c'est beau le passage en darija, même si j'ai pas tout compris...
bon, retour en force du romantisme..obligée de composer sur ce nouveau canevas alors...
écoutez braves gens qui n'aimez (lol) que le chocolat
l'histoire bien douce de wazir et wazira
wazir était un homme comme tous les apôtres
aimant le goût du paradis mais ne dédaignant pas l'autre
celui qui brûle les cuisses et celui qui la langue noie
qui laisse toute volonté et tout désir aux abois
wazira, elle, était une vierge façonnée de miel
blanche de coeur et dénuée de fiel
wazir fut le premier à connaitre son trésfonds
elle croyait lui avoir tout donné au plus profond
quand lui souspesait déjà d'autres bas-fonds..
il en est ainsi de toutes les histoires d'humains
l'une aime trop l'autre aime moins
ce n'est pas la faute du damoiseau
qui à son désir ne met qu'un fin chapeau
ce n'est pas la faute de la demoiselle
qui se croit toujours la seule et la plus belle
c'est la faute inique et perpétuelle du destin
qui fait les femmes trop attachées et les hommes vains
dans cette histoire banale d'A..
vous me direz, que fais-tu là?
je raconte, puisque il faut bien un narrateur
il faut bien dire quand il n ya pas d'auteur...
et puis, de quoi je me mêle?
quand il a envie, le mouton bêle...

j'arrivais pas à m'en sortir de cette histoire..