Yemen : monde yémen. la fillette du new york times est morte

Yoel1

VIB
Clair l'agresseur se sont les sunnites soutenu par l'AS et ont va pas faire des cours d'orthographes entre Chiites/schiste;...la seule solution intelligente me parait être un retour aux anciennes frontières Yémen du Sud / Yémen du nord
 
L'aider un minimum, a manger, boire, soins medicaux... deja trop tard?... Je sais pas...
Toi qui est crédule t'as fais quoi depuis que tu l'a appris?...

Manger et boire la tuerais rapidement, c organes vitaux ne fonctionnaient probablement plus, il fallait la perfuser pour atténuer la douleur, mais à voir son état... ça m'étonnerais qu'ils puissent trouver une veine viable.

Ce que j'ai fait depuis que je l'ai appris... J'ai vécu ma vie normalement... Pourquoi qu'aurais tu voulu que je fasse?
 
A

AncienBladinaute

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Manger et boire la tuerais rapidement, c organes vitaux ne fonctionnaient probablement plus, il fallait la perfuser pour atténuer la douleur, mais à voir son état... ça m'étonnerais qu'ils puissent trouver une veine viable.

Ce que j'ai fait depuis que je l'ai appris... J'ai vécu ma vie normalement... Pourquoi qu'aurais tu voulu que je fasse?
Te "reveiller"...
 
A

AncienBladinaute

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AncienMembre

Non connecté
c'est un crime contre l'Humanité.
il faut enfin que cette dynastie pourrie soit chassée et que le pays devienne démocratique.
Elections libres, droits des femmes, cessation de l'esclavage, et fin de cette guerre inutile et sanguinaire !
 
MBS a déclaré lors d'une visite à NY il me semble que le wahhabisme avait été sorti d'Arabie Saoudite à la demande des occidentaux (RU, France, USA principalement) pour lutter contre le communisme et le panarabisme, après la mort de Nasser le plan a été clair, bosnie, egypte, tchétchénie, afghanistan, plus recemment, lybie, mali, centrafrique, nigéria, syrie, irak, chine, birmanie etc
les clébards de Saouds, quataris (qui ont fini par reconnaitre leur erreur d'avoir tapiné pour sarko/bhl), les émirats ont trahis tous les musulmans car ils n'ont fait que répendre leur sang

ceci étant ce sont les armes françaises et américaines qui tuent les yéménites
 
Après, une arme est une arme... Si tu ne la touches pas, elle est aussi inoffensive qu'une brosse à dent. Vendue par la France, ok... Mais utilisée par qui ?..

ça te parle la complicité de crime de guerre ?

il y a une différence entre vendre des armes à un pays en paix comme le Bhoutan et l'Arabie Saoudite une dictature en guerre

si demain je vends une arme à un criminel, sachant pertinemment qu'il va s'en servir pour tuer , pour simplifier

je serai poursuivit au pénal pour complicité

trop facile de rejeté la seule faute sur l'AS

puis tant qu'à faire on peut aussi vendre à n'importe quelles organisations criminelles....puisque le vendeur n'est responsable de rien et que c'est celui qui l'utilise le vrai responsable

donc la france peut vendre à daesh, la mafia italienne, les narco trafiquants...pour certains c'est déjà le cas, la France sponsor de terroristes c'est pas nouveau

si un de tes proches tombe un jour sous les coups d'une balle, j'espère que tu n'en tiendras pas rigueur à celui qui a vendu les armes

business is business

sinon la France n'est pas la seule en europe, la guerre c'est bon pour nous !
 

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Korozif

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VIB
Mon beau-frère a été assassiné il y a 10 ans de deux balles dans la tête pour sa voiture au Brésil, à Belo Horizonte. Si j'en veux aux USA pour ce crime ? Non, je n'en tiens pas rigueur, a quoi bon. Le ******* qui a tiré, lui je lui en tiens rigueur. Je reste convaincu que l'arme à feu n'est qu'un outil dangereux. Si il n'avait pas eu de revolver, cela aurait été autre chose.
Après je peux comprendre ton point de vue, mais un marché est un marché. L'offre et la demande. Les pays ayant des industries dans ce domaine doivent vendre pour qu'elles puissent fonctionner et faire vivre leurs employés... Quand il y a une demande, il y a une offre. Si ce n'était pas la france, ce serait quelqu'un d'autre...
Tout le monde profite de ces bénéfices. Ces entreprises paient des charges qui sont injectées dans le système dont tout le monde profite. Les assocs, la caf, les hlm, la SS... Ben on accepte tous, on a tous un peu de sang sur les doigts en fin de compte.
 

Yoel1

VIB
Les Etats-Unis vont mettre fin au ravitaillement en vol des avions de la coalition militaire sous commandement saoudien qui intervient depuis 2015 au Yémen, ont annoncé les autorités saoudiennes et américaines samedi 10 novembre.

Riyad a précisé avoir demandé à Washington de mettre un terme au ravitaillement, car la coalition arabe était en mesure de le faire de manière indépendante. Cette annonce intervient dans un contexte de tensions autour du royaume saoudien, montré du doigt par la communauté internationale après le meurtre du journaliste et opposant saoudien Jamal Khashoggi le 2 octobre au consulat d’Arabie saoudite à Istanbul.

https://www.lopinion.fr/edition/int...arrete-ravitaillement-avions-coalition-168245
 

Je me demande si cette information est plausible? ...

Guerre au Yémen : Riyad appelle à la rescousse des mercenaires du Darfour

Dans la guerre qui les oppose aux rebelles houthis depuis 2015, les Saoudiens évitent visiblement autant que possible de faire combattre leurs propres soldats. La plupart du temps, les Houthis affrontent des mercenaires gracieusement rémunérés par Riyad et ses alliés du Golfe.

Même le Soudan, qui fait officiellement partie de l’alliance anti-Houthis dirigée par l’Arabie Saoudite, n’y envoie pas ses soldats. Khartoum fait aussi le plus souvent appel à des paramilitaires faisant partie de la Force de soutien rapide (RSF) ou tout simplement à des miliciens.

Selon le New York Times, le royaume saoudien a embauché depuis le début du conflit environ 14 000 de ces miliciens. Ils reçoivent des primes de 8700 euros et des salaires mensuels d’environ 450 euros. Presque tous «semblent provenir de la région du Darfour», poursuit la même source. Plus grave, un grand nombre d’entre eux sont des enfants âgés de 14 à 17 ans. Le New York Times relève en outre qu’au Darfour, «des parents qui ont tout perdu dans la guerre civile (bétail, habitation, récolte, etc.) se portent souvent volontaires pour vendre leurs enfants aux recruteurs».

Dans son enquête, le quotidien new-yorkais – qui dit avoir interviewé des combattants somaliens de retour du Yémen – révèle que les soldats mineurs représenteraient au moins 20% des unités de mercenaires soudanais au service des Saoudiens. D’après deux autres témoignages avancés par la même source, ces mineurs pourraient même représenter 40% des effectifs.

Khartoum et la coalition arabe démentent, quant à eux, les informations rapportées par le New York Times. «Les allégations, selon lesquelles il y aurait des enfants dans les rangs des forces soudanaises, sont fictives et sans fondement», a ainsi assuré Turki Al Malki, un porte-parole, via un communiqué.

Dans un reportage publié en avril dernier, RFI atteste cependant que le cas du Soudan, en plus d’être vrai, n’est pas isolé. D’autres pays africains auraient en effet envoyé des miliciens se battre au Yémen, comme le Tchad et l’Ouganda. D’autres sources attestent que Riyad a fait également appel à des mercenaires sud-américains.


Dans sa guerre totale contre les éléments du groupe armé Ansarullah (Houthis), la coalition dirigée par l’Arabie Saoudite a tué et blessé des milliers de civils et contribué à mettre le pays au bord de la famine. Ces innombrables crimes de guerre n’ont toutefois pas empêché les pays occidentaux de vendre des armes à Riyad.

Le conflit au Yémen a déjà fait au moins 10 000 morts. Jusqu’à 20 millions de personnes sont, selon l’ONU, «en situation d’insécurité alimentaire». La guerre civile yéménite est un conflit qui oppose depuis 2014 principalement les rebelles houthis, réunis autour du groupe Ansarullah, et, jusqu’en 2017, les forces fidèles à l’ex-président Ali Abdallah Saleh au gouvernement de Abd Rabbo Mansour Hadi, élu en 2012 à la suite de la révolution yéménite et du départ du pouvoir de Saleh.

Le conflit s’est internationalisé en mars 2015 avec l’intervention de nombreux pays menés par l’Arabie Saoudite. Des spécialistes du Yémen expliquent qu’«il est l’une des conséquences de la guerre du Saada, commencée au nord-ouest du pays en 2004, en raison du sentiment de marginalisation des tribus du Nord qui se sentent délaissées par le pouvoir central, après l’unification du pays en 1990». «Il découle ainsi d’une série de mouvements de protestation houthistes contre la fin des subventions sur les produits pétroliers, la corruption, le meurtre de deux représentants houthis siégeant au conseil de transition, la lenteur d’application des mesures prévues par la conférence de dialogue national de 2012, ainsi que par la prise d’Amran», ajoutent les mêmes sources.

Le mouvement armé Ansarullah et le gouvernement ont bien signé, en décembre 2018, un accord parrainé par l’ONU qui vise à entamer des discussions de paix et à mettre fin aux hostilités dans le pays. Obtenu après d’âpres négociations, cet accord prévoyant une trêve à Al Hodeïda, principal front du conflit et point d’entrée de l’essentiel des importations du pays et des aides humanitaires, n’est pour le moment pas appliqué sur le terrain. Ansarullah et le gouvernement s’accusent mutuellement de bloquer sa mise en œuvre.


https://www.elwatan.com/edition/int...scousse-des-mercenaires-du-darfour-03-01-2019
 
Po
Je me demande si cette information est plausible? ...

Guerre au Yémen : Riyad appelle à la rescousse des mercenaires du Darfour

Dans la guerre qui les oppose aux rebelles houthis depuis 2015, les Saoudiens évitent visiblement autant que possible de faire combattre leurs propres soldats. La plupart du temps, les Houthis affrontent des mercenaires gracieusement rémunérés par Riyad et ses alliés du Golfe.

Même le Soudan, qui fait officiellement partie de l’alliance anti-Houthis dirigée par l’Arabie Saoudite, n’y envoie pas ses soldats. Khartoum fait aussi le plus souvent appel à des paramilitaires faisant partie de la Force de soutien rapide (RSF) ou tout simplement à des miliciens.

Selon le New York Times, le royaume saoudien a embauché depuis le début du conflit environ 14 000 de ces miliciens. Ils reçoivent des primes de 8700 euros et des salaires mensuels d’environ 450 euros. Presque tous «semblent provenir de la région du Darfour», poursuit la même source. Plus grave, un grand nombre d’entre eux sont des enfants âgés de 14 à 17 ans. Le New York Times relève en outre qu’au Darfour, «des parents qui ont tout perdu dans la guerre civile (bétail, habitation, récolte, etc.) se portent souvent volontaires pour vendre leurs enfants aux recruteurs».

Dans son enquête, le quotidien new-yorkais – qui dit avoir interviewé des combattants somaliens de retour du Yémen – révèle que les soldats mineurs représenteraient au moins 20% des unités de mercenaires soudanais au service des Saoudiens. D’après deux autres témoignages avancés par la même source, ces mineurs pourraient même représenter 40% des effectifs.

Khartoum et la coalition arabe démentent, quant à eux, les informations rapportées par le New York Times. «Les allégations, selon lesquelles il y aurait des enfants dans les rangs des forces soudanaises, sont fictives et sans fondement», a ainsi assuré Turki Al Malki, un porte-parole, via un communiqué.

Dans un reportage publié en avril dernier, RFI atteste cependant que le cas du Soudan, en plus d’être vrai, n’est pas isolé. D’autres pays africains auraient en effet envoyé des miliciens se battre au Yémen, comme le Tchad et l’Ouganda. D’autres sources attestent que Riyad a fait également appel à des mercenaires sud-américains.


Dans sa guerre totale contre les éléments du groupe armé Ansarullah (Houthis), la coalition dirigée par l’Arabie Saoudite a tué et blessé des milliers de civils et contribué à mettre le pays au bord de la famine. Ces innombrables crimes de guerre n’ont toutefois pas empêché les pays occidentaux de vendre des armes à Riyad.

Le conflit au Yémen a déjà fait au moins 10 000 morts. Jusqu’à 20 millions de personnes sont, selon l’ONU, «en situation d’insécurité alimentaire». La guerre civile yéménite est un conflit qui oppose depuis 2014 principalement les rebelles houthis, réunis autour du groupe Ansarullah, et, jusqu’en 2017, les forces fidèles à l’ex-président Ali Abdallah Saleh au gouvernement de Abd Rabbo Mansour Hadi, élu en 2012 à la suite de la révolution yéménite et du départ du pouvoir de Saleh.

Le conflit s’est internationalisé en mars 2015 avec l’intervention de nombreux pays menés par l’Arabie Saoudite. Des spécialistes du Yémen expliquent qu’«il est l’une des conséquences de la guerre du Saada, commencée au nord-ouest du pays en 2004, en raison du sentiment de marginalisation des tribus du Nord qui se sentent délaissées par le pouvoir central, après l’unification du pays en 1990». «Il découle ainsi d’une série de mouvements de protestation houthistes contre la fin des subventions sur les produits pétroliers, la corruption, le meurtre de deux représentants houthis siégeant au conseil de transition, la lenteur d’application des mesures prévues par la conférence de dialogue national de 2012, ainsi que par la prise d’Amran», ajoutent les mêmes sources.

Le mouvement armé Ansarullah et le gouvernement ont bien signé, en décembre 2018, un accord parrainé par l’ONU qui vise à entamer des discussions de paix et à mettre fin aux hostilités dans le pays. Obtenu après d’âpres négociations, cet accord prévoyant une trêve à Al Hodeïda, principal front du conflit et point d’entrée de l’essentiel des importations du pays et des aides humanitaires, n’est pour le moment pas appliqué sur le terrain. Ansarullah et le gouvernement s’accusent mutuellement de bloquer sa mise en œuvre.


https://www.elwatan.com/edition/int...scousse-des-mercenaires-du-darfour-03-01-2019
pourquoi ne le serait elle pas ?
 
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