Un odieux trentenaire, à Tanger, a fait cuire Oumaïma, après avoir mangé son coeur et démembré lenfant
MAROC Autant prévenir : âmes sensibles, coupez net votre lecture. Le macabrissime fait que nous sommes sur le point de vous relater a de quoi hérisser les poils des bras les plus costauds.
Nous sommes au Maroc, à Tanger, dans le quartier de Dchar Bendibane. Dimanche dernier, 10 h du matin. Lamfaddal Ouaddane est lheureux papa dune petite fille de quatre ans. Après supplications de sa petite Oumaïma, il décide de lui offrir deux petites bagues en plastique aperçues chez lépicier du coin. Le genre de jouet que toutes les petites filles du monde quémandent un jour.
Fière comme un paon de ses nouveaux trophées, la petite court rejoindre ses copains, plus haut dans la ruelle. Il ne le sait pas encore, mais sa fille, de dos, le pas hâté, cest la dernière image, presque dÉpinal, que le père aura de son enfant.
Cest labsence dOumaïma à lheure du déjeuner, inhabituelle, qui mettra la puce à loreille de sa famille. Les autorités locales sont alertées.
Alors que la panique croît légitimement, rebondissement chez lépicier, vers 16 h. Un trentenaire, hagard, y passe, deux étranges bagues en plastique pour enfant aux doigts. Le commerçant, interloqué, met la famille de la petite, ainsi que la police, au courant.
Rapidement, les forces de lordre se rendent, avec la famille, au domicile de lindividu, qui est mitoyen à celui de la famille Ouaddane. Aucun meuble, juste une vieille télévision, et les relents dune odeur âcre qui flotte. Stupeur. Puis, très vite, horreur.
La tête détachée de la fillette gît dans un coin de la pièce avec des viscères sur un sol crasseux souillé de sang , écrit Le Journal de Tanger . On remarque une arme blanche et dautres objets. Mais une marmite posée sur un fourneau éteint attire lattention des visiteurs. On lève le couvercle et on découvre labjection : des morceaux de chair flottent dans un bouillon douteux. [ ] Pas de doute, il sagit de morceaux provenant du petit corps dOumaïma, la petite fille disparue.
La préfecture de police dépêche la police judiciaire et la police scientifique, illico. Les enquêteurs ont du mal à rassembler les morceaux crus et cuits du corps de la victime et reconstituer les séquences du crime, notamment parce que lauteur présumé, Abdellatif Touil, ne les aide pas à avancer. Son attitude laisse supposer que cette histoire ne le concerne pas. Il aurait demandé plusieurs fois quon le laisse aller à son travail parce quil était en retard .
Parmi les premiers éléments de lenquête, le bouillon de cuisson découvert contiendrait de leau, de lhuile, des oignons et des épices. Ce qui fait dire à certains que le criminel pourrait sêtre inspiré de la cérémonie du sacrifice de lAïd. Supputations, pour lheure, on précise.
Le suspect, daprès les premiers éléments, ne jouirait pas de toutes ses facultés mentales, chose quune expertise médicale ordonnée par le parquet devra confirmer. Selon le frère du présumé auteur, lintéressé aurait séjourné pendant six ans en Espagne, pays duquel il aurait été expulsé, fait qui laurait profondément perturbé. Bien piteuse excuse.
A.Ca.
© La Dernière Heure 2011
HORRIBLE! allah y hramha la petite fille
ps: lisez la dernière phrase...mdr la personne qui a écrit cet article m'a fait rire.
MAROC Autant prévenir : âmes sensibles, coupez net votre lecture. Le macabrissime fait que nous sommes sur le point de vous relater a de quoi hérisser les poils des bras les plus costauds.
Nous sommes au Maroc, à Tanger, dans le quartier de Dchar Bendibane. Dimanche dernier, 10 h du matin. Lamfaddal Ouaddane est lheureux papa dune petite fille de quatre ans. Après supplications de sa petite Oumaïma, il décide de lui offrir deux petites bagues en plastique aperçues chez lépicier du coin. Le genre de jouet que toutes les petites filles du monde quémandent un jour.
Fière comme un paon de ses nouveaux trophées, la petite court rejoindre ses copains, plus haut dans la ruelle. Il ne le sait pas encore, mais sa fille, de dos, le pas hâté, cest la dernière image, presque dÉpinal, que le père aura de son enfant.
Cest labsence dOumaïma à lheure du déjeuner, inhabituelle, qui mettra la puce à loreille de sa famille. Les autorités locales sont alertées.
Alors que la panique croît légitimement, rebondissement chez lépicier, vers 16 h. Un trentenaire, hagard, y passe, deux étranges bagues en plastique pour enfant aux doigts. Le commerçant, interloqué, met la famille de la petite, ainsi que la police, au courant.
Rapidement, les forces de lordre se rendent, avec la famille, au domicile de lindividu, qui est mitoyen à celui de la famille Ouaddane. Aucun meuble, juste une vieille télévision, et les relents dune odeur âcre qui flotte. Stupeur. Puis, très vite, horreur.
La tête détachée de la fillette gît dans un coin de la pièce avec des viscères sur un sol crasseux souillé de sang , écrit Le Journal de Tanger . On remarque une arme blanche et dautres objets. Mais une marmite posée sur un fourneau éteint attire lattention des visiteurs. On lève le couvercle et on découvre labjection : des morceaux de chair flottent dans un bouillon douteux. [ ] Pas de doute, il sagit de morceaux provenant du petit corps dOumaïma, la petite fille disparue.
La préfecture de police dépêche la police judiciaire et la police scientifique, illico. Les enquêteurs ont du mal à rassembler les morceaux crus et cuits du corps de la victime et reconstituer les séquences du crime, notamment parce que lauteur présumé, Abdellatif Touil, ne les aide pas à avancer. Son attitude laisse supposer que cette histoire ne le concerne pas. Il aurait demandé plusieurs fois quon le laisse aller à son travail parce quil était en retard .
Parmi les premiers éléments de lenquête, le bouillon de cuisson découvert contiendrait de leau, de lhuile, des oignons et des épices. Ce qui fait dire à certains que le criminel pourrait sêtre inspiré de la cérémonie du sacrifice de lAïd. Supputations, pour lheure, on précise.
Le suspect, daprès les premiers éléments, ne jouirait pas de toutes ses facultés mentales, chose quune expertise médicale ordonnée par le parquet devra confirmer. Selon le frère du présumé auteur, lintéressé aurait séjourné pendant six ans en Espagne, pays duquel il aurait été expulsé, fait qui laurait profondément perturbé. Bien piteuse excuse.
A.Ca.
© La Dernière Heure 2011
HORRIBLE! allah y hramha la petite fille
ps: lisez la dernière phrase...mdr la personne qui a écrit cet article m'a fait rire.