Visites virtuelles : bladi vous emmène

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ahahahahahahah
j'ai gagné
je savais que tu serai à la fois outré et amusé

mam
ps: je veux que tu changes l'assaisonnement dans ta marmite , c'est toujours la même odeur
et ça commence à sentir le rance.............
Je suis blindé contre les vannes :p
Le prochain qui me fait une remarque sur mon avatar, je met un truc dans ce genre:
 

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Je suis blindé contre les vannes :p
Le prochain qui me fait une remarque sur mon avatar, je met un truc dans ce genre:

ça peut être mal interprété = fais gaffe aux cambrioleurs

j'adore te titiller, ça me manquait :ange:

mam
 

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Lyon : balade dans le centre historique

http://www.geo.fr/voyages/vos-voyages-de-reve/lyon-balade-dans-le-centre-historique#xtor=EPR-57-[NL_quotidienne]-20150206&utm_source=NL_quotidienne&utm_medium=e-mail&utm_campaign=20150206

mam
 
Visitez POMPEI virtuellement
en retrouvant sa splendeur d'antan :love:


ou

Les ruines de Pompéi en 3D sur Google’s Street View

bonne balade

mam
 
Grotte Chauvet : les peintures sont bien les plus vieilles du monde
Les œuvres d’art peintes sur les parois de la grotte de Chauvet-Pont d’Arc ont été réalisées entre -32.000 et -21.000 ans. C’est ce que révèle une étude effectuée par plusieurs équipes du CNRS. Cette datation clôt la controverse : ces peintures sont bien les plus vieilles que nous connaissons.
La demande d’enregistrement au patrimoine de l’humanité sera-t-elle confortée ?

Une coupe de la grotte de Chauvet-Pont d'Arc. Au-dessus d'une couche marneuse (Marly ledge), une partie de la falaise s'est écroulée à plusieurs reprises, fermant l'entrée de la grotte. Les analyses géomorphologiques permettent de dater ces événements.

Quand ont été réalisées les superbes peintures qui ornent les parois de la grotte découverte en 1994 par Jean-Marie Chauvet, Eliette Brunel et Christian Hillaire, trois spéléologues, près du village de Vallon-Pont d’Arc, dans les gorges de l’Ardèche ?

Les mesures au carbone 14 indiquaient un âge d’environ 31.000 ans, ce qui faisait de leurs auteurs des Aurignaciens, c’est-à-dire des Homo sapiens (comme nous, donc), de la période dite de la culture aurignacienne, qui s’est déployée au début du Paléolithique supérieur.
Pas d’accord, rétorquaient d’autres spécialistes qui, eux, se basent justement sur des datations relatives élaborées en comparant les différentes cultures. Car ces œuvres d’art découvertes dans cette grotte évoquent bien davantage la culture magdalénienne, située entre 17.000 et 12.000 ans avant le présent, et dont le plus bel exemple est la grotte ornée de Lascaux, datée de -17.000 ans.

En effet, les peintures de la grotte de Chauvet-Pont d’Arc – tel est aujourd’hui son nom officiel – étonnent et ravissent toujours ceux qui ont eu le privilège de les voir, rares puisque l’accès est interdit au public.
Dans le film réalisé par Werner Herzog, les spécialistes qui s’expriment parlent spontanément de « joyau ». Les peintures évoquent la faune de l’époque (rhinocéros, félins, mammouths, ours…) dans des compositions sophistiquées, qui représentent souvent des scènes complexes et utilisent le relief (comme à Lascaux) pour accentuer les effets de perspective.


En 2014, « ce joyau », comme l'appellent ceux qui ont étudié la grotte de Chauvet-Pont d'Arc, sera visible par tous. Comme à Lascaux, une copie est en effet en cours de réalisation.

Deux méthodes indépendantes confirment la datation des fresques de la grotte Chauvet
Est-il possible que de telles fresques puissent dater de l’époque où H. sapiens côtoyait Néandertal ? Eh bien oui, affirment aujourd’hui des scientifiques du CNRS dans un article publié dans la revue Pnas. Deux résultats viennent confirmer la datation aurignacienne : la quantité de l’isotope 36 du chlore et l’étude des éboulis… Les géologues du laboratoire Edytem (Environnements et dynamiques des territoires de montagnes, université de Savoie), menés par Benjamin Sadier, ont étudié la structure actuelle de la falaise au niveau de l’entrée de la grotte.

Ce travail de géomorphologie est la spécialité de ce laboratoire savoyard installé au Bourget-du-Lac. Selon eux, la falaise s’est brisée à plusieurs reprises entre -29.000 et -21.000 ans, obturant complètement l’accès. Par ailleurs, les scientifiques qui ont étudié la grotte depuis sa découverte semblent formels : il n’a jamais existé qu’une seule entrée.


L'une des multiples scènes peintes sur les parois de la grotte de Chauvet-Pont d'Arc : des grands lions des cavernes à la chasse

La falaise reconstruite virtuellement
La seconde mesure détermine la quantité de 36Cl, un isotope formé par l’exposition aux rayons cosmiques. La quantité restante dans les calcaires indique depuis combien de temps la roche a été enfouie sous terre. Les mesures, effectuées par le Cerege (Centre européen de recherche et d'enseignement des géosciences de l'environnement, Aix-en-Provence), ne sont pas simples car il faut retrancher la quantité de chlore 36 qui a pu s’infiltrer ultérieurement par percolation de l’eau dans les fissures de la roche.

Les chercheurs se sont appuyés sur une reconstitution en 3D de la falaise à l’aide de mesures au Lidar (Light Detection and Ranging). Le résultat final concorde remarquablement avec celui de l’analyse géomorphologique, indiquant une obturation survenue au plus tôt vers 21,5 +/- 1,0 milliers d’années avant le présent.

Les peintures pariétales de la grotte Chauvet-Pont d’Arc ne peuvent donc être plus récentes que cette date, ce qui en fait les fresques les plus anciennes que nous connaissons aujourd’hui. Depuis janvier 2012, ces fresques sont officiellement candidates pour figurer au patrimoine mondial de l’Unesco.
Cette nouvelle datation vient donc à point nommé pour en souligner l’importance…

L'art pariétal de + de 31 000 ans


grotte chauvet - Recherche Google
et

La réplique de la grotte Chauvet comme si vous y étiez! - Loisirs - Notre Temps

mam
 
la baleine blanche BELUGA en aéronautique

Laissez vous subjuguer par

le suber avion qui transporte les moteurs de l'A380 entre Méaulte et Blagnac
sachant que le moteur est de la taille d'un A 320
le train d’atterrissage correspond à la taille d'une "jeep"
le voici :






mam
 
Visite des hortillonnages d’Amiens, extraordinaires jardins séculaires

Aujourd'hui encore, cette terre riche et humide produit jusqu'à trois récoltes maraîchères par an
http://img.1.im6.fr/03E8023208010600-c1-photo-hortillonnages-3.jpg

Les hortillonnages sont de véritables jardins flottants entrecoupés de canaux, conçus par les romains afin d’y cultiver des légumes pour les troupes de Jules César. Le nom de ces sites artificiels uniques au monde provient d’ailleurs du latin « Hortus » (jardin).

Nous vous proposons aujourd’hui une visite au coeur de la capitale picarde, où se trouve un site paysager d'exception regroupant des centaines de petits jardins cachés. Jacques Leullier, Président de l’association pour la Protection et la Sauvegarde du site des Hortillonnages, nous raconte l’étonnante histoire de ces jardins si particuliers.
Constitués de 300 hectares de terres cultivées depuis le Moyen-âge, sillonnées par des petits canaux, les hortillonnages d’Amiens sont bercés depuis des siècles par l'Avre et la Somme. .. aujourd’hui une balade au fil de l’eau !

Racontez-nous l’histoire des hortillonnages…

Les hortillonnages existent depuis des centaines d’années dans la région picarde.
Ces îlots à la terre très fertile, gagnés sur les marais, ont nourri la ville d'Amiens jusqu’au siècle dernier grâce à leurs cultures de fruits et légumes. Aujourd'hui encore, cette terre riche et humide produit jusqu'à trois récoltes maraîchères par an.
Mais sa surface s’est considérablement réduite au fil des années, passant de 1500 hectares (répertoriés au XVe siècle) à environ 300 hectares aujourd’hui. La culture maraîchère y est également plus anecdotique, le site étant divisé en 2000 parcelles principalement cultivées par des jardiniers amateurs.
http://2.im6.fr/photo/08010596-photo-hortillonnages-5.jpg

Quels sont les particularités de tels jardins ?
Il faut savoir que les îlots s’érodent chaque année, grignotés par l’eau des canaux.
Ces derniers doivent donc être nettoyés régulièrement et les jardins flottants reconstitués avec de la vase pour leur permettre de perdurer.
Cette spécificité a d’ailleurs eu pour conséquence la création du mode de transport fluvial traditionnel, particulier à notre région : la barque à cornet.
Très allongée et légèrement relevée aux extrémités, elle constitue une sorte de plan incliné qui permet de passer facilement de l’embarcation à la terre sans détériorer les rives surélevées et fragiles

http://2.im6.fr/photo/08010592-photo-hortillonnages-2.jpg

A quoi ressemblent les jardins aujourd’hui ?
Les grandes surfaces maraîchères ont laissé la place à de petites parcelles qui s’étendent sur quatre communes, cultivées par les familles de la région. On y trouve des potagers individuels, des arbres fruitiers mais aussi des fleurs variées. Sept hortillons (maraîchers) y cultivent encore des fruits et légumes en primeur sur environ 10% du site.

Pour mieux connaître la région, des visites guidées en barque à cornet sont organisées durant toute la saison touristique (entre avril et octobre), sur un petit parcours parmi les 65km de canaux que compte le site ! Chaque année, nous proposons également un concours de berges fleuries auquel participent de nombreux jardiniers, ainsi qu’une fête de l’hortillonnage.
Ce jour-là, les maraîchers portent leur récolte jusqu’au cœur d’Amiens pour la vendre au marché, comme autrefois : un festival de saveurs et de couleurs à découvrir en famille…

http://2.im6.fr/photo/08010590-photo-hortillonnage-1.jpg

Renseignements sur Les Hortillonnages d'Amiens

mam :love::love:
 
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