Valls défend la LDJ et soutient « le paix » entre Israéliens et Palestiniens
INFO PANAMZA. Découvrez les images d'un Premier ministre dédouanant la LDJ pour sa violence et le double discours de la France à propos de la question israélo-palestinienne.Le 24.07.2014 à 19h53Côté police: le sujet est si « sensible » qu'on ne donne « aucun renseignement ».Tels ont été les termes employés par Le Nouvel Observateur du 13 août 2012:
Manuel Valls, alors ministre de l'Intérieur, n'avait toujours pas « pris position » sur le traitement à réserver à la LDJ (Ligue de défense juive), mouvement ultra-sioniste ayant commis, depuis plusieurs années, des agressions et des intimidations à l’encontre de citoyens ou d’entreprises jugés hostiles à Israël.Jeudi 24 juillet, sur l'antenne de RTL, Manuel Valls -interrogé sur les dernières provocations de la Ligue de défense juive- n'a pas hésité à mentir ouvertement en laissant entendre que la LDJ n'avait jamais commis d'action violente susceptible de la rendre hors-la-loi.
Suite à une nouvelle question audacieuse de l'interviewer Philippe Corbé -à propos du parti pris pro-israélien des autorités actuelles, le Premier ministre a commis un lapsus éloquent en affirmant que la France prônait « le paix » dans les relations israélo-palestiniennes avant de prétendre qu'elle oeuvrait en faveur d'un cessez-le-feu de manière « équilibrée ».
Un bémol : le journaliste a omis de l'interroger sur l'abstention (signalée aussitôt sur Panamza) de la France, hier à Genève, lors du vote d'une résolution du Conseil des droits de l'homme de l'ONU portant sur l'exigence du respect du droit international dans les Territoires palestiniens occupés et la demande d'ouverture d'une enquête relative aux allégations de crimes de guerre commis à Gaza.
Depuis son lancement, Panamza a déjà consacré plusieurs articles destinés au citoyen-lecteur désireux d'en savoir plus sur un sujet totalement passé sous silence par les médias traditionnels: la singulière israélomanie du Premier ministre de France et le traitement de faveur politico-médiatique envers la mouvance sioniste hexagonale qui en découle.
INFO PANAMZA. Découvrez les images d'un Premier ministre dédouanant la LDJ pour sa violence et le double discours de la France à propos de la question israélo-palestinienne.Le 24.07.2014 à 19h53Côté police: le sujet est si « sensible » qu'on ne donne « aucun renseignement ».Tels ont été les termes employés par Le Nouvel Observateur du 13 août 2012:
Manuel Valls, alors ministre de l'Intérieur, n'avait toujours pas « pris position » sur le traitement à réserver à la LDJ (Ligue de défense juive), mouvement ultra-sioniste ayant commis, depuis plusieurs années, des agressions et des intimidations à l’encontre de citoyens ou d’entreprises jugés hostiles à Israël.Jeudi 24 juillet, sur l'antenne de RTL, Manuel Valls -interrogé sur les dernières provocations de la Ligue de défense juive- n'a pas hésité à mentir ouvertement en laissant entendre que la LDJ n'avait jamais commis d'action violente susceptible de la rendre hors-la-loi.
Suite à une nouvelle question audacieuse de l'interviewer Philippe Corbé -à propos du parti pris pro-israélien des autorités actuelles, le Premier ministre a commis un lapsus éloquent en affirmant que la France prônait « le paix » dans les relations israélo-palestiniennes avant de prétendre qu'elle oeuvrait en faveur d'un cessez-le-feu de manière « équilibrée ».
Un bémol : le journaliste a omis de l'interroger sur l'abstention (signalée aussitôt sur Panamza) de la France, hier à Genève, lors du vote d'une résolution du Conseil des droits de l'homme de l'ONU portant sur l'exigence du respect du droit international dans les Territoires palestiniens occupés et la demande d'ouverture d'une enquête relative aux allégations de crimes de guerre commis à Gaza.
Depuis son lancement, Panamza a déjà consacré plusieurs articles destinés au citoyen-lecteur désireux d'en savoir plus sur un sujet totalement passé sous silence par les médias traditionnels: la singulière israélomanie du Premier ministre de France et le traitement de faveur politico-médiatique envers la mouvance sioniste hexagonale qui en découle.