être recueillie, en état de choc, par une de ses amies au petit matin.



La BSPP est une unité de l'armée de Terre qui intervient dans la capitale et sa petite couronne et qui s'est notamment illustrée le mois dernier en sauvant des flammes Notre-Dame-de-Paris.


Mais ces dernières années, plusieurs affaires embarrassantes ont aussi secoué l'institution.


Au moins trois enquêtes sont en cours à Paris après des accusations de viols, d'agressions sexuelles et de harcèlement sexuel portées par des femmes pompiers contre des collègues et des supérieurs, dans les Hauts-de-Seine et le Val-de-Marne.
 
Dans une autre affaire qui avait déjà entaché l'image de la BSPP en 2012, dix anciens membres de la prestigieuse équipe de gymnastique ont été condamnés en février à Paris à des peines allant de trois mois de prison avec sursis à six mois ferme pour un bizutage sur deux de leurs collègues en 2012, marqué par des violences et des agressions sexuelles.


Dans la foulée du scandale, l'équipe de gym des pompiers avait été dissoute.


Un autre dossier remontant à 2009 et impliquant des pompiers de la caserne de Bourg-la-Reine (Hauts-de-Seine) est toujours en cours à Versailles:

l'an dernier, le parquet y a requis le renvoi de deux pompiers devant le tribunal correctionnel pour atteinte sexuelle sur une adolescente de 14 ans, des faits initialement qualifiés de viols.


https://www.varmatin.com/faits-dive...e-remis-en-liberte-sans-mise-en-examen-380431
 
Qui es tu pour juger ? Je n ai aucun compte à te rendre. On vit en démocratie pas dans une dictature islamiste ou tu peux donner des injonctions religieuses et te mêler de la vie privée des gens! Que je sache en France il n y a pas de police religieuse!
Qu'est ce que tu me racontes, là? 🤣

Va te reposer.🤣🤣🤣
 
Education nationale bourree de pedophile, eglise bourree de pedophile, flic violeur, pompier violeur, faites entrer l’accuse y a que des francais de souches ( l’affaire de Tan a strasbourg) les chanteurs connu qui tuent leur femmes des bons francais du terroir, l’affaire mee too , les journalistes bien francais harceleurs, hooliwood de violeurs, et a la TV de * la seule menace pour le droit des femmes c’est l’Islam, jsuis mdr.

J'aimerai bien que tu nous donnes ta définition d'un français de "souche" car pour moi, à partir du moment ou tu es né en France, tu es Français donc tu fais partie de ce peuple de pédophile comme les autres.
 
Retour
Haut