Shirley Boussemaere, une jeune Flamande de 20 ans, a vécu une bien mauvaise aventure. Alors qu’elle avait rencontré un Tunisien sur internet, elle décide de se rendre en Tunisie pour leur premier rendez-vous. Le jeune homme va alors lui confisquer ses papiers et son téléphone et l’enfermer dans son appartement durant plusieurs jours.
Shirley Boussemaere rentrait ce vendredi matin en Belgique après la mésaventure qu’elle a connue lors de son voyage en Tunisie. Elle y est restée coincée pendant une semaine, retenue en captivité par un Tunisien qu’elle avait rencontré précédemment sur internet. L’Ostendaise a été libérée par la police tunisienne ce jeudi et emmenée dans un endroit sûr en attendant son rapatriement en Belgique.
Shirley ne pouvait pas utiliser son téléphone portable, étant donné que celui-ci avait été confisqué par l’homme avec qui elle avait entamé une relation en ligne. Elle a tout de même finalement pu s’en emparer pour donner l’alerte à sa famille. Celle-ci a mis la police au courant, qui, à son tour, a pris contact avec le consulat belge sur place afin de libérer la jeune fille.
Le jeune Tunisien a promis beaucoup de belles choses à Shirley l. Mais, dès son arrivée, les choses ont mal tourné. L’homme l’a enfermée dans son appartement, situé à cinq heures en voiture de la capitale, Tunis. Il lui a directement pris ses papiers et son téléphone. «Je voulais tellement prévenir ma famille, mais je ne pouvais pas», déclare la jeune Ostendaise au Het Laatste Nieuws. Il est même arrivé une fois où l’homme a pris la tête de Shirley et l’a tapée plusieurs fois contre le mur.
La géolocalisation comme moyen de s’en sortir
Après deux jours passés sur place, la jeune femme a pu s’emparer de son téléphone et prévenir sa grand-mère. Elle a également pu échanger des sms avec son frère et sa mère. Shirley a alors eu la très bonne idée d’activer la géolocalisation sur son téléphone et de faire une capture d’écran de sa position pour pouvoir l’envoyer à ses parents. Elle a également envoyé des photos de ce qu’elle voyait des fenêtres de l’appartement dans lequel elle était retenue prisonnière.
«Il voulait que je reste avec lui et que je ne retourne pas en Belgique», explique la jeune femme. «Il était même à la recherche d’un autre appartement dans lequel on ne nous aurait jamais retrouvés».
Un soir, la police tunisienne a débarqué dans l’appartement et a délivré la jeune femme des mains de son «amant». «De la fenêtre, je voyais des hommes en uniformes d’intervention postés devant la maison. À ce moment-là, j’ai compris qu’il venait pour moi». Shirley a alors été emmenée dans un hôtel de la capitale, où elle était constamment surveillée. «Il y avait des gens de la sécurité en bas et même quelqu’un à ma porte», révèle Shirley. «Je suis contente de revoir ma famille et d’avoir appris la leçon».
http://www.sudinfo.be
Shirley Boussemaere rentrait ce vendredi matin en Belgique après la mésaventure qu’elle a connue lors de son voyage en Tunisie. Elle y est restée coincée pendant une semaine, retenue en captivité par un Tunisien qu’elle avait rencontré précédemment sur internet. L’Ostendaise a été libérée par la police tunisienne ce jeudi et emmenée dans un endroit sûr en attendant son rapatriement en Belgique.
Shirley ne pouvait pas utiliser son téléphone portable, étant donné que celui-ci avait été confisqué par l’homme avec qui elle avait entamé une relation en ligne. Elle a tout de même finalement pu s’en emparer pour donner l’alerte à sa famille. Celle-ci a mis la police au courant, qui, à son tour, a pris contact avec le consulat belge sur place afin de libérer la jeune fille.
Le jeune Tunisien a promis beaucoup de belles choses à Shirley l. Mais, dès son arrivée, les choses ont mal tourné. L’homme l’a enfermée dans son appartement, situé à cinq heures en voiture de la capitale, Tunis. Il lui a directement pris ses papiers et son téléphone. «Je voulais tellement prévenir ma famille, mais je ne pouvais pas», déclare la jeune Ostendaise au Het Laatste Nieuws. Il est même arrivé une fois où l’homme a pris la tête de Shirley et l’a tapée plusieurs fois contre le mur.
La géolocalisation comme moyen de s’en sortir
Après deux jours passés sur place, la jeune femme a pu s’emparer de son téléphone et prévenir sa grand-mère. Elle a également pu échanger des sms avec son frère et sa mère. Shirley a alors eu la très bonne idée d’activer la géolocalisation sur son téléphone et de faire une capture d’écran de sa position pour pouvoir l’envoyer à ses parents. Elle a également envoyé des photos de ce qu’elle voyait des fenêtres de l’appartement dans lequel elle était retenue prisonnière.
«Il voulait que je reste avec lui et que je ne retourne pas en Belgique», explique la jeune femme. «Il était même à la recherche d’un autre appartement dans lequel on ne nous aurait jamais retrouvés».
Un soir, la police tunisienne a débarqué dans l’appartement et a délivré la jeune femme des mains de son «amant». «De la fenêtre, je voyais des hommes en uniformes d’intervention postés devant la maison. À ce moment-là, j’ai compris qu’il venait pour moi». Shirley a alors été emmenée dans un hôtel de la capitale, où elle était constamment surveillée. «Il y avait des gens de la sécurité en bas et même quelqu’un à ma porte», révèle Shirley. «Je suis contente de revoir ma famille et d’avoir appris la leçon».
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