Babouchemasquee
VIB
Salam 
Ce matin, comme tous les matin, j’étais sur le trône, les yeux dans le vide et je réfléchissais.
Je pensais a quand on était enfant, quand la vie paraissait si facile. Je pensais à une époque ou on a plein de rêves, plein de projets, quand on pense pouvoir tenir le monde dans notre main, quand tout paraît possible . Je pensais à tous ces trucs que je m’étais dit que je ferai « plus tard » et j’ai jamais fait, ces gens que j’ai contoyé, puis oubliés, ces gens que je devais rappelé mais...
Je pensais aux anciens et aux jeunes qui sont partis, à ceux qui arrivent, au monde qu’on a connu, à celui de maintenant et à celui qu’on laissera derrière nous.
je pensais à la cuisine de ma grand-mère, à la tunisienne qui me draguait à la cantine de mon ancien taf.
Je pensais à ce truc que j’avais commandé pendant le premier confinement et que j’ai jamais reçu.
Puis le « plouf » m’a tiré de mon état végétatif. Je me suis rhabillé ( après m’être lavé les miches puis les mains évidement), je me suis regarde de dans la glace et je me suis dis « c’est le mektoub babouche ! »
Est ce que ça vous arrive de remettre votre vie en questions et de passer à autre chose juste après ou pas ? Vous le faites souvent ?
Ce matin, comme tous les matin, j’étais sur le trône, les yeux dans le vide et je réfléchissais.
Je pensais a quand on était enfant, quand la vie paraissait si facile. Je pensais à une époque ou on a plein de rêves, plein de projets, quand on pense pouvoir tenir le monde dans notre main, quand tout paraît possible . Je pensais à tous ces trucs que je m’étais dit que je ferai « plus tard » et j’ai jamais fait, ces gens que j’ai contoyé, puis oubliés, ces gens que je devais rappelé mais...
Je pensais aux anciens et aux jeunes qui sont partis, à ceux qui arrivent, au monde qu’on a connu, à celui de maintenant et à celui qu’on laissera derrière nous.
je pensais à la cuisine de ma grand-mère, à la tunisienne qui me draguait à la cantine de mon ancien taf.
Je pensais à ce truc que j’avais commandé pendant le premier confinement et que j’ai jamais reçu.
Puis le « plouf » m’a tiré de mon état végétatif. Je me suis rhabillé ( après m’être lavé les miches puis les mains évidement), je me suis regarde de dans la glace et je me suis dis « c’est le mektoub babouche ! »
Est ce que ça vous arrive de remettre votre vie en questions et de passer à autre chose juste après ou pas ? Vous le faites souvent ?