Le Cheikh est né de deux parents croyants, nobles, vertueux, endurants, et cultivant la crainte. Sa mère Astou JANQAA, fille de Ibrahim est d'une lignée noble. Son père, AL Hadji 'Abdallâhi Niasse, fils de Bakari, fils de Muhammadu AL Amîn, fils de Samba fils de Ridâ détenait un immense savoir et maîtrisait le Coran dont il fut un éminent exégète.
Il s'est occupé seul de l'éducation de tous ses enfants, triomphant ainsi sur la volonté des autorités coloniales d'enseigner le français aux fils de marabouts afin de les bouter hors de la culture islamique.
Cheikh Ibrahim fut sans conteste le plus illustre d'eux , lui qui naquit un jeudi après ('Asr), le 15 du mois de Rajab en l'an 1320 après l'hégire du Prophète (SAW), soit en 1901 après la naissance de 'Issâ (AS), dans un village dénommé Taïba niassène localité fondée par son père.
Taïba 1 (qui signifie ce qui est pur) est sémantiquement et physiquement auréolé d'un halo de pureté dont les senteurs exhalées font prendre à l'âme qui la hume son essor vers la nue de la perfection. La pureté de Taïba lui est-elle intrinsèque? Son épicentre est-elle l'être des ascendants de Baye qui l'on incarné dans toute sa splendeur? Ou sa pureté est-elle l'empreinte de celle du Cheikh Al Islam? Quelque soit l'origine de la pureté de la localité, le voyage vers Taïba est le symbole de l'élan vers la pureté intérieure dont le terme est la parfaite illumination.
Le Cheikh Al Islam étudiait le coran sous la direction de son père et le mémorisa entièrement selon la version «warch» alors qu'il était dans sa tendre enfance, ce qui lui valut le titre de «Hâfiz». Il rechercha le savoir, dont il maîtrisait différentes branches, auprès de son père, alors que la lumière de la beauté divine brillait sur lui et que le secret de la guidée du Prophète (SAW) était enfoui en lui.
Après le décès de son père, en l'an 1340 de l'hégire, à l'âge de 76 ans (de l'année lunaire) alors qu'il n'avait que 20ans, il n'étudia plus chez aucun maître.
Et pourtant la totalité des savants qu'il a croisés durant ses longs et riches périples ont proclamé l'excellence et la vastitude de son savoir plus qu'encyclopédique. Il commença l'exégèse du Coran avec une maîtrise et une originalité stupéfiantes. Il ajoutait dans ses séances plus que n'en disaient les livres des exégètes et se donnait l'ample liberté d'apporter des correctifs dans le sens des traductions habituelles. De la lettre du texte brut, il tirait l'esprit en ne se fondant que sur le Saint livre. Il enseignant d'ailleurs que c'est le Coran qui lui expliquait le coran. Pour cette raison il ne s'aidait que du Coran et des Hadith. Pour l'interprétation du livre. Pour sa première séance d'exégèse du coran, il envoya emprunter à l'un de ses frères le livre «Hâchiya Sâwi» qui fait autorité dans ce domaine. Celui-ci lui opposa son refus sans demander de qui il tenait l'autorisation d'une telle initiative. Il rétorqua à celui qu'il avait dépêché: «Mon frère un tel ne sait-il pas que si tout le savoir était perdu, je pourrais par la préférence(fadl) et la louange (rendue à Dieu) ramenait tout ce savoir sans que rien n'y manque?».
Je n'ai emprunté ce livre que par respect et quête de bénédictions de notre père qui s'en servait, mais nullement pour y baser et rechercher un quelconque savoir».
LES ECRITS DU CHEIKH
Les écrits du Cheikh sont les arbres bénis, aux fruits au goût agréable. Ils sont un baume pour les cœurs affligés, une boisson qui étanche la soif des ignorants et une épée contre l'associationnisme.
De ses écrits il disait:
«Mes écrits sont une salvation pour les créatures
Nul ne les voit qui ne soit préservé un seul jour je ne dis pas cela sans permission je garde un secret que je ne révèlerai pas et j'ai eu tout cela par l'amour du seigneur des prophètes (SAW)».
Ces écrits excédent 70 ouvrages parmi lesquels:
• Réparation des déviations dans l'éloge de l'intercesseur des gens au grand jour
• Don des meilleurs souffles dans l'éloge de l'axe Abîl 'Abbâss
• Gemmes des sagesses et sommes des paroles dans les injonctions aux disciples et étudiants
• Souffre rouge dans la liaison par la première sourate ainsi que les lettres des versets immaculés
• Facilitation de la liaison à la présence prophétique
• Ecarter les soucis par l'éloge du prophète digne de confiance
• Soigner les maladies par l'éloge du seigneur des créatures
• Ma réflexion sur la haute station de Ahmad aux dons élevés par les lettres abajadiques
• Ascension du cour par le choisi aimé à la présence du Seigneur
• L'argument massue dans la possibilité de diffuser le coran à la radio
• Clarification et définition de la voie Tijân et de ses disciples
• Extirpation des malentendus à propos de l'effusion de Abîl 'Abbâss.
Il s'est occupé seul de l'éducation de tous ses enfants, triomphant ainsi sur la volonté des autorités coloniales d'enseigner le français aux fils de marabouts afin de les bouter hors de la culture islamique.
Cheikh Ibrahim fut sans conteste le plus illustre d'eux , lui qui naquit un jeudi après ('Asr), le 15 du mois de Rajab en l'an 1320 après l'hégire du Prophète (SAW), soit en 1901 après la naissance de 'Issâ (AS), dans un village dénommé Taïba niassène localité fondée par son père.
Taïba 1 (qui signifie ce qui est pur) est sémantiquement et physiquement auréolé d'un halo de pureté dont les senteurs exhalées font prendre à l'âme qui la hume son essor vers la nue de la perfection. La pureté de Taïba lui est-elle intrinsèque? Son épicentre est-elle l'être des ascendants de Baye qui l'on incarné dans toute sa splendeur? Ou sa pureté est-elle l'empreinte de celle du Cheikh Al Islam? Quelque soit l'origine de la pureté de la localité, le voyage vers Taïba est le symbole de l'élan vers la pureté intérieure dont le terme est la parfaite illumination.
Le Cheikh Al Islam étudiait le coran sous la direction de son père et le mémorisa entièrement selon la version «warch» alors qu'il était dans sa tendre enfance, ce qui lui valut le titre de «Hâfiz». Il rechercha le savoir, dont il maîtrisait différentes branches, auprès de son père, alors que la lumière de la beauté divine brillait sur lui et que le secret de la guidée du Prophète (SAW) était enfoui en lui.
Après le décès de son père, en l'an 1340 de l'hégire, à l'âge de 76 ans (de l'année lunaire) alors qu'il n'avait que 20ans, il n'étudia plus chez aucun maître.
Et pourtant la totalité des savants qu'il a croisés durant ses longs et riches périples ont proclamé l'excellence et la vastitude de son savoir plus qu'encyclopédique. Il commença l'exégèse du Coran avec une maîtrise et une originalité stupéfiantes. Il ajoutait dans ses séances plus que n'en disaient les livres des exégètes et se donnait l'ample liberté d'apporter des correctifs dans le sens des traductions habituelles. De la lettre du texte brut, il tirait l'esprit en ne se fondant que sur le Saint livre. Il enseignant d'ailleurs que c'est le Coran qui lui expliquait le coran. Pour cette raison il ne s'aidait que du Coran et des Hadith. Pour l'interprétation du livre. Pour sa première séance d'exégèse du coran, il envoya emprunter à l'un de ses frères le livre «Hâchiya Sâwi» qui fait autorité dans ce domaine. Celui-ci lui opposa son refus sans demander de qui il tenait l'autorisation d'une telle initiative. Il rétorqua à celui qu'il avait dépêché: «Mon frère un tel ne sait-il pas que si tout le savoir était perdu, je pourrais par la préférence(fadl) et la louange (rendue à Dieu) ramenait tout ce savoir sans que rien n'y manque?».
Je n'ai emprunté ce livre que par respect et quête de bénédictions de notre père qui s'en servait, mais nullement pour y baser et rechercher un quelconque savoir».
LES ECRITS DU CHEIKH
Les écrits du Cheikh sont les arbres bénis, aux fruits au goût agréable. Ils sont un baume pour les cœurs affligés, une boisson qui étanche la soif des ignorants et une épée contre l'associationnisme.
De ses écrits il disait:
«Mes écrits sont une salvation pour les créatures
Nul ne les voit qui ne soit préservé un seul jour je ne dis pas cela sans permission je garde un secret que je ne révèlerai pas et j'ai eu tout cela par l'amour du seigneur des prophètes (SAW)».
Ces écrits excédent 70 ouvrages parmi lesquels:
• Réparation des déviations dans l'éloge de l'intercesseur des gens au grand jour
• Don des meilleurs souffles dans l'éloge de l'axe Abîl 'Abbâss
• Gemmes des sagesses et sommes des paroles dans les injonctions aux disciples et étudiants
• Souffre rouge dans la liaison par la première sourate ainsi que les lettres des versets immaculés
• Facilitation de la liaison à la présence prophétique
• Ecarter les soucis par l'éloge du prophète digne de confiance
• Soigner les maladies par l'éloge du seigneur des créatures
• Ma réflexion sur la haute station de Ahmad aux dons élevés par les lettres abajadiques
• Ascension du cour par le choisi aimé à la présence du Seigneur
• L'argument massue dans la possibilité de diffuser le coran à la radio
• Clarification et définition de la voie Tijân et de ses disciples
• Extirpation des malentendus à propos de l'effusion de Abîl 'Abbâss.