Vers la préférence nationale ?

Ces femmes seules avec enfants constituent la frange de la population la plus fragile et elles sont responsables de l'éducation d'enfants qui vivent sans père, sans modèle masculin.

Souvent en situation de vraie pauvreté financière mais aussi sociale.

Beaucoup de ces enfants ne sont pas "structurés". Beaucoup de ces enfants n'ont pas les bons repères.....Certains recherchent ces fameux repères dans des bandes très hiérarchisées....et criminogènes.

Des jeunes de 13 ans qui déraillent.....définitivement!

L'état est défaillant.

Je suis désolée, la contraception est quasiment infaillible.

L'Etat n'a pas à supporter la négligence de femmes qui en plus de cela imposent généralement un lien à un homme qui n'en veut pas.

Leur situation, elles l'ont voulu. Elles ont décidé d'avoir un enfant, alors elle doivent assumer.

Je pense qu'en supprimant cette aide non seulement cela fera de larges dépenses en moins, des cas sociaux en moins (les chiens ne font pas des chats) et il y aura moins de pauvres hommes qui se verront imposer une paternité!

Donc, elles ne sont pas à plaindre.

Celles qui le sont, ce sont celles qui travaillent pour un SMIC, sont célibataires et ont des enfants.

Et on oublie les personnes âgées qui touchent une retraite de misère alors qu'elles ont travaillé toute leur vie!

Elles, oui il faut les aider, ne serait-ce qu'en leur donnant accès à la CMU (elles ne l'ont pas car elles sont au-dessus des plafonds).
 
Faut arrêter de stigmatiser les étrangers. Je vous rappelle qu'il y a des conditions pour les étrangers hors U.E, en gros il faut être titulaire de la carte de résident ou titulaire d'un titre de séjour autorisant à travailler depuis au moins 5 ans...Je suis contre le fait de révoquer cette lois. Par contre, j'y attribuerai un nombre d'heure minimale travaillé afin de le percevoir... J'estime qu'il y a pas assez de contrôle afin de diminuer les fraudes. Il faut bannir le travail au noir (ce qu'ils bossent de cette façon font un très mauvais calcul), les assister fraudeurs de la sécu, du rsa du chômage.... Ces gens nuisent terriblement au tissu économique de la France... Si on arrive à couper les prestations aux fraudeurs on pourra peut-être diminuer les charges sociales, mettre en confiance les entrepreneurs et relancer le pouvoir d'achat des ménages moyen...
 
Faut arrêter de stigmatiser les étrangers. Je vous rappelle qu'il y a des conditions pour les étrangers hors U.E, en gros il faut être titulaire de la carte de résident ou titulaire d'un titre de séjour autorisant à travailler depuis au moins 5 ans...Je suis contre le fait de révoquer cette lois. Par contre, j'y attribuerai un nombre d'heure minimale travaillé afin de le percevoir... J'estime qu'il y a pas assez de contrôle afin de diminuer les fraudes. Il faut bannir le travail au noir (ce qu'ils bossent de cette façon font un très mauvais calcul), les assister fraudeurs de la sécu, du rsa du chômage.... Ces gens nuisent terriblement au tissu économique de la France... Si on arrive à couper les prestations aux fraudeurs on pourra peut-être diminuer les charges sociales, mettre en confiance les entrepreneurs et relancer le pouvoir d'achat des ménages moyen...

Moi aussi, je suis pour instaurer une durée de travail pour ouvrir des droits.

Eradiquer la fraude coûte plus cher en contrôle que de la laisser se perpétuer.

En outre et surtout même si on arrivait à mettre fin aux fraudes, ce ne sera pas assez pour se permettre de diminuer les charges patronales.

L'Etat providence c'est terminé. On a une dette publique flippante.

Seule solution: diminuer les dépenses et augmenter les recettes.

Bon, il faudrait déjà commencer par mettre un terme à tous les privilèges de nos politiques. Ce n'est pas gagné.
 
De toute façon, il faudra un jour revoir ces minima sociaux qui ont trop d'effets pervers. Il y a 10 ans lorsque j'ai recherché des maçons, aucun ne voulait être déclaré: lorsqu'ils enlevaient le RMI, les allocations et aides diverses, ils réalisaient qu'ils allaient bosser pour 200 ou 300 euros mensuels...Il s'agissait de Marocains mais ils auraient eu la nationalité française que ça aurait été pareil...
Perso je pense que le système est trop généreux...Un mec qui est maçon, en 3 mois il trouve du boulot. S'il en veut pas, tu coupes tout que le mec soit français depuis 20 générations ou qu'il vienne d'arriver...

Les patrons voyou ça existe aussi... Avis aux entrepreneurs...
http://www.letese.urssaf.fr/cetpeweb/info1.jsp
 

moroccan1nyc

┌∩┐(◕_◕)┌&#874
La France ne pourra jamais rejeter ou contrôler quels types d'Africains a le droit d'entrer dans le pays car les enjeux diplomatiques et économiques sont énormes.
 
Les femmes seules avec enfants sont généralement des femmes qui vivaient en couple....et qui ont été larguées, les pères prenant souvent leurs distances au point d'oublier leurs obligations/responsabilités de père.

C'est ainsi dans toutes les couches sociales....et dans toutes les communautés (si communauté il y a).

L'état ne donne pas les moyens aux juges de la jeunesse, aux institutions (comparé au Canada/Québec c'est une misère).....et aux travailleurs sociaux.

Quand les familles (?) sont défaillantes ou désarmées il n'est pas pensable d'abandonner les enfants en difficulté ou les enfants à problèmes à leur propre sort.

Il s'agit de "nos" enfants".
 

kolargool

schtroumpf CoCo
VIB
Le vrai problème c'est l'ultra liberalisme qui permet la circulation des personnes et des flux financiers à outrance sans régulation des Etats.
Ca a mis une pagaille monstre ( dumping social, augmentation du cout de la vie etc..)
et ça ne va aller qu'en s'empirant, les Etats européens sont impuissants, en verité ce sont les multinationales qui decident.
Tous les problèmes dont vous parlez n'en sont que les conséquences.
En 2011 en France il y a des esclaves qui travaillent sans être payé ( plusieurs dizaines de milliers) , on les appelle, pour adoucir la chose, "stagiaires".


Le bout du problème commence là ou certains gagnent plus de 1000 fois le soit disant salaire moyen...

Commençons par ré équilibrer les choses par la tête et non les pieds

Et que certains montrent l'exemple en travaillant a la sueur de leurs fronts avant d'incriminer les faibles...

Pour ne citer que ma boite, elle profite encore des aides de l' APLD ( chomage a 75%) alors qu'elle fait des bénéf depuis 10 ans...
( 3 millions d € / an avec 350 personnes)

Elle s'en sert pour optimiser son personnel au jour le jour...

Qui paye ? qui fait le trou ? qui se rempli les poches ?

On parlera d'inciter les petits fainéants quand les gros fainéants montreront l'exemple...

Au passage, n article du monde parle d'une augmentation spectaculaire des redressements urssaf cette année.
 
Au lieu de réformer le système social qui n'a ni queue ni tête, le gouvernement dégaine sa solution miracle. Mais c'est vrai que ça demande moins de travail de toujours pointer les (mêmes) étrangers.
 
De toute façon, il faudra un jour revoir ces minima sociaux qui ont trop d'effets pervers. Il y a 10 ans lorsque j'ai recherché des maçons, aucun ne voulait être déclaré: lorsqu'ils enlevaient le RMI, les allocations et aides diverses, ils réalisaient qu'ils allaient bosser pour 200 ou 300 euros mensuels...Il s'agissait de Marocains mais ils auraient eu la nationalité française que ça aurait été pareil...
Perso je pense que le système est trop généreux...Un mec qui est maçon, en 3 mois il trouve du boulot. S'il en veut pas, tu coupes tout que le mec soit français depuis 20 générations ou qu'il vienne d'arriver...

Oui je suis d'accord, il faut empêcher les étrangers africains de venir ici, toucher le RMI et supporter le sale caractère des patrons qui leur donne tout le boulot que les Français veulent pas faire (pas la peine de discuter ça) y a mieux comme projet. Quant à tes aides sociales, n'importe qui y a droit, les foyers aisés de Français, européens et américains (chez qui vous pouvez toujours rêver de recevoir quoi que ce soit de l'Etat) en profitent tous allègrement... pour ne citer que cette incohérence là.
 

kolargool

schtroumpf CoCo
VIB
Un autre exemple du social....



Chômage

20 millions pour les chômeurs, 2 milliards pour les employeurs : la CGT
ne signe pas

mardi 5 avril 2011

Un projet d’accord national interprofessionnel du 25 mars 2011 relatif à
l’indemnisation du chômage est soumis à signature des organisations syndicales.

Ce projet d’accord, composé de cinq articles, a pour objectif d’arrêter les
nouveaux paramètres d’indemnisation du chômage et de fixer le niveau des
cotisations des employeurs et des salariés.

Dès le début de la négociation, le patronat a proposé la mise en place d’un groupe
de travail paritaire « politique », pour renvoyer à plus tard les revendications
portées en commun par les organisations syndicales. Le procès-verbal annexé au projet d’accord détermine les thèmes de discussion dont la liste n’est pas
limitative. Cette réflexion devrait servir de base de travail pour la négociation de la prochaine convention d’assurance chômage en 2013. Cependant, la feuille de route ne fixe aucune obligation de résultat et l’expérience montre que ce processus reste aléatoire.

Contenu de l’accord : deux mesures (articles 2 et 3) améliorent les droits à
indemnisation des personnes en invalidité et en saisonnalité. La pension
d’invalidité (2ème catégorie) pourra être cumulée avec l’allocation chômage et le coefficient réducteur appliqué pour le calcul de l’indemnisation des salariés
saisonniers est supprimé. Ces deux revendications, portées par la CGT, mettent fin à une injustice qui frappait 10 000 allocataires. Le coût de ces deux mesures est évalué à environ 20 millions d’euros par an.

Par contre, l’article 4 acte une baisse des contributions patronales et salariales dès lors que deux conditions seront réunies. La première est d’avoir deux semestres supérieurs à 500 millions d’euros d’excédent dans le résultat d’exploitation. La seconde consiste à avoir un déficit cumulé inférieur à 5 milliards d’euros. Selon les services de l’Unedic, ces deux conditions devraient être réunies à partir de 2014 ou 2015. Cet article précise que la baisse annuelle ne peut dépasser 0,4 % des contributions, soit 2 milliards d’euros par année. C’est 100 fois plus que le coût des mesures inscrites aux articles 2 et 3 en faveur des handicapés et des saisonniers.

Le Medef a obtenu que cette baisse des cotisations perdure jusqu’en 2016, c’est-à-dire qu’elle est applicable par anticipation pour la convention de 2013. Pour Parisot, tout est précaire, la vie, le travail et même l’amour … sauf la baisse des cotisations patronales ! Acter dans ces conditions la baisse des cotisations revient à admettre dès aujourd’hui qu’il faudra réduire les droits des chômeurs lors de la prochaine convention.
 

kolargool

schtroumpf CoCo
VIB
Pour la CGT, face à la violence de la crise et des centaines de milliers de personnes
qui sont venues grossir les rangs de l’assurance-chômage, face au développement
du sous-emploi et de la précarité grandissante, face au 1,5 million de chômeurs en
longue durée (plus d’un an), il aurait été nécessaire d’améliorer les droits des
chômeurs en intégrant beaucoup plus de personnes dans le régime assurantiel (un
sur deux seulement est indemnisé) et en les protégeant plus longtemps. C’est ce
que préconisait d’ailleurs l’OCDE dans un rapport rendu au Conseil d’orientation
pour l’emploi en février 2011.
La nouvelle convention n’améliore pas les droits du plus grand nombre (plus de 4
millions d’inscrits à Pôle emploi). Pire, nous commençons à mesurer chaque mois
les effets dévastateurs de la précédente convention (2009-2011), qui avait réduit
les durées d’indemnisation pour le plus grand nombre arrivant aujourd’hui en fin
de droits. D’ores et déjà, le nombre de demandeurs d’emploi indemnisés par
l’assurance chômage est en baisse, tandis que celui des titulaires des minima
sociaux (ASS, RSA, etc.) explose !
La CGT a remarqué que le patronat a changé sa stratégie. Les négociations sur
l’assurance chômage ne portent plus sur la durée d’une seule convention (2 ou 3
ans ) mais de deux ( 4 ou 6 ans ). Ainsi, on négocie la convention 2011 – 2013, sans
être en capacité d’évaluer entièrement les conséquences de convention
précédente 2009-2011. Et le même scénario se reproduira en 2013 pour négocier la
convention qui s’appliquera jusqu’en 2016. Cette stratégie permet de brouiller le
message en direction de l’opinion et favorise les mauvais compromis dans les
négociations.
Après consultation de ses organisations, la Commission exécutive confédérale
décide de ne pas signer la convention.
Montreuil, le 5 avril 2011
 
Haut