Les "portraits du Fayoum" sont des peintures anciennes de l'Egypte exécutées entre le Ier siècle, à la fin du règne de l'empereur romain Tibère, jusqu'au IVe siècle. Ce sont des portraits funéraires peints insérés dans les bandelettes au niveau du visage de la momie. Le défunt y est représenté en buste le visage de face.
Les découvertes sont nombreuses au XIXe siècle (collections d'Henry Salt et Theodor Graf), mais les premières fouilles n'ont lieu qu'à partir de 1888 à Hawara, sous la direction de l'archéologue britannique Flinders Petrie. La dénomination de "portraits du Fayoum" se rapporte à un type d'abord trouvé dans le Fayoum, mais dont on a trouvé des exemplaires dans toute l'Égypte. En archéologie et en histoire de l'art, on l'utilise par commodité et entre guillemets.
Les "portraits du Fayoum" nous lèguent un témoignage inestimable sur les visages de la population de l'Egypte ancienne et montrent la forte ressemblance avec les populations berbères vivant actuellement en Algérie, les Libyens et bien sûr les Egyptiens arabes de notre époque. Une impression visuelle largement confirmée par des recherches scientifiques récentes par l'ADN.
Les découvertes sont nombreuses au XIXe siècle (collections d'Henry Salt et Theodor Graf), mais les premières fouilles n'ont lieu qu'à partir de 1888 à Hawara, sous la direction de l'archéologue britannique Flinders Petrie. La dénomination de "portraits du Fayoum" se rapporte à un type d'abord trouvé dans le Fayoum, mais dont on a trouvé des exemplaires dans toute l'Égypte. En archéologie et en histoire de l'art, on l'utilise par commodité et entre guillemets.
Les "portraits du Fayoum" nous lèguent un témoignage inestimable sur les visages de la population de l'Egypte ancienne et montrent la forte ressemblance avec les populations berbères vivant actuellement en Algérie, les Libyens et bien sûr les Egyptiens arabes de notre époque. Une impression visuelle largement confirmée par des recherches scientifiques récentes par l'ADN.
