Selon vous d'ou vient cet accent?
Quand tu entend des blédiens (le suffixe "ard" est péjoratif dans la langue française) parler français quelque soit la région d'origine du Maghreb, ils n'ont pas cet accent pourri que tu peux entendre à Grigny et ses copies. Quand ils ne maitrisent pas le français, c'est généralement un bel accent de leurs région d'origine et on reconnait rès vite d'ou ils viennent, ceux qui maitrisent parfaitement le français ils ont généralement un accent hyper neutre, aseptisé et totalement académique. Pareil chez les peuls, les soninkés, les brazza, douala, akan etc... chez les turcs kifkif personne ne parlent comme les racailles de l'IDF, des BDR, de Roubaix, PACA ect...
Ma théorie et ça ne reste qu'une théorie, cette façon de s'exprimer a été promu par canal, elle existait de manière minoritaire, mais elle fut normalisé par la télé (qui a par ailleurs tué tous les accents en France), des fragiles comme debouz, promu comme humoriste qui n'a jamais fait rire personne, ont incarné cette attitude, cette façon de s'exprimer de manière médiocre et en fini par l'installer. En gros, la télé a réussi à faire accepter à des milliers de personne que c'est normal de parler comme ça, surtout ne pas faire d'effort au niveau du langage, ce dernier étant un fondement de l'intelligence et de la structure du raisonnement, ainsi à travers la télé une masse de personne se trouvent piéger, impossible d'avancer dans la vie.
Le style debouz et toutes ses copies qui parodient les américains avec leurs humours d'attardés imposent un sous kultur aux ados, c'est à dire les plus fragiles surtout quand les parents sont des prolos, sans formations, pauvres et incapable de comprendre l’environnement hostile dans lequel vivent leurs enfants et ainsi les protéger. Le problème de la normalisation, c'est que quand t'as des mecs brillants qui évoluent des ces endroits toxiques, qui sont assoiffés de lecture, qui ont du bagages, ils se sentent obliger de faire comme la majorité afin de ne pas etre rejeté à cause de leurs différence et finissent pour certains d'entre eux par couler comme le reste.
Quand tu entend des blédiens (le suffixe "ard" est péjoratif dans la langue française) parler français quelque soit la région d'origine du Maghreb, ils n'ont pas cet accent pourri que tu peux entendre à Grigny et ses copies. Quand ils ne maitrisent pas le français, c'est généralement un bel accent de leurs région d'origine et on reconnait rès vite d'ou ils viennent, ceux qui maitrisent parfaitement le français ils ont généralement un accent hyper neutre, aseptisé et totalement académique. Pareil chez les peuls, les soninkés, les brazza, douala, akan etc... chez les turcs kifkif personne ne parlent comme les racailles de l'IDF, des BDR, de Roubaix, PACA ect...
Ma théorie et ça ne reste qu'une théorie, cette façon de s'exprimer a été promu par canal, elle existait de manière minoritaire, mais elle fut normalisé par la télé (qui a par ailleurs tué tous les accents en France), des fragiles comme debouz, promu comme humoriste qui n'a jamais fait rire personne, ont incarné cette attitude, cette façon de s'exprimer de manière médiocre et en fini par l'installer. En gros, la télé a réussi à faire accepter à des milliers de personne que c'est normal de parler comme ça, surtout ne pas faire d'effort au niveau du langage, ce dernier étant un fondement de l'intelligence et de la structure du raisonnement, ainsi à travers la télé une masse de personne se trouvent piéger, impossible d'avancer dans la vie.
Le style debouz et toutes ses copies qui parodient les américains avec leurs humours d'attardés imposent un sous kultur aux ados, c'est à dire les plus fragiles surtout quand les parents sont des prolos, sans formations, pauvres et incapable de comprendre l’environnement hostile dans lequel vivent leurs enfants et ainsi les protéger. Le problème de la normalisation, c'est que quand t'as des mecs brillants qui évoluent des ces endroits toxiques, qui sont assoiffés de lecture, qui ont du bagages, ils se sentent obliger de faire comme la majorité afin de ne pas etre rejeté à cause de leurs différence et finissent pour certains d'entre eux par couler comme le reste.