Violences policières en France

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« J'aurai pu lui faire beaucoup plus mal », un policier du commissariat du 18ème condamné pour violences sur un interpellé et un témoin
Un policier a été condamné à 8 mois de prison avec sursis pour avoir violenté un homme interpellé dans le commissariat du 18ème arrondissement, avant de frapper et menacer un témoin des faits. À l'audience, aucune remise en question, la faute est renvoyée à un arrondissement « délinquant et criminogène ».

 
« J'aurai pu lui faire beaucoup plus mal », un policier du commissariat du 18ème condamné pour violences sur un interpellé et un témoin
Un policier a été condamné à 8 mois de prison avec sursis pour avoir violenté un homme interpellé dans le commissariat du 18ème arrondissement, avant de frapper et menacer un témoin des faits. À l'audience, aucune remise en question, la faute est renvoyée à un arrondissement « délinquant et criminogène ».

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Cynisme et arrogance dus à l'impunité


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Manifestant écrasé par une moto de la BRAV-M : au tribunal, les policiers entre excuses et déni

Ce lundi 7 avril au tribunal de paris, les trois policiers étaient jugés pour avoir roulé sur la jambe puis frappé un manifestant lors des manifestations contre la réforme des retraites en 2023. Entre 5 et 10 mois de prison avec suris ont été requis.

Vidéos, témoins, expertise médicale — et même l’enregistrement de leur propre caméra-piéton sur lequel ils se vantent d’avoir « découpé » le jeune homme — n’y changeront rien. Pas plus que l’extrême prévenance du tribunal qui a essayé, six heures durant, de les faire avancer face aux faits. Ce lundi 7 avril au tribunal de Paris, les trois policiers de la BRAV-M, jugés pour avoir roulé sur la jambe puis frappé un manifestant lors des manifestations contre la réforme des retraites en 2023, ont persévéré dans le déni et la justification des violences.

Le soir du 21 mars 2023 sur l’avenue Daumesnil (Paris), pendant les manifestations sauvages suite à l’adoption par "49.3" de la réforme des retraites, cette unité de la BRAV-M composée des motocyclistes de la préfecture de police et de policiers de la 32ème compagnie d’intervention prend en chasse Valentin, 19 ans, qu’ils accusent d’un jet de bouteille.

Une vidéo captée par un témoin, fortement partagée sur les réseaux sociaux, montre les deux motos monter sur le trottoir en face du restaurant « Le botaniste » et piler face le manifestant qui chute devant leurs roues. Mais alors que le passager de la première moto, descendu quelques secondes avant, le maintient au sol, le conducteur Vincent V. remet les gaz et avance vers la jambe du jeune homme. Auprès des enquêteurs, Valentin affirme que le motard lui a alors roulé sur la jambe, avant que les policiers ne le violentent puis repartent sans même le contrôler. Une street-médic intervient, les pompiers sont appelés. Son certificat médical, établi le lendemain, constate plusieurs dermabrasions et ecchymoses ainsi qu’un « hématome de 56 cm sur 3 cm » le long de la jambe gauche, lui attribut huit jours d’ITT.

Dès la diffusion de la vidéo, des rapports administratifs sont exigés par la hiérarchie aux quatre policiers impliqués. Tandis que X ne parle pas de cet aspect, les trois autres sont formels : il n’y a eu, selon eux, aucun contact entre la moto et la jambe du jeune homme.

« On vient de percuter un mec »......

 
la police tue mais les terroristes , les narco trafiquants, les black block, les délinquants et les jeunes qui attaquent les commissariats et caillassent les pompiers sont de pauvres victimes.
quand tu auras fini de détruire la police, qui te protégera ? les grands frères islamistes ou les parrains de la drogue ?
 

Mort de Nahel à Nanterre : le policier auteur du tir sera jugé pour meurtre​

Le tribunal de Nanterre a annoncé ce mardi que le policier ayant mortellement tiré sur Nahel en juin 2023 dans les Hauts-de-Seine sera jugé pour meurtre. Le procès devrait avoir lieu « au 2e ou au 3e trimestre 2026 ».

Le policier auteur du tir ayant tué le jeune Nahel à Nanterre (Hauts-de-Seine) fin juin 2023 après un refus d’obtempérer sera jugé pour meurtre, indiquent ce mardi le tribunal de Nanterre et le procureur de la ville. Il s’agit d’une décision conforme aux réquisitions du parquet de Nanterre en mars dernier.

« Deux magistrats instructeurs du tribunal judiciaire de Nanterre ont rendu ce jour une ordonnance de mise en accusation » ordonnant « le renvoi du fonctionnaire de police mis en examen devant la cour d’assises du chef d’homicide volontaire », détaille un communiqué. « Un procès pourrait se tenir devant la cour d’assises des Hauts-de-Seine au 2e ou au 3e trimestre 2026 », précise-t-on de même source.

Pas « un danger immédiat »​

Nahel avait été tué le 27 juin 2023 d’une balle tirée à bout portant par un policier qui contrôlait le véhicule qu’il conduisait. Une enquête pour meurtre avait été ouverte dans la foulée, avant de s’achever en août 2024. Le policier, Florian M., avait été mis en examen pour meurtre et incarcéré pendant cinq mois en 2023, avant d’être remis en liberté sous contrôle judiciaire.

Une première version policière, selon laquelle le jeune homme aurait foncé sur le motard, avait été infirmée par une vidéo amateur diffusée sur les réseaux sociaux. Au moment précis des faits, « alors que (le véhicule de Nahel) était bloqué dans le flot de la circulation, et même s’il tentait de redémarrer, il n’apparaît pas qu’il ait représenté un danger immédiat » pour les policiers, a relevé le réquisitoire définitif du parquet de Nanterre, consulté par l’AFP.
 
Manifestant écrasé par une moto de la BRAV-M : au tribunal, les policiers entre excuses et déni

Ce lundi 7 avril au tribunal de paris, les trois policiers étaient jugés pour avoir roulé sur la jambe puis frappé un manifestant lors des manifestations contre la réforme des retraites en 2023. Entre 5 et 10 mois de prison avec suris ont été requis.

Vidéos, témoins, expertise médicale — et même l’enregistrement de leur propre caméra-piéton sur lequel ils se vantent d’avoir « découpé » le jeune homme — n’y changeront rien. Pas plus que l’extrême prévenance du tribunal qui a essayé, six heures durant, de les faire avancer face aux faits. Ce lundi 7 avril au tribunal de Paris, les trois policiers de la BRAV-M, jugés pour avoir roulé sur la jambe puis frappé un manifestant lors des manifestations contre la réforme des retraites en 2023, ont persévéré dans le déni et la justification des violences.

Le soir du 21 mars 2023 sur l’avenue Daumesnil (Paris), pendant les manifestations sauvages suite à l’adoption par "49.3" de la réforme des retraites, cette unité de la BRAV-M composée des motocyclistes de la préfecture de police et de policiers de la 32ème compagnie d’intervention prend en chasse Valentin, 19 ans, qu’ils accusent d’un jet de bouteille.

Une vidéo captée par un témoin, fortement partagée sur les réseaux sociaux, montre les deux motos monter sur le trottoir en face du restaurant « Le botaniste » et piler face le manifestant qui chute devant leurs roues. Mais alors que le passager de la première moto, descendu quelques secondes avant, le maintient au sol, le conducteur Vincent V. remet les gaz et avance vers la jambe du jeune homme. Auprès des enquêteurs, Valentin affirme que le motard lui a alors roulé sur la jambe, avant que les policiers ne le violentent puis repartent sans même le contrôler. Une street-médic intervient, les pompiers sont appelés. Son certificat médical, établi le lendemain, constate plusieurs dermabrasions et ecchymoses ainsi qu’un « hématome de 56 cm sur 3 cm » le long de la jambe gauche, lui attribut huit jours d’ITT.

Dès la diffusion de la vidéo, des rapports administratifs sont exigés par la hiérarchie aux quatre policiers impliqués. Tandis que X ne parle pas de cet aspect, les trois autres sont formels : il n’y a eu, selon eux, aucun contact entre la moto et la jambe du jeune homme.

« On vient de percuter un mec »......


C'est récurrent cette mentalité française dans la police maintes fois dénoncée par un tas d'organismes internationaux et ONG.

Un racisme d'état que couvre systématiquement les officiers supérieurs.

Et après on se demande pourquoi la police n'est pas aimée.

Laisser les brebis galeuses faire leurs lois nuit aux autres forces de l'ordre qui font juste leur travail.

Quand la hiéarchie va t elle comprendre cela au lieu de céder aux syndicats les plus extrémistes qui imposent leurs diktats anti républicains

pour protéger ces brebis galeuses ?

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C'est récurrent cette mentalité française dans la police maintes fois dénoncée par un tas d'organismes internationaux et ONG.

Un racisme d'état que couvre systématiquement les officiers supérieurs.

Et après on se demande pourquoi la police n'est pas aimée.

Laisser les brebis galeuses faire leurs lois nuit aux autres forces de l'ordre qui font juste leur travail.

Quand la hiéarchie va t elle comprendre cela au lieu de céder aux syndicats les plus extrémistes qui imposent leurs diktats anti républicains

pour protéger ces brebis galeuses ?

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Tu remarqueras que rien n’a jamais fait contre les trafiquants de drogues pour lesquels j’ai un immense mépris.

Il faut un bukele en France et meme dans le monde entier, la bukelisation des forces de police est une nécessité.
 
19/06/2025

Violence pendant un contrôle policier à Drancy​

Adil, victime de coups de taser, tabassages et racisme policier​

Adil, étudiant algérien en droit, a été contrôlé puis interpellé par la police, à 23 heures dans une rue de Drancy. Il dénonce des violences physiques et sexuelles dans la rue, pendant son transport, et au commissariat. Il a déposé plainte.
Les cauchemars d’hommes qui le frappent à la tête ont envahi ses nuits. Il ressent à nouveau les décharges de taser sur ses côtes, revoit les coups au visage, la main dans son caleçon… Afin de réussir à dormir à présent, Adil (1) étudiant en droit de 25 ans s’imbibe souvent d’alcool. Arrivé d’Algérie en 2023 pour poursuivre ses études de droit public, le jeune homme pensait venir vivre dans « un pays de droit, de liberté, d’égalité et de fraternité ». Il voyait la police comme « ceux qui assurent la sécurité ». Mais il a vite déchanté. Désormais, dès qu’il croise un agent en uniforme dans la rue, il craint « une menace ».

Le 30 avril, avec son avocate, Adil a saisi l’Inspection générale de la police nationale (IGPN) pour dénoncer des violences physiques, sexuelles, racistes, qui auraient été commises ce soir-là, ainsi qu’une atteinte à la liberté individuelle et une non-assistance à personne en danger. Il a aussi déposé plainte le 3 juin 2025 auprès du procureur de Bobigny.

Un contrôle qui tourne mal​

Tout bascule dans la nuit du 10 au 11 avril 2025. Alors qu’il sort d’une soirée entre amis autour de 23 heures à Drancy (93), Adil croise la route d’agents en civil. « Contrôle de police », lancent les hommes qui ne portent, selon son récit, ni uniforme, ni brassard, ni insigne apparent. Il leur demande à plusieurs reprises une preuve de leur qualité de policiers. « Un m’a montré son arme, mais il n’y a pas que la police qui porte des armes. J’avais peur, je leur ai dit : “S’il vous plaît, si vous êtes des agresseurs, j’ai un téléphone et 30 balles dans ma poche, laissez-moi mes papiers et je vous donne ma veste” », dit-il aujourd’hui à StreetPress. Un mois après, il semble encore paniqué.

Les violences débutent quand les policiers regardent son portefeuille et examinent son permis de conduire algérien. « Ils ont voulu me pencher en avant pour mettre leurs mains à l’intérieur de mon caleçon », mime-t-il en mettant ses propres mains sur le haut de ses fesses. « J’ai dit : “Vous faites quoi ?” Je me suis retrouvé à terre ». Une « agression sexuelle et une tentative de fouille intrusive et injustifiée », écrit son avocate, maître Louise Paris, dans la plainte.....


 
Cocard, fracture et luxation : la police municipale de Bezons accusée de violences et contrôles abusifs (StreetPress)
Plusieurs jeunes, dont un mineur, accusent des policiers municipaux de Bezons (95) de les avoir violentés et menacés. Sur fond de contrôles abusifs et de tensions, trois plaintes ont été déposées en une semaine. Notre enquête pour StreetPress.

Les violences ayant été commises par plusieurs agents sur des lieux et temps différents, ils sont séparés en trois signalements classifiés pour chacune des victimes (8819, 8899 et 8900). Ce signalement est classifié pour Avon.
 

Les agressions contre la police nationale ont plus que doublé en vingt ans​


Plus de 85 faits de « violences à personnes dépositaires de l’autorité publique » sont enregistrés chaque jour pour la seule police nationale, et il est probable que les chiffres soient encore sous-évalués.
Deux policiers à moto attaqués par un individu à Carcassonne ; un chauffard qui percute une voiture de la brigade anticriminalité (BAC) de Marseille lors d’une course-poursuite ; une cinquantaine d’individus tirant des mortiers d’artifice sur une patrouille à Ermont (Val-d’Oise) ; un policier touché par un pavé au cours d’une interpellation dans la cité du Trébon, à Arles (Bouches-du-Rhône), et qui se voit délivrer vingt et un jours d’incapacité temporaire de travail…
La liste de ces agressions contre les forces de l’ordre, commises depuis dix jours, pourrait encore s’allonger : plus de 85 faits de « violences à personnes dépositaires de l’autorité publique » sont enregistrés quotidiennement à travers le pays pour la seule police nationale. Au mois de janvier, les services statistiques du ministère de l’intérieur en ont recensé 2 288 sur la base d’une remontée d’informations provenant de procès-verbaux. En vingt ans, ils ont été multipliés par 2,3.


 

Violences dans la police française, le vrai bilan​


Un classement international des victimes des forces de l’ordre montre des résultats relativement bons chez nous. N’en déplaise à Mélenchon.

Selon Jean-Luc Mélenchon, la cause est entendue : « La police tue. » Arbitrairement. Elle applique « la peine de mort pour un refus d'obtempérer », a-t-il asséné sur Twitter, à la suite de la mort d'une jeune passagère à Paris, samedi 4 juin, lors d'un contrôle routier. Si la seconde proposition est manifestement outrancière, la première est irréfutable. Les policiers peuvent être amenés à tuer. Toute la question est de savoir s'ils font un usage mesuré des armes que la loi les autorisent à porter.

 
Le policier auteur du tiré ayant tué Nahel en 2023 à Nanterre a été muté au Pays basque, où il a depuis repris le travail. "La décision peut être considérée comme choquante", dénonce sur RMC Me Mourad Battikh. Florian M doit être jugé pour meurtre l'année prochaine, décision dont il a fait appel.

Le policier auteur du tir ayant tué Nahel, le 27 juin 2023 à Nanterre, a repris le travail et a été muté au Pays basque, selon les informations de Libération publiées lundi. Début juin, deux juges d'instruction ont ordonné que Florian M. soit jugé aux assises pour meurtre. Une décision dont l'intéressé a fait appel. Sous réserve" de recours, un procès pourrait se tenir devant la cour d'assises des Hauts-de-Seine au 2e ou au 3e trimestre 2026, selon le tribunal.

Le policier "a fait l’objet d’un arrêté de réintégration", signé par délégation au nom du ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, à la suite d’une demande de la Direction générale de la police nationale (DGPN). Il est, malgré tout, toujours sous contrôle judiciaire.
"Dans ce cadre-là, il aurait fallu faire preuve de décence", estime Me Mourad Battikh.
"Il a bien été affecté […] il est sur le district", a confirmé à Sud-Ouest une source policière. La mutation n'a "pas posé de problème" dans les services et Florian M. occupe désormais "plutôt un poste de type bureau depuis quelques semaines". Il ne peut ni porter une arme ni être sur la voie publique lors de l'exercice de ses fonctions.


Mort de Nahel : le policier a repris le travail, choquant ? - 02/07

28:45

Un questionnement sur "l'égalité de traitement devant la loi"​

"La décision peut être considérée comme choquante", juge ce mercredi sur RMC l'avocat Mourad Battikh. "Je vois au quotidien des magistrats qui ont face à eux des personnes — des instituteurs, des médecins, d'autres professions — et qui les écartent sans aucune difficulté, malgré leur métier, parce qu’il s’agit de tempérer, de faire la lumière, de prendre le temps", développe-t-il au micro des Grandes Gueules.

Sur le même sujet
La mutation de Florian M. s’est officiellement faite "dans l’intérêt du service". Elle correspond aussi aux souhaits de l’agent, selon Libération. "Je pense qu’on est dans quelque chose de problématique. Non pas d’un point de vue juridique — une décision a été prise, il faut la respecter — mais d’un point de vue de ce que cela renvoie comme information, comme image de l’égalité de traitement devant la loi", considère Me
"Dans ce cadre-là, il aurait fallu faire preuve de décence", estime Me Mourad Battikh.
"Il a bien été affecté […] il est sur le district", a confirmé à Sud-Ouest une source policière. La mutation n'a "pas posé de problème" dans les services et Florian M. occupe désormais "plutôt un poste de type bureau depuis quelques semaines". Il ne peut ni porter une arme ni être sur la voie publique lors de l'exercice de ses fonctions.


Mort de Nahel : le policier a repris le travail, choquant ? - 02/07
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Un questionnement sur "l'égalité de traitement devant la loi"​

"La décision peut être considérée comme choquante", juge ce mercredi sur RMC l'avocat Mourad Battikh. "Je vois au quotidien des magistrats qui ont face à eux des personnes — des instituteurs, des médecins, d'autres professions — et qui les écartent sans aucune difficulté, malgré leur métier, parce qu’il s’agit de tempérer, de faire la lumière, de prendre le temps", développe-t-il au micro des Grandes Gueules.

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La mutation de Florian M. s’est officiellement faite "dans l’intérêt du service". Elle correspond aussi aux souhaits de l’agent, selon Libération. "Je pense qu’on est dans quelque chose de problématique. Non pas d’un point de vue juridique — une décision a été prise, il faut la respecter — mais d’un point de vue de ce que cela renvoie comme information, comme image de l’égalité de traitement devant la loi", considère Me Mourad Battikh.
Mourad Battikh.
 
Face a cette racailles les policier ont su rester professionel jusqu'au bout
voila a quoi est constament confronté la police donc il ne faut pas s'etonné si il y a des bavure

 
Dernière édition:
Tu ouvres un sujet stp car là le titre est clair et tu es à côté de la plaque....

Qu'est-ce que la violence policière ?


Définition. Le terme de « violence policière » désigne la perpétration par des policiers en exercice d'actes violents envers d'autres personnes. La définition exacte donne cependant lieu à interprétation. En France, le policier est au sens du droit pénal un « dépositaire de l'autorité publique ».


Les agressions contre la police nationale ont plus que doublé en vingt ans


 
Tu ouvres un sujet stp car là le titre est clair et tu es à côté de la plaque....

Qu'est-ce que la violence policière ?


Définition. Le terme de « violence policière » désigne la perpétration par des policiers en exercice d'actes violents envers d'autres personnes. La définition exacte donne cependant lieu à interprétation. En France, le policier est au sens du droit pénal un « dépositaire de l'autorité publique ».
Je dénonce le 2 poids 2 mesures selon lequel les violences contre les policiers (et pas que, pompiers aussi par exemple) sont passées sous silence parce que devenues "banales" mais où le moindre dérapage des forces de l'ordre est monté en épingle, même si le policier est innocent. (légitime défense par exemple, refus d'obtempérer)
 
Je dénonce le 2 poids 2 mesures selon lequel les violences contre les policiers (et pas que, pompiers aussi par exemple) sont passées sous silence parce que devenues "banales" mais où le moindre dérapage des forces de l'ordre est monté en épingle, même si le policier est innocent. (légitime défense par exemple, refus d'obtempérer)
Si tu dénonçais sincèrement tu aurais ouvert un sujet en rapport et pas détourner celui ci....ouvre et je participerai inshallah
 
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