Zakaria Moumni, qui se dit champion du monde et qui crie sur les murs que le Maroc l’a torturé, a été mis KO vendredi dernier par la présidente de la 17-ème chambre correctionnelle du TGI de Paris, devant laquelle il comparaissait, esté par l’Etat marocain, pour des faits de diffamation, de chantage et de tentative d’extorsion de fonds.
D’abord la magistrate a relevé que le dossier ne contenait rien qui puisse attester de la véracité de ses allégations concernant la torture.
Même son soi disant titre de champion du monde sent le souffre. La magistrate n’a pas manqué de s’interroger sur l’authenticité de titre de champion du monde de light contact en 1999 à Malte, que Zakaria Moumni prétend détenir.
Et puis il y a l’histoire de ce décret que ne cesse de mentionner Zakaria Moumni. Un décret qui ne contient aucune disposition, a noté la présidente de la Cour qui lui donnerait un quelconque droit droit à occuper le poste de conseiller sportif à la Fédération Royale marocaine de full, light semi contact, kick boxing, K1, muay thai forms, savate et sports assimilés (FRMFKT).
Cette dernière (la FRMFKT), s’est défendue de l’avoir privé d’un “droit légal”, suite à ses “allégations prétendant détenir le titre de champion du monde de light contact en 1999″. Et de préciser que l’intéressé (dans tous les sens du terme) ne dispose d’aucun certificat qui lui confère la qualité de champion du monde professionnel.
Reste la cerise sur le gateau, Adil Belgaïd, ex et authentique champion d’Afrique de judo, a apporté son clou dans le cercueil des allégations du maitre chanteur en témoignant que ce dernier est “un homme qui veut monnayer, soi-disant son succès sportif, auprès de sa patrie”.
L’argent a toujours été le moteur de Moumni, avait affirmé Belgaïd , qui a rappelé que ce dernier lui avait proposé de lui reverser 20% du million d’euros qu’il comptait réclamer au Maroc, s’il arrivait à l’aider à l’obtenir.
http://www.quid.ma/a-la-une/zakaria-moumni-un-faux-champion-double-dun-maitre-chanteur/
D’abord la magistrate a relevé que le dossier ne contenait rien qui puisse attester de la véracité de ses allégations concernant la torture.
Même son soi disant titre de champion du monde sent le souffre. La magistrate n’a pas manqué de s’interroger sur l’authenticité de titre de champion du monde de light contact en 1999 à Malte, que Zakaria Moumni prétend détenir.
Et puis il y a l’histoire de ce décret que ne cesse de mentionner Zakaria Moumni. Un décret qui ne contient aucune disposition, a noté la présidente de la Cour qui lui donnerait un quelconque droit droit à occuper le poste de conseiller sportif à la Fédération Royale marocaine de full, light semi contact, kick boxing, K1, muay thai forms, savate et sports assimilés (FRMFKT).
Cette dernière (la FRMFKT), s’est défendue de l’avoir privé d’un “droit légal”, suite à ses “allégations prétendant détenir le titre de champion du monde de light contact en 1999″. Et de préciser que l’intéressé (dans tous les sens du terme) ne dispose d’aucun certificat qui lui confère la qualité de champion du monde professionnel.
Reste la cerise sur le gateau, Adil Belgaïd, ex et authentique champion d’Afrique de judo, a apporté son clou dans le cercueil des allégations du maitre chanteur en témoignant que ce dernier est “un homme qui veut monnayer, soi-disant son succès sportif, auprès de sa patrie”.
L’argent a toujours été le moteur de Moumni, avait affirmé Belgaïd , qui a rappelé que ce dernier lui avait proposé de lui reverser 20% du million d’euros qu’il comptait réclamer au Maroc, s’il arrivait à l’aider à l’obtenir.
http://www.quid.ma/a-la-une/zakaria-moumni-un-faux-champion-double-dun-maitre-chanteur/