Via Essalmi Nadia
En passant devant un café, j'ai pensé à ce texte que je remets.
(Une Spécialité Marocaine) ou à quand une réconciliation entre le regard du Marocain et le corps de la Femme Marocaine?!
-Les terrasses de cafés sont aussi le refuge des prédateurs et des voyeurs. C’est l’endroit par excellence où s’exerce l’activité favorite des mâles : « tuer le temps » en pratiquant le choufing. Un verre de café et un journal et les voilà qui squattent le lieu pendant des heures.
Il faut néanmoins s’offrir une place de choix pour bien se délecter du spectacle et ne pas en perdre une miette. Ils ouvrent leur journal, se cachent derrière, et telles des araignées à l’affut de leurs proies, se mettent à mater et à déshabiller du regard les femmes qui déambulent.
Le défilé commence. L’objet convoité est une paire de fesses. Les grosses, les petites, les rondes, les bombées, les galbées, les rebondies, les plates, les larges…, chacun son goût.
Les formes et les rondeurs ne se discutent pas. Il y a ceux qui raffolent des derrières proéminents supportés par deux cuisses bien charnues et moulues dans un legging, ceux-là mêmes qui font rêver plus d’un. D’autres louchent, au point de laisser tomber leur journal, à la vue des fesses roulées dans une djellaba serrée qui épouse bien leur mouvement déhanché. Le bonheur est complet quand le vent, en complice charnel, avec un souffle, vient plaquer le tissu sur la chair désirée sous une jupe ample.
Les fesses bien larges remplissent généreusement le regard. Certaines paires d’yeux sortent de leur globe pour les accompagner jusqu’au bout de la rue. Là, affolées, elles rebroussent chemin illico presto, de peur de ne plus retrouver le chemin vers leur or-bite.
Les femmes minces, circulez, vous n’êtes pas leur tasse de café.
https://www.facebook.com/mostafa.chabli/posts/10211595408706471
En passant devant un café, j'ai pensé à ce texte que je remets.
(Une Spécialité Marocaine) ou à quand une réconciliation entre le regard du Marocain et le corps de la Femme Marocaine?!
-Les terrasses de cafés sont aussi le refuge des prédateurs et des voyeurs. C’est l’endroit par excellence où s’exerce l’activité favorite des mâles : « tuer le temps » en pratiquant le choufing. Un verre de café et un journal et les voilà qui squattent le lieu pendant des heures.
Il faut néanmoins s’offrir une place de choix pour bien se délecter du spectacle et ne pas en perdre une miette. Ils ouvrent leur journal, se cachent derrière, et telles des araignées à l’affut de leurs proies, se mettent à mater et à déshabiller du regard les femmes qui déambulent.
Le défilé commence. L’objet convoité est une paire de fesses. Les grosses, les petites, les rondes, les bombées, les galbées, les rebondies, les plates, les larges…, chacun son goût.
Les formes et les rondeurs ne se discutent pas. Il y a ceux qui raffolent des derrières proéminents supportés par deux cuisses bien charnues et moulues dans un legging, ceux-là mêmes qui font rêver plus d’un. D’autres louchent, au point de laisser tomber leur journal, à la vue des fesses roulées dans une djellaba serrée qui épouse bien leur mouvement déhanché. Le bonheur est complet quand le vent, en complice charnel, avec un souffle, vient plaquer le tissu sur la chair désirée sous une jupe ample.
Les fesses bien larges remplissent généreusement le regard. Certaines paires d’yeux sortent de leur globe pour les accompagner jusqu’au bout de la rue. Là, affolées, elles rebroussent chemin illico presto, de peur de ne plus retrouver le chemin vers leur or-bite.
Les femmes minces, circulez, vous n’êtes pas leur tasse de café.
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