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Un homme de 63 ans sera jugé en janvier 2024, accusé d'avoir maltraité sa mère de 93 ans, à Mézy-sur-Seine (Yvelines)
Un ingénieur à la retraite, âgé de 63 ans, a été interpellé dans les Yvelines, ce mercredi 29 novembre 2023. L’homme est accusé de violences aggravées contre sa mère âgée de 93 ans ainsi que de délaissement.
Les forces de l’ordre ont été appelées alors que la nonagénaire se trouvait dans son jardin de Mézy-sur-Seine, assise contre des poubelles, les pieds nus.
« Elle souffrait d’hypothermie et avait le visage tuméfié », précise une source proche du dossier.
D’après notre source, le fils aurait opté pour cette voie suite à une dispute avec sa mère.
Sur l’autoroute, elle a essayé d’ouvrir la portière à trois reprises alors que la voiture était lancée à 130 km/h.
Faute d’être entendu, son fils l’a alors frappée.
En rentrant, elle a refusé de descendre du véhicule stationné dans la cour. Lui est parti se coucher.
Ce vendredi soir, il a été présenté à un juge des libertés et de la détention. Ce dernier a décidé de le placer en détention provisoire.
Le procès a été fixé au 18 janvier 2024.
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Un ingénieur à la retraite, âgé de 63 ans, a été interpellé dans les Yvelines, ce mercredi 29 novembre 2023. L’homme est accusé de violences aggravées contre sa mère âgée de 93 ans ainsi que de délaissement.
Les forces de l’ordre ont été appelées alors que la nonagénaire se trouvait dans son jardin de Mézy-sur-Seine, assise contre des poubelles, les pieds nus.
« Elle souffrait d’hypothermie et avait le visage tuméfié », précise une source proche du dossier.
Une nuit dans la voiture
Les premiers éléments de l’enquête laissent à penser que son fils l’aurait laissée passer la nuit dans une voiture, par une température flirtant avec 0 °C.D’après notre source, le fils aurait opté pour cette voie suite à une dispute avec sa mère.
Sur l’autoroute, elle a essayé d’ouvrir la portière à trois reprises alors que la voiture était lancée à 130 km/h.
Faute d’être entendu, son fils l’a alors frappée.
En rentrant, elle a refusé de descendre du véhicule stationné dans la cour. Lui est parti se coucher.
Procès à la mi-janvier
Lors de ses auditions, l’homme a reconnu avoir frappé sa mère. Elle a refusé de s’exprimer.Ce vendredi soir, il a été présenté à un juge des libertés et de la détention. Ce dernier a décidé de le placer en détention provisoire.
Le procès a été fixé au 18 janvier 2024.
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