Votre vocation, votre parcours scolaire, pro ...

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Fitra
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Laver les parties intimes? ça depend ta spécialisation je pense non?
je ne pense pas que 100/100 des infirmières font ça...
Tu penses qu'on va appeler un interne chaque fois qu'il faut laver un patient ?

En général, c'est plutôt le rôle des ASH mais bon vu la pénurie de personnel.....
 
J'ai toujours été une élève studieuse, pas vraiment de soucis dans mon parcours scolaire mais pas vraiment de vocation, j'aimais apprendre de tout, c'est ce qui m’intéressais. Mais à un moment il faut faire un choix et arrivais au bac j'ai juste choisis la matiére ou j'avais la meilleure moyenne: L’économie

Me suis donc retrouver en économie et gestion, ce qui me passionnait pas vraiment. Titulaire du DEUG je ne pouvais pas envisager une année de plus.

J'ai donc fait le choix de changer d'orientation, et de revenir en 1er année de droit. J'ai commencer à me passionner pour le droit du travail, qui est devenus ma spécialité à partir de la licence. Pendant EDA j'ai fait mon PPP au sein d'un grand cabinet à Paris dans lequel j'ai été embauché directement. J'y est travaillé 2 ans intense, puis les aléas de la vie ont fait que je n'ai pu travailler pendant 2 ans.

Quand la situation m'a permis de revenir sur le marché du travail, j'ai démissionné de mon poste car je voulais autre chose que 15h de travail par jour. J'ai donc repris dans une association d'aide juridique ou la majorité de mon travail était d'aider les sans papier dans leur régularisation.

Maintenant j'ai crée ma propre affaire toujours dans le droit.

En définitif je n'avais pas vraiment de vocation mais j'aime ce que je fais surtout parce que j'apprends tout le temps
 
A 17 ans je suis entré dans l'armée car mon rêve était de ne rien faire. Après 35 ans de carrière, je suis passé au grade de caporal ce qui fait la fierté de ma mère.
Mon ambition? Finir caporal-chef l'année de la retraite. Mais va falloir bosser car l'an dernier j'ai été dégradé pour avoir fait caca dans le képi du capitaine qui n'a pas apprécié la blagounette.
Le seul problème à l'armée c'est qu'à force de rester assis j'ai chopé des escarres. Et aussi que mon foie a grossi de manière inversement proportionnelle à ma foi.
Sinon c'est cool.
Tu es sérieux? :D
Tu ma bien fait rire. :cool:
 
Hello,

Comment s'est construit ou se construit votre parcours pro dans la vie ?
Est-ce que vous avez suivi une ligne droite où est-ce que vous avez connu des remises en question, réorientations, échecs, reprises d'études, etc. Est-ce que vous êtes arrivés là vous le vouliez finalement, ou non ? Est-ce que ça a été facile ou difficile ? Est-ce que vous êtes "arrivés" ou est-ce que vous êtes encore en train de construire votre parcours ? Êtes-vous fiers des efforts fournis ?

Moi j'ai commencé une formation, ça allait mais j'ai eu un burn-out et beaucoup d'années sans rien faire. Ensuite j'ai tout repris à zéro et maintenant j'ai une idée de métier (dans l'idéal) tout à fait différente de ce que je voulais au début. Seulement ça va être très dur pour y arriver, il faudra beaucoup de travail, d'abord pour acquérir les compétences nécessaires, ensuite pour se lancer. Il faudrait que je maîtrise au moins deux langues étrangères en plus et que j'acquiers et développer plusieurs "talents" indispensables (connaissance approfondie du domaine + confiance en soi + travailler mon expression écrite au moins en français et mon imagination) , puis que j'ose me lancer dans une activité entrepreunariale.
Le plan B, un parcours plus "sûr", serait de me mettre à la recherche universitaire et au travail social, activisme. Pour cela il me faudra maîtriser ces deux langues et développer confiance en soi, connaissance approfondie du domaine.

Ca fait peur et mon avenir semble incertain mais grâce à Dieu ça ira si je fais des efforts. Ca paraît difficile mais pas infaisable, ce qui est drôle est que la plus grosse difficulté que je vois, c'est ce sentiment de peur d'être prétentieuse, de viser trop haut, de rêver. Ca me rassure d'avoir un plan B même si celui-ci aussi est un peu "flou" et exigeant.

Et vous comment avez-vous évolué/évoluez-vous dans la vie ?

Éducation de ZEP, zéro ambition dans la vie, BAC ES décroché au rattrapage (10,15/20) puis deux années de fac sans savoir pourquoi je suis la. BTS assistanat de gestion obtenu sans forcé puis deux années à bosser dans l'import export, bon salaire mais l'environment "corporate" a vite vidé mon âme de toute force vitale. Je plaque tout, je pars en tour du monde puis PVT à Toronto, je me retrouve gérant d'un café qui tourne bien et j'arrive à mettre des sous de côté.

Finalement, avec mes économies, au vénérable âge de 28 ans, je me décide à faire les études que j'ai toujours voulu faire, licence en sciences politique en anglais à Montréal que j'obtiens avec "Honours" (c'est plus facile d'obtenir des bonnes notes quand on aime ce qu'on fait). Là je viens d'être accepté en Master à la Paris School of International Affairs, la division internationale de Sciences Po Paris.

Un parcours un peu chaotique donc.....o_O
 
Éducation de ZEP, zéro ambition dans la vie, BAC ES décroché au rattrapage (10,15/20) puis deux années de fac sans savoir pourquoi je suis la. BTS assistanat de gestion obtenu sans forcé puis deux années à bosser dans l'import export, bon salaire mais l'environment "corporate" a vite vidé mon âme de toute force vitale. Je plaque tout, je pars en tour du monde puis PVT à Toronto, je me retrouve gérant d'un café qui tourne bien et j'arrive à mettre des sous de côté.

Finalement, avec mes économies, au vénérable âge de 28 ans, je me décide à faire les études que j'ai toujours voulu faire, licence en sciences politique en anglais à Montréal que j'obtiens avec "Honours" (c'est plus facile d'obtenir des bonnes notes quand on aime ce qu'on fait). Là je viens d'être accepté en Master à la Paris School of International Affairs, la division internationale de Sciences Po Paris.

Un parcours un peu chaotique donc.....


Waa :wazaa: Super ce parcours, très inspirant, ça force le respect, vraiment !!
C'était un BTS assistant de gestion PME-PMI ?
Je connais quelqu'un qui a repris des études après avoir fait ça, ce n'était pas science politique mais un peu le même domaine quand même (sociologique) mais il n'a jamais fait valoir son BTS. Il aurait pu travailler un peu avec, ça l'aurait rendu moins angoissé. Quitte à rebondir plus tard en faisant vraiment ce qu'il veut comme tu l'as fait. En plus il y'a une cohérence dans ce que tu fais, finalement la gestion ça doit aussi te servir dans ton master d'affaires internationales ...

Je pense que je vais lui parler de ton histoire. :D En plus, ce qui est bien c'est que tu ne t'es pas laissé abattre, tu as assumé et jamais arrêté de travailler même si tu ne faisais pas ce que tu voulais, et en fin de compte ça a payé.
 
Waa :wazaa: Super ce parcours, très inspirant, ça force le respect, vraiment !!
C'était un BTS assistant de gestion PME-PMI ?
Je connais quelqu'un qui a repris des études après avoir fait ça, ce n'était pas science politique mais un peu le même domaine quand même (sociologique) mais il n'a jamais fait valoir son BTS. Il aurait pu travailler un peu avec, ça l'aurait rendu moins angoissé. Quitte à rebondir plus tard en faisant vraiment ce qu'il veut comme tu l'as fait. En plus il y'a une cohérence dans ce que tu fais, finalement la gestion ça doit aussi te servir dans ton master d'affaires internationales ...

Je pense que je vais lui parler de ton histoire. :D En plus, ce qui est bien c'est que tu ne t'es pas laissé abattre, tu as assumé et jamais arrêté de travailler même si tu ne faisais pas ce que tu voulais, et en fin de compte ça a payé.

Ouais, BTS gestion PME-PMI

Mon BTS ne me sert pas à grand chose je dois t'avouer, il correspond à la phase de ma vie ou j'essayai de m'auto-convaincre de rentrer dans le rang et d'avoir un boulot "normal"........bon j'ai tenu deux ans dans le monde corporate et j'ai faillis y perdre mon âme..

La leçon principale que j'ai tiré de mon parcours est que demander à des enfants de 18 ans de prendre des décisions qui vont conditionner les 50 prochaines années à un âge ou on est perdu (et c'est normal) est complètement fou.

Le meilleure cadeau qu'on peut faire à un jeune de 18 ans, c'est lui donner un sac de voyage et lui dire "va voir le monde et reviens quand t'auras mûri"

PS: Je serai curieux de connaitre le parcours des intellos de Bladi....genre @farid_h
 
Dernière édition:
Ouais, BTS gestion PME-PMI

Mon BTS ne me sert pas à grand chose je dois t'avouer, il correspond à la phase de ma vie ou j'essayai de m'auto-convaincre de rentrer dans le rang et d'avoir un boulot "normal"........bon j'ai tenu deux ans dans le monde corporate et j'ai faillis y perdre mon âme..

La leçon principale que j'ai tiré de mon parcours est que demander à des enfants de 18 ans de prendre des décisions qui vont conditionner les 50 prochaines années à un âge ou on est perdu (et c'est normal) est complètement fou.

Le meilleure cadeau qu'on peut faire à un jeune de 18 ans, c'est lui donner un sac de voyage et lui dire "va voir le monde et reviens quand t'auras mûri"

PS: Je serai curieux de connaitre le parcours des intellos de Bladi....genre @farid_h

A ce propos on m'a dit qu'en Allemagne, les jeunes commençaient leurs études beaucoup plus tard que nous, et qu'avant ça, ils voyageaient, réfléchissaient .... Farid pourra peut-être confirmer (ou infirmer lol) ...
 
La leçon principale que j'ai tiré de mon parcours est que demander à des enfants de 18 ans de prendre des décisions qui vont conditionner les 50 prochaines années à un âge ou on est perdu (et c'est normal) est complètement fou.

Le meilleure cadeau qu'on peut faire à un jeune de 18 ans, c'est lui donner un sac de voyage et lui dire "va voir le monde et reviens quand t'auras mûri"
:cool:, je like 10000000 fois.
 
Ca fait peur et mon avenir semble incertain mais grâce à Dieu ça ira si je fais des efforts. Ca paraît difficile mais pas infaisable, ce qui est drôle est que la plus grosse difficulté que je vois, c'est ce sentiment de peur d'être prétentieuse, de viser trop haut, de rêver. Ca me rassure d'avoir un plan B même si celui-ci aussi est un peu "flou" et exigeant.

ça, ça me rappelle le "complexe de l'imposture" : sentiment de ne pas être à sa place, de viser trop haut tout en n'étant pas à la hauteur... j'ai connu ça pendant les 10 premières années de ma vie professionnelle. Et puis un jour, j'ai eu le déclic : je me suis dit que ça faisait 10 ans que je faisais mon métier, que je le faisais bien et que j'avais désormais le droit de me faire confiance. Je n'en suis pas à me reposer sur mes lauriers et continue à m'investir dans chaque nouveau défi de mon taf mais je n'ai plus cette espèce de blocage.

@etre2en1
Ton parcours m'a rappelé le mien... Dès 12 ans, je savais ce que je voulais faire plus tard et les études qui y menaient le plus facilement. La première voie pouvait être la musique, mais mes parents ont refusé de m'inscrire au conservatoire. J'ai donc opté pour une voie plus prestigieuse mais compliquée, Science Po. Après mon bac, je ne voulais tellement pas aller en fac (trop fainéant pour bosser si on ne me pousse pas aux fesses) que j'avais postulé dans les prépas science po et les prépas HEC. J'ai été admis aux deux. Je voulais aller en hypokâgne mais mon père en a décidé autrement me disant qu'il avait déjà tout programmé : ma soeur aînée ferait un métier passionnant mais mal payé (prof d'histoire comme lui) et que moi, je ferai un boulot ennuyeux mais bien payé dans le marketing. Et que donc, j'allais faire prépa HEC sinon il me coupait les vivres. J'avais pas encore 18 ans et n'ai pas eu le courage et l'audace de lui dire d'aller se faire voir...
J'ai donc fait un an de prépa HEC, ai réussi à obtenir une école dès la première année et me suis barré du foyer familial aussi vite et loin que j'ai pu...
Finalement, j'ai pu rejoindre la profession que je voulais via des stages, tout en gardant le marketing comme spécialité. Ce qui m'a au début handicapé dans mon taf (j'avais pas les bonnes études pour les recruteurs) mais m'a finalement servi.

Ma soeur aussi a finalement pu faire le métier qu'elle voulait faire même si, pour elle aussi, mon père a refusé ses deux premiers choix d'études et l'a contrainte à faire la fac d'histoire générale (elle voulait faire l'Ecole du Louvre ou un fac d'histoire de l'art).
En fait, je pense que l'essentiel est de savoir grosso modo ce que l'on veut faire. Ensuite, quelle que soit la formation initiale reçue, on peut réussir à rejoindre la branche que l'on voulait, même si c'est souvent plus difficile. Les seules limites sont souvent celles que l'on s'impose à soi-même (les "j'y arriverais pas", "je suis nul"...)
 
ça, ça me rappelle le "complexe de l'imposture" : sentiment de ne pas être à sa place, de viser trop haut tout en n'étant pas à la hauteur... j'ai connu ça pendant les 10 premières années de ma vie professionnelle. Et puis un jour, j'ai eu le déclic : je me suis dit que ça faisait 10 ans que je faisais mon métier, que je le faisais bien et que j'avais désormais le droit de me faire confiance. Je n'en suis pas à me reposer sur mes lauriers et continue à m'investir dans chaque nouveau défi de mon taf mais je n'ai plus cette espèce de blocage.



C'est exactement ce que je ressent depuis que j'ai commencé dans le monde pro il y a maintenant 5-6 ans... J'ai toujours eu l'impression de ne pas être à ma place! Pourtant dans la vie de tous les jours j'ai une confiance en moi inébranlable. Au début je pensais que je faisais un complexe d’infériorité car constamment renvoyé à mes origines (dont je suis fier! Mais seul maghrébin en école d'ingé, seul maghrébin dans les différentes boites...impression constante d’être un intrus, sans parler des blagues racistes...).
Merci d'avoir enfin mis des mots sur mes maux.
J'ai quand même une question : Comment t'es venu ce déclic?
 
J'ai quand même une question : Comment t'es venu ce déclic?

J'étais dans un taf avec des chefs fous furieux qui n'étaient jamais contents, insultaient leurs collaborateurs (j'ai été traité de fou, de débile, de nul...), nous faisaient réécrire 20 fois le même dossier à t'engueuler pour des broutilles (synonyme, ponctuation...) Un soir où, à 2h du mat, j'étais encore en train de ré-réécrire un dossier, panne de clopes. Je vais voir un vieux collègue d'un autre service qui bossait lui aussi en pleine nuit dans l'espoir de lui taxer des cigarettes. On discute, je lui raconte que j'ai passé la nuit à ré-réécrire un p*tain de dossier à la noix. Il a sorti de son bureau une bouteille de rhum et m'en a rempli mon mug en me disant que ça me donnerait l'inspiration. De fait, j'ai tout réécris mon dossier, totalement bourré.
Et un miracle a eu lieu : mes chefs ont adoré mon travail, m'ont félicité, pris en exemple devant mes autres collègues (et cela m'a beaucoup gêné) alors qu'ils me mettaient avant plus bas que terre... Le tout alors que j'étais rond comme une queue de pelle quand j'avais fait mon boulot. Quelle ironie !
J'ai donc compris que ce n'était définitivement pas moi qui avait un problème, mais mes chefs qui étaient de gros abrutis psychopathes. Ayant du mal à travailler pour des gens pour lesquels je n'ai pas ou plus de respect, j'ai commencé à chercher du taf ailleurs et ai eu la chance d'en trouver dans une boîte qui a d'autres défauts mais où les chefs ne sont pas des harceleurs débiles.

Bon, je ne te conseille pas pour autant de te mettre une mine pour avoir le déclic. Mais la prochaine fois que tes doutes reviennent, rappelle-toi que ça fait 5-6 ans que tu bosses dans ce métier et que tu es un grand professionnel de ton métier. Que tu as déjà surmonté plein de difficultés, que tu as réussi à te sortir d'une tâche que tu pensais insurmontable, que tu as de l'expérience et que même si tu aurais pu faire mieux (on peut toujours faire mieux), ce que tu fais est de toutes façons déjà bien. Car oui, si ça fait déjà plusieurs années que tu exerces, c'est que t'es pas un débutant ni une tanche (sinon, on t'aurait déjà viré).
 
Bon, je ne te conseille pas pour autant de te mettre une mine pour avoir le déclic. Mais la prochaine fois que tes doutes reviennent, rappelle-toi que ça fait 5-6 ans que tu bosses dans ce métier et que tu es un grand professionnel de ton métier. Que tu as déjà surmonté plein de difficultés, que tu as réussi à te sortir d'une tâche que tu pensais insurmontable, que tu as de l'expérience et que même si tu aurais pu faire mieux (on peut toujours faire mieux), ce que tu fais est de toutes façons déjà bien. Car oui, si ça fait déjà plusieurs années que tu exerces, c'est que t'es pas un débutant ni une tanche (sinon, on t'aurait déjà viré).

Merci pour tes précieux conseils ! C'est vrai que dans la boite précédente comme dans celle-ci j'ai eu et j'ai encore à faire à des petits chef imbu de leurs personnes. Toujours à critiquer pour un rien. Du coup je travaillais et travaille encore d'arrache pied pour que tout soit irréprochable et parfait sans jamais vouloir en tirer une gloire ou reconnaissance quelconque. Toujours à penser que je dois être 2x plus motivé et compétent que tous les autres sur un poste équivalent. Du coup, je réussis mieux ça rend les gens jaloux et ça me fais me poser des questions existentielles...

Pour ceux qui sont dans le même cas que moi :

"Adieu les employés d'bureau et leurs vies bien rangées
Si tu pouvais rater la tienne, ça les arrangerait
Ça prendrait un peu d'place dans leurs cerveaux étriqués
Ça les conforterait dans leur médiocrité"
Orelsan - Suicide social

"[...]Même s'il me faut 2 fois plus de courage, 2 fois plus de rage
Car y'a 2 fois plus d'obstacles et 2 fois moins d'avantages
Et alors ?! Ma victoire aura 2 fois plus de goût
Avant d'pouvoir la savourer, j'prendrai 2 fois plus de coups
Les pièges sont nombreux, il faut qu'j'sois 2 fois plus attentif
2 fois plus qualifié et 2 fois plus motivé
Si t'aimes pleurer sur ton sort, t'es qu'un lâche, lève-toi et marche"
Kery james - Banlieusards
 
Faux! Les assistantes sociales sont loins d'apporter une véritable aide humaine et psy!


Avant de faire marketing, j'avais fais une année en AS.... et franchement......c'est bcp de paperrasse.......


Il y a pas de véritable travail relationnel avec les gens! Le job d'éduc! Est de loin le plus humain!


Salut !

Je suis assistant social de formation et l'aspect administratif que tu cites dépend fortement du secteur dans lequel on exerce. J'ai bossé au département en polyvalence de secteur et à l'ASE je n'aimais pas du tout la lourdeur administrative et les procédures à respecter.

A présent je bosse en tant qu'AS libéral pour le compte de plusieurs entreprises (BTP, aéroport de Paris, service de santé au travail) et ça n'a rien à voir ! quasiment pas de paperasses, essentiellement de l'écoute et du soutien moral !

J'ai des potes éducateurs et tu sais ils se plaignent beaucoup du côté administratif de plus en plus présent donc au-delà de la profession c'est surtout le champ d'interviention qui impacte sur cet aspect :)

Tu bosses dans quel secteur toi en tant qu'éduc ?
 
Salut !

Je suis assistant social de formation et l'aspect administratif que tu cites dépend fortement du secteur dans lequel on exerce. J'ai bossé au département en polyvalence de secteur et à l'ASE je n'aimais pas du tout la lourdeur administrative et les procédures à respecter.

A présent je bosse en tant qu'AS libéral pour le compte de plusieurs entreprises (BTP, aéroport de Paris, service de santé au travail) et ça n'a rien à voir ! quasiment pas de paperasses, essentiellement de l'écoute et du soutien moral !

J'ai des potes éducateurs et tu sais ils se plaignent beaucoup du côté administratif de plus en plus présent donc au-delà de la profession c'est surtout le champ d'interviention qui impacte sur cet aspect :)

Tu bosses dans quel secteur toi en tant qu'éduc ?

Je ne travail pas comme éduc malheureusement.

Mais j'ai touché au secteur de l'aide à la jeunesse (saae) dans l'handicap moteur et mental, avec les enfants imc, en psychiatrie et l'enseignement spécialisé! Niveau papier, c'était juste le journal de bord! Dans chaque service, une secretaire ou l'as faisaient les dossiers.
 
Je ne travail pas comme éduc malheureusement.

Mais j'ai touché au secteur de l'aide à la jeunesse (saae) dans l'handicap moteur et mental, avec les enfants imc, en psychiatrie et l'enseignement spécialisé! Niveau papier, c'était juste le journal de bord! Dans chaque service, une secretaire ou l'as faisaient les dossiers.
ouais dans certaines structures comme dans le champ du handicap le travail de l'AS, au-delà du soutien psy, est archi orienté paperasses ça me soulerait trop alors que j'aurais kifé bosser avec ce public mais bon ca paye pas assez :D

T'as envie de te remettre dans le social ou c'est derrière toi ?
 
ouais dans certaines structures comme dans le champ du handicap le travail de l'AS, au-delà du soutien psy, est archi orienté paperasses ça me soulerait trop alors que j'aurais kifé bosser avec ce public mais bon ca paye pas assez :D

T'as envie de te remettre dans le social ou c'est derrière toi ?

Je vise l'enseignement spécialisé! Mais c'est hyper bouché. Je perds pas espoir^^
 
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