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* Des militants du Front national collent des affiches de leur candidate à la présidentielle, Marine Le Pen, dans une rue d'Hénin-Beaumont, dans le Nord. Selon une journaliste qui a "infiltré" le FN pendant huit mois, la stratégie de dédiabolisation du parti d'extrême-droite n'est qu'une façade et le racisme reste le principal lien entre ses adhérents. /Photo prise le 20 février 2012/REUTERS/Pascal RossignolAgrandir la photo
Des militants du Front national collent des affiches de leur candidate à la présidentielle, Marine Le Pen, dans une rue d'Hénin-Beaumont, dans le Nord. Selon une journaliste qui a "infiltré" le FN pendant huit mois, la stratégie de dédiabolisation du parti d'extrême-droite n'est qu'une façade et le racisme reste le principal lien entre ses adhérents. /Photo prise le 20 février 2012/REUTERS/Pascal Rossignol
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PARIS (Reuters) - La stratégie de dédiabolisation du Front national n'est qu'une façade et islamophobie et racisme constituent toujours l'ordinaire du parti d'extrême droite, affirme une journaliste qui a infiltré le FN pendant huit mois.
Dans "Bienvenue au Front - Journal d'une infiltrée", qui sortira le 27 février, Claire Checcaglini raconte avoir gravi les échelons du mouvement, qui lui aurait proposé d'être candidate aux législatives à Neuilly-sur-Seine, près de Paris.
"J'ai voulu prouver que cette 'dédiabolisation' du FN était fausse", explique-t-elle sur le site d'information Mediapart, qui publie des extraits de l'ouvrage.
Claire Checcaglini a effectué une immersion au sein du FN des Hauts-de-Seine, de mai 2011 à janvier 2012, comme l'avait déjà fait la journaliste Anne Tristan en 1987 dans les quartiers Nord de Marseille.
Des militants du Front national collent des affiches de leur candidate à la présidentielle, Marine Le Pen, dans une rue d'Hénin-Beaumont, dans le Nord. Selon une journaliste qui a "infiltré" le FN pendant huit mois, la stratégie de dédiabolisation du parti d'extrême-droite n'est qu'une façade et le racisme reste le principal lien entre ses adhérents. /Photo prise le 20 février 2012/REUTERS/Pascal Rossignol
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