el jadida
el jadida/mazagan beach
La facture de ce premier TGV arabe est évaluée à 1,8 milliard d'euros, auquel doivent s'ajouter tous les coûts des infrastructures associées. La moitié sera financée par la France elle-même, qui a accordé au Maroc un prêt de 920 millions à des conditions très avantageuses. Le reste du coût sera supportée pour un quart par des pays "amis", comme l'Arabie saoudite, les Emirats arabes unis ou le Koweït, et le dernier quart par le Maroc lui-même. Un investissement "raisonnable", a précisé le ministre des transports marocain, Karim Rhellab, en réponse à ceux qui, dans son pays, jugent ce TGV "high-tech" inutile et coûteux.
De son côté, Nicolas Sarkozy n'a pas manqué l'occasion, à sept mois d'une échéance présidentielle qui s'annonce délicate pour lui, d'insister sur les retombées positives "nationales" de ce contrat. Le groupe Alstom a vendu 14 de ses rames TGV au Maroc pour 400 millions d'euros. "Les Français doivent savoir que ce TGV marocain, c'est de l'emploi pour les Français (...) c'est des milliers d'heures de travail pour les ouvriers français", a-t-il souligné devant la presse.
extrait du journal le monde
De son côté, Nicolas Sarkozy n'a pas manqué l'occasion, à sept mois d'une échéance présidentielle qui s'annonce délicate pour lui, d'insister sur les retombées positives "nationales" de ce contrat. Le groupe Alstom a vendu 14 de ses rames TGV au Maroc pour 400 millions d'euros. "Les Français doivent savoir que ce TGV marocain, c'est de l'emploi pour les Français (...) c'est des milliers d'heures de travail pour les ouvriers français", a-t-il souligné devant la presse.
extrait du journal le monde