Une première qui fera date : un mari condamné pour viol conjugal !

Batboutatoune

Btibita au miel
VIB
La reconnaissance du crime « viol conjugal » fait son chemin. La cour d’appel d’El Jadida donne un coup de pouce à la cause féminine.

En ce mercredi 5 juin, la Cour d’appel d’El Jadida écrit une page jurisprudentielle sans précédent dans le monde arabe. Le juge a en effet prononcé un jugement pour viol conjugal, formulé sous couvert d’agression.

L’inculpé, un homme de 42 ans, fqih de son état, est condamné à 2 ans de prison pour abus et agression sexuels sur son épouse de 35 ans. « C’est la première fois au Maroc qu’une telle décision est prise par une juridiction nationale. Le juge a estimé que l’acte sexuel a été exercé d’une manière anormale », explique Me Abdessalam El Mrini, avocat de la victime, inscrit au barreau d’El Jadida.
http://www.medias24.com/16800506201...-condamne-a-El-Jadida-pour-viol-conjugal.html



Une plainte en décembre 2012

Le 22 décembre 2012, les services de la gendarmerie royale de la ville d’El Jadida enregistrent une plainte. Une femme mariée depuis 11 ans dépose plainte contre son mari pour agression sexuelle. Elle est accompagnée par des membres de l’association féminine Essanaa, qui lutte, depuis 1999, pour la protection des femmes à El Jadida.

Le 2 janvier 2012, le procureur général s’empare de l’affaire et décide de la poursuite de l’accusé. « C’est exceptionnel en soi, que le procureur juge de l’opportunité des poursuites avec autant de célérité dans une affaire pareille », ne manque pas souligner Me El Mrini. En effet, l’époux est rapidement mis en détention.

Les preuves de l’accusation

Ce sont, tout d’abord, des attestations médicales édifiantes. Des arguments médicaux qui prouvent la ******* : une fissure anale large provoquant une maladie hémorroïdaire. « L’expertise médicale parle même de douleur rien qu’au toucher rectal », relate l’avocat de la défense.

Ensuite, un témoignage poignant, celui de l’une des filles des trois enfants du couple. Une fillette de 11 ans qui raconte devant une cour et une assistance sous le choc, les sévices subis par sa mère, sous ses yeux.

Une scène. Le père traînant la mère par les cheveux la couchant à même le sol. Les enfants sont présents dans la même pièce. Et le père ordonne à la mère de se soumettre à sa volonté.

Le fondement du plaidoyer

L’article 485 du Code pénal a servi de base à cet arrêt de la Cour d’appel d’El Jadida. Il énonce qu’« est puni d’une réclusion de 5 à 10 ans tout attentat à la pudeur consommé ou tenté avec violences contre des personnes de l’un ou de l’autre sexe ».

Ne disposant de texte juridique prévoyant l’agression sexuelle dans le cadre du mariage, le juge a donc appliqué cette disposition. Dans quelques jours, nous saurons si l’accusé fera appel de ce jugement.
 
La reconnaissance du crime « viol conjugal » fait son chemin. La cour d’appel d’El Jadida donne un coup de pouce à la cause féminine.

En ce mercredi 5 juin, la Cour d’appel d’El Jadida écrit une page jurisprudentielle sans précédent dans le monde arabe. Le juge a en effet prononcé un jugement pour viol conjugal, formulé sous couvert d’agression.

L’inculpé, un homme de 42 ans, fqih de son état, est condamné à 2 ans de prison pour abus et agression sexuels sur son épouse de 35 ans. « C’est la première fois au Maroc qu’une telle décision est prise par une juridiction nationale. Le juge a estimé que l’acte sexuel a été exercé d’une manière anormale », explique Me Abdessalam El Mrini, avocat de la victime, inscrit au barreau d’El Jadida.
http://www.medias24.com/16800506201...-condamne-a-El-Jadida-pour-viol-conjugal.html



Une plainte en décembre 2012

Le 22 décembre 2012, les services de la gendarmerie royale de la ville d’El Jadida enregistrent une plainte. Une femme mariée depuis 11 ans dépose plainte contre son mari pour agression sexuelle. Elle est accompagnée par des membres de l’association féminine Essanaa, qui lutte, depuis 1999, pour la protection des femmes à El Jadida.

Le 2 janvier 2012, le procureur général s’empare de l’affaire et décide de la poursuite de l’accusé. « C’est exceptionnel en soi, que le procureur juge de l’opportunité des poursuites avec autant de célérité dans une affaire pareille », ne manque pas souligner Me El Mrini. En effet, l’époux est rapidement mis en détention.

Les preuves de l’accusation

Ce sont, tout d’abord, des attestations médicales édifiantes. Des arguments médicaux qui prouvent la ******* : une fissure anale large provoquant une maladie hémorroïdaire. « L’expertise médicale parle même de douleur rien qu’au toucher rectal », relate l’avocat de la défense.

Ensuite, un témoignage poignant, celui de l’une des filles des trois enfants du couple. Une fillette de 11 ans qui raconte devant une cour et une assistance sous le choc, les sévices subis par sa mère, sous ses yeux.

Une scène. Le père traînant la mère par les cheveux la couchant à même le sol. Les enfants sont présents dans la même pièce. Et le père ordonne à la mère de se soumettre à sa volonté.

Le fondement du plaidoyer

L’article 485 du Code pénal a servi de base à cet arrêt de la Cour d’appel d’El Jadida. Il énonce qu’« est puni d’une réclusion de 5 à 10 ans tout attentat à la pudeur consommé ou tenté avec violences contre des personnes de l’un ou de l’autre sexe ».

Ne disposant de texte juridique prévoyant l’agression sexuelle dans le cadre du mariage, le juge a donc appliqué cette disposition. Dans quelques jours, nous saurons si l’accusé fera appel de ce jugement.

Eh ben là j'suis scié. Enfin la justice fait son boulot. Monsieur le juge je vous salue bien bas. Votre courageuse décision va faire date.
Il va falloir que les personnes maltraitées aient le courage de déposer plainte et c'est là que ce n’est pas gagné.
 
Je comprends que c'est une première mais ...

Quelqu'un peut m'expliquer SVP ... Comment se fait-il que, même si l’article du Code pénal qui a servi de base à l'accusation prévoit une réclusion de 5 à 10 ans, cet homme est condamné à 2 ans de prison et ce, malgré les circonstances aggravantes (aggression produite en présence d'enfants d'âge mineur)?
 
.


Pour un F9ih la ******* ne correspond pas à son éthique, c'est condamnable
mais rajouter les témoignages des enfants sous influence de leurs mère. Ce n'est pas clair
En France le témoignage des enfants n'est pas recevable en cas de conflit entre parents.

.
 
Ce sont, tout d’abord, des attestations médicales édifiantes. Des arguments médicaux qui prouvent la ******* : une fissure anale large provoquant une maladie hémorroïdaire. « L’expertise médicale parle même de douleur rien qu’au toucher rectal », relate l’avocat de la défense.

Ensuite, un témoignage poignant, celui de l’une des filles des trois enfants du couple. Une fillette de 11 ans qui raconte devant une cour et une assistance sous le choc, les sévices subis par sa mère, sous ses yeux.

Une scène. Le père traînant la mère par les cheveux la couchant à même le sol. Les enfants sont présents dans la même pièce. Et le père ordonne à la mère de se soumettre à sa volonté.

Pour une fois, un juge marocain ne déçoit pas ! La relation conjugale s'arrête aux portes de la barbarie .
 
La reconnaissance du crime « viol conjugal » fait son chemin. La cour d’appel d’El Jadida donne un coup de pouce à la cause féminine.

En ce mercredi 5 juin, la Cour d’appel d’El Jadida écrit une page jurisprudentielle sans précédent dans le monde arabe. Le juge a en effet prononcé un jugement pour viol conjugal, formulé sous couvert d’agression.

L’inculpé, un homme de 42 ans, fqih de son état, est condamné à 2 ans de prison pour abus et agression sexuels sur son épouse de 35 ans. « C’est la première fois au Maroc qu’une telle décision est prise par une juridiction nationale. Le juge a estimé que l’acte sexuel a été exercé d’une manière anormale », explique Me Abdessalam El Mrini, avocat de la victime, inscrit au barreau d’El Jadida.
http://www.medias24.com/16800506201...-condamne-a-El-Jadida-pour-viol-conjugal.html



Une plainte en décembre 2012

Le 22 décembre 2012, les services de la gendarmerie royale de la ville d’El Jadida enregistrent une plainte. Une femme mariée depuis 11 ans dépose plainte contre son mari pour agression sexuelle. Elle est accompagnée par des membres de l’association féminine Essanaa, qui lutte, depuis 1999, pour la protection des femmes à El Jadida.

Le 2 janvier 2012, le procureur général s’empare de l’affaire et décide de la poursuite de l’accusé. « C’est exceptionnel en soi, que le procureur juge de l’opportunité des poursuites avec autant de célérité dans une affaire pareille », ne manque pas souligner Me El Mrini. En effet, l’époux est rapidement mis en détention.

Les preuves de l’accusation

Ce sont, tout d’abord, des attestations médicales édifiantes. Des arguments médicaux qui prouvent la ******* : une fissure anale large provoquant une maladie hémorroïdaire. « L’expertise médicale parle même de douleur rien qu’au toucher rectal », relate l’avocat de la défense.

Ensuite, un témoignage poignant, celui de l’une des filles des trois enfants du couple. Une fillette de 11 ans qui raconte devant une cour et une assistance sous le choc, les sévices subis par sa mère, sous ses yeux.

Une scène. Le père traînant la mère par les cheveux la couchant à même le sol. Les enfants sont présents dans la même pièce. Et le père ordonne à la mère de se soumettre à sa volonté.

Le fondement du plaidoyer

L’article 485 du Code pénal a servi de base à cet arrêt de la Cour d’appel d’El Jadida. Il énonce qu’« est puni d’une réclusion de 5 à 10 ans tout attentat à la pudeur consommé ou tenté avec violences contre des personnes de l’un ou de l’autre sexe ».

Ne disposant de texte juridique prévoyant l’agression sexuelle dans le cadre du mariage, le juge a donc appliqué cette disposition. Dans quelques jours, nous saurons si l’accusé fera appel de ce jugement.


un grand pas vers la reconnaissance du viol conjugal qui a dû mal à être reconnu dans des pays plus avancés que le Maroc
 
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Pour un F9ih la ******* ne correspond pas à son éthique, c'est condamnable
mais rajouter les témoignages des enfants sous influence de leurs mère. Ce n'est pas clair
En France le témoignage des enfants n'est pas recevable en cas de conflit entre parents.

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Oui, ça peut poser des problèmes de faire témoigner des enfants, mais peut‑être qu’un(e) psy a put constater qu’ils avaient vraiment été témoins de quelque chose. De toute manière, vu les lésions qu’elle a qu’il lui a faite, il doit bien assez fou pour ça (même si ce genre de raisonnement ne vaut rien pour un procès).

Puis il faut laisser la justice Marocaine faire ses premières expériences dans le domaine. Ils apprendront eux‑mêmes…
 
La reconnaissance du crime « viol conjugal » fait son chemin. La cour d’appel d’El Jadida donne un coup de pouce à la cause féminine.

En ce mercredi 5 juin, la Cour d’appel d’El Jadida écrit une page jurisprudentielle sans précédent dans le monde arabe. Le juge a en effet prononcé un jugement pour viol conjugal, formulé sous couvert d’agression.

L’inculpé, un homme de 42 ans, fqih de son état, est condamné à 2 ans de prison pour abus et agression sexuels sur son épouse de 35 ans. « C’est la première fois au Maroc qu’une telle décision est prise par une juridiction nationale. Le juge a estimé que l’acte sexuel a été exercé d’une manière anormale », explique Me Abdessalam El Mrini, avocat de la victime, inscrit au barreau d’El Jadida.
http://www.medias24.com/16800506201...-condamne-a-El-Jadida-pour-viol-conjugal.html



Une plainte en décembre 2012

Le 22 décembre 2012, les services de la gendarmerie royale de la ville d’El Jadida enregistrent une plainte. Une femme mariée depuis 11 ans dépose plainte contre son mari pour agression sexuelle. Elle est accompagnée par des membres de l’association féminine Essanaa, qui lutte, depuis 1999, pour la protection des femmes à El Jadida.

Le 2 janvier 2012, le procureur général s’empare de l’affaire et décide de la poursuite de l’accusé. « C’est exceptionnel en soi, que le procureur juge de l’opportunité des poursuites avec autant de célérité dans une affaire pareille », ne manque pas souligner Me El Mrini. En effet, l’époux est rapidement mis en détention.

Les preuves de l’accusation

Ce sont, tout d’abord, des attestations médicales édifiantes. Des arguments médicaux qui prouvent la ******* : une fissure anale large provoquant une maladie hémorroïdaire. « L’expertise médicale parle même de douleur rien qu’au toucher rectal », relate l’avocat de la défense.

Ensuite, un témoignage poignant, celui de l’une des filles des trois enfants du couple. Une fillette de 11 ans qui raconte devant une cour et une assistance sous le choc, les sévices subis par sa mère, sous ses yeux.

Une scène. Le père traînant la mère par les cheveux la couchant à même le sol. Les enfants sont présents dans la même pièce. Et le père ordonne à la mère de se soumettre à sa volonté.

Le fondement du plaidoyer

L’article 485 du Code pénal a servi de base à cet arrêt de la Cour d’appel d’El Jadida. Il énonce qu’« est puni d’une réclusion de 5 à 10 ans tout attentat à la pudeur consommé ou tenté avec violences contre des personnes de l’un ou de l’autre sexe ».

Ne disposant de texte juridique prévoyant l’agression sexuelle dans le cadre du mariage, le juge a donc appliqué cette disposition. Dans quelques jours, nous saurons si l’accusé fera appel de ce jugement.


rien à voir avec le viol conjugal..vous aboyez pour rien...lisez bien..en islam une femme a
le droit de refuser les pratiks sadik de son mari..rien de nouveau...

quant à son mari personne ne sait si c est un fqih...

jusk à present au Maroc le viol conjugal n existe pas...une femme ne doit pas se refuser
à son mari ...on n arrivera jamais à cela...


trjs votre manie à faire passer des vos delires...
 
Je comprends que c'est une première mais ...

Quelqu'un peut m'expliquer SVP ... Comment se fait-il que, même si l’article du Code pénal qui a servi de base à l'accusation prévoit une réclusion de 5 à 10 ans, cet homme est condamné à 2 ans de prison et ce, malgré les circonstances aggravantes (aggression produite en présence d'enfants d'âge mineur)?

Franchement vue le retard, c'est déjà un grand pas ! espérons qu'avec le temps les chose s'améliore et qu'ils soient condamné encore plus sévèrement, Paris ne sait pas fait en un jour.
 
quant à son mari personne ne sait si c est un fqih...

jusk à present au Maroc le viol conjugal n existe pas...une femme ne doit pas se refuser
à son mari ...on n arrivera jamais à cela...


trjs votre manie à faire passer des vos delires...

Rien compris à ton analyse ,mais une chose est sur j'aimerais pas être à la place de ta femme ....... Si t'en a une ....:defonce:
 
rien à voir avec le viol conjugal..vous aboyez pour rien...lisez bien..en islam une femme a
le droit de refuser les pratiks sadik de son mari..rien de nouveau...

quant à son mari personne ne sait si c est un fqih...

jusk à present au Maroc le viol conjugal n existe pas...une femme ne doit pas se refuser
à son mari ...on n arrivera jamais à cela...


trjs votre manie à faire passer des vos delires...

Prend une corde! pends toi et surtout ne pense pas à te reproduire! sinon l'humanité court à sa perte :rolleyes:
 
Je comprends que c'est une première mais ...

Quelqu'un peut m'expliquer SVP ... Comment se fait-il que, même si l’article du Code pénal qui a servi de base à l'accusation prévoit une réclusion de 5 à 10 ans, cet homme est condamné à 2 ans de prison et ce, malgré les circonstances aggravantes (aggression produite en présence d'enfants d'âge mineur)?


Exactement, c'est ce que je me suis dit!

Si la femme n'était pas violée devant ses enfants et pas sodomisée, je me serais demandé ce qu'il aurait prononcé comme jugement... si jugement il y a... :confus:
 
Rien compris à ton analyse ,mais une chose est sur j'aimerais pas être à la place de ta femme ....... Si t'en a une ....:defonce:


il a rien a comprendre...dans cette histoire il ne s agit en aucun d une histoire d un sois-
disant viol conjugal concept etrange que seul des gens idiot peuvent concevoir..


dans ce cas d aprés la description c est un pervers qui assouvisait son sadisme sur sa femme


il est normal que le tribunal condamne ce sadik..


le viol conjugal est une concept nouveau d inspiration satanik pour ameliorer la performance
du divorce en occident..

& vous savez quoi il y a meme le cas inverse ou des mec en europe on etait condamné
car il voulait plus ramoner la grosse...
 
rien à voir avec le viol conjugal..vous aboyez pour rien...lisez bien..en islam une femme a
le droit de refuser les pratiks sadik de son mari..rien de nouveau...

quant à son mari personne ne sait si c est un fqih...

jusk à present au Maroc le viol conjugal n existe pas...une femme ne doit pas se refuser
à son mari ...on n arrivera jamais à cela...

trjs votre manie à faire passer des vos delires...

Peut-etre que si tu avais pris la peine de lire, tu aurais constaté que l'article rapporte que l'homme est fqih et que l'accusation a été portée en s'appuyant sur l’article 485 du Code pénal au regard d'un attentat à la pudeur consommé ou tenté avec violences contre des personnes de l’un ou de l’autre sexe ...

Et, sans que l'article de loi n'y réfère spécifiquement, il s'agit tout de même un mari condamné pour avoir agressé sexuellement son épouse.
 
Exactement, c'est ce que je me suis dit!

Si la femme n'était pas violée devant ses enfants et pas sodomisée, je me serais demandé ce qu'il aurait prononcé comme jugement... si jugement il y a... :confus:

S'il n'y a pas de témoins, et qu'il n'y a pas de séquelles physiques qui donnent lieu à un certificat médical, qu'il n'y a pas un historique de violences conjugales.

Il serait difficile en se basant sur le témoignage de la plaignante de statuer. C'est valable dans le cas de viol conjugal ou viol hors mariage ou de quelconque type d'agression.

------------------------------------------------------------------------------------

Là, il y a des éléments qui prouvent l'agression sexuelle et donc il est facile de statuer, même si la peine est ridicule en comparaison des sévices qu'à fait subir ce mari à sa victime. 2 ans de prison c'est quand même 6 mois ou un an suivi d'une remise en liberté, la fameuse grâce en période des aids.
 
et alors mais cela rien à voir avec ce que certains appellent ici de maniere eroné

le viol conjugal....

Aucun musulman ne sera jamais condamné pour viol conjugal ce concept n existe pas
dans la charia...encore une débilité occidental au meme titre que le mariage sodomite..
la charia n'est pas appliquée dans la majorité des pays musulmans.
tout musulman qui sera reconnu coupable de viol conjugal (dans un pays ou c'est puni),alors il sera condamné.
 
non pas mal-bronzée mais mal mal-braisée...aprés un bon coup de lance flamme...
les bétises c est toi qui les ecrit avec des envies de meurtre en plus

en plus..tu me jettes des sortileges..vilaines sorcieres..

Finalement t'as pas l'air si méchant que ça ,t'as plutôt l'air marrant
Mdr ton post !!!
 
La reconnaissance du crime « viol conjugal » fait son chemin. La cour d’appel d’El Jadida donne un coup de pouce à la cause féminine.

En ce mercredi 5 juin, la Cour d’appel d’El Jadida écrit une page jurisprudentielle sans précédent dans le monde arabe. Le juge a en effet prononcé un jugement pour viol conjugal, formulé sous couvert d’agression.

L’inculpé, un homme de 42 ans, fqih de son état, est condamné à 2 ans de prison pour abus et agression sexuels sur son épouse de 35 ans. « C’est la première fois au Maroc qu’une telle décision est prise par une juridiction nationale. Le juge a estimé que l’acte sexuel a été exercé d’une manière anormale », explique Me Abdessalam El Mrini, avocat de la victime, inscrit au barreau d’El Jadida.
http://www.medias24.com/16800506201...-condamne-a-El-Jadida-pour-viol-conjugal.html



Une plainte en décembre 2012

Le 22 décembre 2012, les services de la gendarmerie royale de la ville d’El Jadida enregistrent une plainte. Une femme mariée depuis 11 ans dépose plainte contre son mari pour agression sexuelle. Elle est accompagnée par des membres de l’association féminine Essanaa, qui lutte, depuis 1999, pour la protection des femmes à El Jadida.

Le 2 janvier 2012, le procureur général s’empare de l’affaire et décide de la poursuite de l’accusé. « C’est exceptionnel en soi, que le procureur juge de l’opportunité des poursuites avec autant de célérité dans une affaire pareille », ne manque pas souligner Me El Mrini. En effet, l’époux est rapidement mis en détention.

Les preuves de l’accusation

Ce sont, tout d’abord, des attestations médicales édifiantes. Des arguments médicaux qui prouvent la ******* : une fissure anale large provoquant une maladie hémorroïdaire. « L’expertise médicale parle même de douleur rien qu’au toucher rectal », relate l’avocat de la défense.

Ensuite, un témoignage poignant, celui de l’une des filles des trois enfants du couple. Une fillette de 11 ans qui raconte devant une cour et une assistance sous le choc, les sévices subis par sa mère, sous ses yeux.

Une scène. Le père traînant la mère par les cheveux la couchant à même le sol. Les enfants sont présents dans la même pièce. Et le père ordonne à la mère de se soumettre à sa volonté.

Le fondement du plaidoyer

L’article 485 du Code pénal a servi de base à cet arrêt de la Cour d’appel d’El Jadida. Il énonce qu’« est puni d’une réclusion de 5 à 10 ans tout attentat à la pudeur consommé ou tenté avec violences contre des personnes de l’un ou de l’autre sexe ».

Ne disposant de texte juridique prévoyant l’agression sexuelle dans le cadre du mariage, le juge a donc appliqué cette disposition. Dans quelques jours, nous saurons si l’accusé fera appel de ce jugement.
un fqih en plus...alrs que...c'est interdit cet acte la par alkitab wa suna
 
Franchement vue le retard, c'est déjà un grand pas ! espérons qu'avec le temps les chose s'améliore et qu'ils soient condamné encore plus sévèrement, Paris ne sait pas fait en un jour.

Ce que je voulais dire, Breakbeat, c'est que je ne suis vraiment pas impressionnée par ce jugement. J''explique mon point de vu ... Le juge est là pour appliquer la loi lorsqu'il est démontré qu'une personne a enfreint celle-ci. Or, les preuves semblent suffisantes et le texte de loi existe bel et bien puisque ce juge condamne cet homme pour avoir contrevenu à l’article 485 du Code pénal. Par contre, bien que cet article de loi prévoit une réclusion de 5 à 10 ans, il lui impose 2 ans, une peine en deça le minimum de 5 ans suggéré par loi.

Ma perception c'est que le juge a râté l'occasion de rendre justice à la victime parce qu'il impose une condamnation sans conviction - plutôt comme s'il y était contraint. Cela a beau être une première, il avait tous les arguments (la preuve qu'il semble avoir jugée suffisante) et les outils en main (le texte de loi) pour faire son travail et rendre un verdict juste, ce qu'il n'a pas fait.

La seule personne qui ait fait preuve de courage dans cette affaire est cette femme, victime d'agression, en déposant sa plainte et en brisant le silence qui règne de façon générale sur les violences subies par certaines femmes au Maroc. Le juge s'est montré en-deça de ce qui est attendu de sa fonction soit d'appliquer la loi tel qu'elle est prévue.

Ce n'est que mon opinion.
 
Ce que je voulais dire, Breakbeat, c'est que je ne suis vraiment pas impressionnée par ce jugement. J''explique mon point de vu ... Le juge est là pour appliquer la loi lorsqu'il est démontré qu'une personne a enfreint celle-ci. Or, les preuves semblent suffisantes et le texte de loi existe bel et bien puisque ce juge condamne cet homme pour avoir contrevenu à l’article 485 du Code pénal. Par contre, bien que cet article de loi prévoit une réclusion de 5 à 10 ans, il lui impose 2 ans, une peine en deça le minimum de 5 ans suggéré par loi.

Ma perception c'est que le juge a râté l'occasion de rendre justice à la victime parce qu'il impose une condamnation sans conviction - plutôt comme s'il y était contraint. Cela a beau être une première, il avait tous les arguments (la preuve qu'il semble avoir jugée suffisante) et les outils en main (le texte de loi) pour faire son travail et rendre un verdict juste, ce qu'il n'a pas fait.

La seule personne qui ait fait preuve de courage dans cette affaire est cette femme, victime d'agression, en déposant sa plainte et en brisant le silence qui règne de façon générale sur les violences subies par certaines femmes au Maroc. Le juge s'est montré en-deça de ce qui est attendu de sa fonction soit d'appliquer la loi tel qu'elle est prévue.

Ce n'est que mon opinion.

Je comprends t'inquiètes, c'est juste que d'habitude cette loi elle passe à la trappe tous simplement.
 
ils ont rajouté fquih pour accentuer l evenement...à la base on n en sait rien

mais ca permet de salir les musulmans...

Ah bon, c'est certain que toi tu connais mieux qu'un journaliste qui prend la peine de rapporter le détail de ce jugement. Et, comme par hasard, toi tu sais assurément que ce journaliste a ajouté que l'homme accusé est fquih juste pour rendre le tout plus "juteux"? :malade:

T'inquiète, les occidentaux n'ont rien à inventer pour salir les musulmans au regard de la violence conjugale puisqu'ils la dénoncent aussi généralement tout autant parmi leurs propres populations. Peut-être que, si certains hommes cessaient de nier la réalité et de se poser en victimes en invoquant le salissage, pour s'attarder un peu plus sur les conséquences de cette violence faite aux femmes, la situation aurait des chances de s'améliorer plus rapidement.
 
Je comprends t'inquiètes, c'est juste que d'habitude cette loi elle passe à la trappe tous simplement.

Je ne suis pas convaincue que c'est la loi qui passe à la trappe mais plutôt que les victimes ne portent pas plainte ou que le dépôt de leur plainte n'est tout simplement pas accueilli, dans certain cas. Peut-être que je me trompe ...
 
moi si je prends une corde ca sera pour t attacher les pieds & de pendre..

quant à ma reproduction !

on a jamais pensé à stériliser un pur sang arabe !
bien au contraire les femelles se bousculent pour etre honoré de ma semence sacrée !

pauv meuf mal-b...
comment peux tu parler d'islam y faire reference sans cesse et t 'adresser comme cela à une femme ? ça me sidère les muslims de pacotille vous etes imblerables.
 
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