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Let's duck face
Comme ça date déjà de quelques mois, peut-être que quelqu'un à déjà posté sur ce sujet, sinon bah........ tant pis !
Rachel Dolezal, une figure locale des droits des Noirs, est au coeur d'une polémique pour s'être fait passer pour noire, une supercherie dénoncée par ses parents blancs.
«Etes-vous noire?», demande un journaliste de la chaîne KXLY de la ville de Spokane à Rachel Dolezal, 37 ans, sur une vidéo diffusée en boucle dans les médias. La jeune femme, cheveux châtains crépus et yeux clairs, hésite longuement avant de répondre: «je ne comprends pas votre question».
Mme Dolezal était vendredi dans le collimateur des autorités et des médias après la révélation, par ses propres parents, des vraies origines blanches de cette personnalité qui a fait carrière en mentant apparemment depuis des années sur sa couleur de peau, pour une raison encore inconnue.
La jeune femme, figure militante locale, occupe depuis un an un poste de médiateur indépendant pour la police de la ville de Spokane et préside le chapitre local de la NAACP, la grande organisation pour les droits des Noirs vieille de 106 ans.
Ces postes ne demandent pas à leurs récipiendaires d'être noirs, même si cela est important en terme de diversité mais, selon le quotidien local Coeur d'Alene Press, Mme Dolezal a rempli un formulaire de la ville en indiquant être en partie noire, blanche et de sang indien.
Jeudi, la ville de Spokane a indiqué dans un communiqué «prendre très au sérieux les inquiétudes» concernant sa médiatrice de la police et enquêter pour voir si les règlements de la ville ont été violés.
Contactée par l'AFP, Mme Dolezal n'a pu être jointe.
La NAACP de son côté a affirmé vendredi que «la conférence de la NAACP de l'Alaska, Oregon et Etat de Washington soutient le bilan militant de Mme Dolezal», en précisant que la «race n'est pas un critère pour avoir des responsabilités» dans l'organisation.
Elle ajoute que sa présidente locale est «depuis longtemps en conflit judiciaire avec sa famille. Nous respectons son droit à l'intimité».
Rachel Dolezal, une figure locale des droits des Noirs, est au coeur d'une polémique pour s'être fait passer pour noire, une supercherie dénoncée par ses parents blancs.
«Etes-vous noire?», demande un journaliste de la chaîne KXLY de la ville de Spokane à Rachel Dolezal, 37 ans, sur une vidéo diffusée en boucle dans les médias. La jeune femme, cheveux châtains crépus et yeux clairs, hésite longuement avant de répondre: «je ne comprends pas votre question».
Mme Dolezal était vendredi dans le collimateur des autorités et des médias après la révélation, par ses propres parents, des vraies origines blanches de cette personnalité qui a fait carrière en mentant apparemment depuis des années sur sa couleur de peau, pour une raison encore inconnue.
La jeune femme, figure militante locale, occupe depuis un an un poste de médiateur indépendant pour la police de la ville de Spokane et préside le chapitre local de la NAACP, la grande organisation pour les droits des Noirs vieille de 106 ans.
Ces postes ne demandent pas à leurs récipiendaires d'être noirs, même si cela est important en terme de diversité mais, selon le quotidien local Coeur d'Alene Press, Mme Dolezal a rempli un formulaire de la ville en indiquant être en partie noire, blanche et de sang indien.
Jeudi, la ville de Spokane a indiqué dans un communiqué «prendre très au sérieux les inquiétudes» concernant sa médiatrice de la police et enquêter pour voir si les règlements de la ville ont été violés.
Contactée par l'AFP, Mme Dolezal n'a pu être jointe.
La NAACP de son côté a affirmé vendredi que «la conférence de la NAACP de l'Alaska, Oregon et Etat de Washington soutient le bilan militant de Mme Dolezal», en précisant que la «race n'est pas un critère pour avoir des responsabilités» dans l'organisation.
Elle ajoute que sa présidente locale est «depuis longtemps en conflit judiciaire avec sa famille. Nous respectons son droit à l'intimité».