Nod nod tu vas être en retard au boulot 
Une rencontre pas comme les autres !
- Initiateur de la discussion yasstyme85
- Date de début
C pour ça c fini le métro trop de perversPTDRRRRRRRRRRR Le frotteur de la ligne 13, on l'a trouvé
le metro 13
Aux heures de pointe la moitié des passagers sont des frotteurs chomeurs.
Apres chacun son hobby
je me posait la question sur les femmes si elles aimaient ca ou pas?
mdr
j en suis sur que y en a qq une qui kiffent ca
mohahahahah²
Ya de tout dans la vie, tu en as meme qui fantasme sur le viol, les koalas, les papillons sous la jupe pour aller butiner la fleur, les vegeto-sexuel ( une femme au mexique est tombé amoureuse d'un palmier) etc etc
mdr le palmier en cheval
mohahahaha²
Merci à tout le monde pour vos commentaires. Bien sûr l'histoire n'est pas terminée, je publierai le reste bientôt !
!
Merci à tout le monde pour vos commentaires. Bien sûr l'histoire n'est pas terminée, je publierai le reste bientôt
Trop tard, j'ai déjà pécho laetitia.......
Le monde appartient à ceux qui se lèvent tôt.
Merci à tout le monde pour vos commentaires. Bien sûr l'histoire n'est pas terminée, je publierai le reste bientôt
Fais nous rêver
la dernière personne qui m'a sorti ça, ca s'est mal passéFais nous rêver
Une rencontre pas comme les autres -- partie 2 --
Il venait de rentrer dans son petit appartement dans le 13 ème, fatigué, après une longue journée du travail. Il s'est reposé sur le canapé et fermé les yeux, remuant dans sa tête quelques événements de la journée, l'image de Lætitia revenait souvent, puis il se laissa envahir par un tas de questions : Qu'est ce qu'elle a de si spéciale cette blonde aux yeux verts au point de prendre la peine de la suivre et demander son numéro ? Ne me suis je comporté comme un côn en agissant de la sorte ? Elle va se dire : encore un arabe obsédé et désespéré ! Il souriait à cette idée, puis une autre voix lui dit : ça n'est pas ce que j'ai ressenti pendant notre conversation le long du trajet malgré notre silence. Le langage du corps, des signes, les quelques mots échangés disent autre chose, mais peu importe ! La vraie question : Qu'est ce que je suis entrain de faire ? Me suis je comporté seulement par instinct ou avais-je bien toute ma tête ? Une chose est sûre : c'est que cette fille me plaît. Il sortait son téléphone et regardait le numéro affiché sur l'écran, puis d'un geste rapide il jette le téléphone et sort de la maison à la hâte. Il vient de se rendre compte qu'il ne lui reste plus de bière depuis hier, et que son frigo est presque vide, le magasin allait bientôt fermer. Il descend les escaliers, rejoint le parking démarre sa petite bagnole toute auréolée de poussière, il arrive un quart d'heure avant la fermeture du magasin, il lance quelques sourires rapides et furtifs aux visages familiers, il prend la bière, le camembert qui porte le nom le Rustique, quelques tomates et d'autres petites choses.
Il rentre à la maison : J'ai faim, que vais-je manger ? sûrement pas les pâtes. Il prends des œufs et prépare une omelette des plus simples qu'elle mangea avec du pain, puis avala un peu de fromage du chèvre et du camembert en sandwich entre deux tranches du pain de mie. D'habitude il prend son temps pour préparer un plat au sens propre du terme, mais ce soir il a la flemme et semble en plus déconcentré.
Après le dîner, il rangea ses ustensiles après un coup de lavage rapide, il brossa les dents alla dans la chambre à coucher, il enleva son jean et son t-shirt blanc et enfila son pyjama, il alluma ensuite la télé en désactivant le son. Enfin il chercha quelques bouteilles de bière fraîches qu'il posa sur la table basse et s’allongea sur le canapé.
Il ouvre la première bouteille et déguste la première gorgée. Puis murmura d'une voix audible : Quel bonheur de boire une bière pétillante après une journée tumultueuse. Il continua à boire jusqu'à la dernière goûte. Il reposa la tête un instant et se laissa distraire par les images qui défilaient sur l'écran, un documentaire sur les animaux !
Il ouvre la deuxième bouteille "Demain une autre vie" murmura-t-il.
Il promena son regard dans toute la pièce; contemplant le décor, un regard ressemblant à celui que jette un peintre sur une toile qu'il vient d'achever, puis il parla à lui même dans sa tête :
Je suis seul et malheureux, cette vie à l'occidental m'est difficile à supporter.
Moi qui a grandit ailleurs, me revoilà contraint de vivre l'individualité pure et simple,
Solo comme ces français parisiens indifférents
Suis-je obligé de vivre de la sorte ni famille, ni véritable amis.
Mais voyons, ma vie ancienne n'était pas aussi à convoiter.
Au milieu même de la famille et des amis je me sentais encore sévèrement seul et étranger
une vie de routine, de mœurs et de coutumes d'un autre âge.
Enfin je crois il vaut mieux être seul que mal accompagné.
Et en attendant qu'un jour je trouve l'âme sœur, je crois que je vais me procurer un chien, un malinois peut-être ou un chien plutôt mignon, un petit caniche.
Il éclatait de rire tout seul avant de continuer :
Pourquoi pas ! vivre avec un chien c'est mieux que vivre seul comme ces nouveaux ermites occidentaux.
Il pensa à Lætitia. Le doute lui revient quant à la nature du feeling qu'il éprouva dans le métro. ça n'est ni un coup de foudre ni une simple pulsion passagère..Il s'est passé quelque chose, quel le secret derrière le regard de ses beaux yeux ? il n'arrête pas à présent de penser à elle. Il n'y a qu'un pas à faire pour trancher.
Il attrapa aussitôt son téléphone, appela le numéro, et écouta attentivement la mélodie monotone de l'autre bout du fil.
Fin partie 2
Il venait de rentrer dans son petit appartement dans le 13 ème, fatigué, après une longue journée du travail. Il s'est reposé sur le canapé et fermé les yeux, remuant dans sa tête quelques événements de la journée, l'image de Lætitia revenait souvent, puis il se laissa envahir par un tas de questions : Qu'est ce qu'elle a de si spéciale cette blonde aux yeux verts au point de prendre la peine de la suivre et demander son numéro ? Ne me suis je comporté comme un côn en agissant de la sorte ? Elle va se dire : encore un arabe obsédé et désespéré ! Il souriait à cette idée, puis une autre voix lui dit : ça n'est pas ce que j'ai ressenti pendant notre conversation le long du trajet malgré notre silence. Le langage du corps, des signes, les quelques mots échangés disent autre chose, mais peu importe ! La vraie question : Qu'est ce que je suis entrain de faire ? Me suis je comporté seulement par instinct ou avais-je bien toute ma tête ? Une chose est sûre : c'est que cette fille me plaît. Il sortait son téléphone et regardait le numéro affiché sur l'écran, puis d'un geste rapide il jette le téléphone et sort de la maison à la hâte. Il vient de se rendre compte qu'il ne lui reste plus de bière depuis hier, et que son frigo est presque vide, le magasin allait bientôt fermer. Il descend les escaliers, rejoint le parking démarre sa petite bagnole toute auréolée de poussière, il arrive un quart d'heure avant la fermeture du magasin, il lance quelques sourires rapides et furtifs aux visages familiers, il prend la bière, le camembert qui porte le nom le Rustique, quelques tomates et d'autres petites choses.
Il rentre à la maison : J'ai faim, que vais-je manger ? sûrement pas les pâtes. Il prends des œufs et prépare une omelette des plus simples qu'elle mangea avec du pain, puis avala un peu de fromage du chèvre et du camembert en sandwich entre deux tranches du pain de mie. D'habitude il prend son temps pour préparer un plat au sens propre du terme, mais ce soir il a la flemme et semble en plus déconcentré.
Après le dîner, il rangea ses ustensiles après un coup de lavage rapide, il brossa les dents alla dans la chambre à coucher, il enleva son jean et son t-shirt blanc et enfila son pyjama, il alluma ensuite la télé en désactivant le son. Enfin il chercha quelques bouteilles de bière fraîches qu'il posa sur la table basse et s’allongea sur le canapé.
Il ouvre la première bouteille et déguste la première gorgée. Puis murmura d'une voix audible : Quel bonheur de boire une bière pétillante après une journée tumultueuse. Il continua à boire jusqu'à la dernière goûte. Il reposa la tête un instant et se laissa distraire par les images qui défilaient sur l'écran, un documentaire sur les animaux !
Il ouvre la deuxième bouteille "Demain une autre vie" murmura-t-il.
Il promena son regard dans toute la pièce; contemplant le décor, un regard ressemblant à celui que jette un peintre sur une toile qu'il vient d'achever, puis il parla à lui même dans sa tête :
Je suis seul et malheureux, cette vie à l'occidental m'est difficile à supporter.
Moi qui a grandit ailleurs, me revoilà contraint de vivre l'individualité pure et simple,
Solo comme ces français parisiens indifférents
Suis-je obligé de vivre de la sorte ni famille, ni véritable amis.
Mais voyons, ma vie ancienne n'était pas aussi à convoiter.
Au milieu même de la famille et des amis je me sentais encore sévèrement seul et étranger
une vie de routine, de mœurs et de coutumes d'un autre âge.
Enfin je crois il vaut mieux être seul que mal accompagné.
Et en attendant qu'un jour je trouve l'âme sœur, je crois que je vais me procurer un chien, un malinois peut-être ou un chien plutôt mignon, un petit caniche.
Il éclatait de rire tout seul avant de continuer :
Pourquoi pas ! vivre avec un chien c'est mieux que vivre seul comme ces nouveaux ermites occidentaux.
Il pensa à Lætitia. Le doute lui revient quant à la nature du feeling qu'il éprouva dans le métro. ça n'est ni un coup de foudre ni une simple pulsion passagère..Il s'est passé quelque chose, quel le secret derrière le regard de ses beaux yeux ? il n'arrête pas à présent de penser à elle. Il n'y a qu'un pas à faire pour trancher.
Il attrapa aussitôt son téléphone, appela le numéro, et écouta attentivement la mélodie monotone de l'autre bout du fil.
Fin partie 2
Belle histoire,J'ai hâte de savoir ce qui va se passer après
Laetitia est moins présente dans cette seconde partie, je reste sur ma faim perso