pas de reponse à mes arguments sur le paraclet ?
comme je suis etonné...
typique des gars de ton genre.
Lol, tu m'avais dit que t'avais besoin de la référence de Esaïe, et maintenant c'est la débandade?
Comme je l'avais dit la réponse sur le paraclet je l'ai déjà affirmé à Saytham à la première page, j'ai relevé ce que Maurice bucaille a dit au sujet du paraclet, mais comme je te connais, tu ne va pas lire, je recopie ce que j'avais dit:
Extrait directement du livre de Maurice Bucaille (la bible le Coran et la science), l'affirmation en ce qui concerne le paraclet (je met en gras les parties intéressantes):
Le texte de l'Evangile de Jean et lui seul le désigne explicitement sous le nom grec de
Parakietos, devenu Paraclet en français. En voici, selon la Traduction œcuménique de la Bible, Nouveau
Testament, les passages essentiels :
« Si vous m'aimez, vous vous appliquerez à observer mes commandements ; moi je prierai le Père : il vous
donnera un autre Paraclet (14, 15-16). »
Que signifie Paraclet? Le texte que nous possédons actuellement de l'Evangile de Jean explique son sens en ces
termes :
< Le Paraclet, l'Esprit Saint que le Père enverra en mon nom, vous communiquera toutes choses, et vous fera
ressouvenir de tout ce que je vous ai dit » (14, 26).
« II rendra lui-même témoignage de moi » (15, 26).
« Lorsque viendra l'Esprit de vérité, il vous fera accéder à la vérité tout entière, car il ne parlera pas de son
propre chef, mais il dira ce qu'il entendra et il vous communiquera tout ce qui doit venir. D me glorifiera... » (16,
13-14).
Contradictions et invraisemblances des récits
(A noter que les passages non cités ici des chapitres 14 à 17 de l'Evangile de Jean ne modifient aucunement le sens général de ces ci- tations.)
Si l'on en fait une lecture rapide, le texte français qui établit l'identité du mot grec Paraclet avec l'Esprit Saint
n'arrête pas le plus souvent l'attention. D'autant plus que les sous-titres du texte généralement employés dans les
traductions et les termes des commentaires présentés dans les ouvrages de vulgarisation orientent le lecteur vers
le sens que la bonne orthodoxie veut donner à ces passages. Aurait-on la moindre difficulté de compréhension
que des précisions comme celles données par le Petit Dictionnaire du Nouveau Testament d'A. Tricot, par
exemple, seraient là pour offrir tous les éclaircissements. Sous la plume de ce commentateur, à l'article Paraclet,
on peut y lire, en effet, ce qui suit :
< Ce nom ou ce titre, transcrit du grec en français, n'est employé dans le Nouveau Testament que par S. Jean :
quatre fois quand il rapporte le discours de Jésus après la " Cène ' " (14, 16 et 26 ; 15, 26 ;
16, 7) et une fois dans sa première épître (2, 1). Dans l'Evangile Johannique, le mot s'applique à l'Esprit Saint ;
dans l'épître, au Christ. " Paraclet " était un terme couramment employé par les Juifs hellénistes du l" siècle au
sens d'intercesseur, de défenseur. [...] L'Esprit, annonce Jésus, sera envoyé par le Père et le Fils et il aura pour
mission propre de suppléer le Fils dans le rôle secourable exercé par celui-ci durant sa vie mortelle au profit de
ses disciples. L'Esprit interviendra et agira comme substitut du Christ en tant que paraclet ou intercesseur toutpuissant.
»
Ce commentaire fait donc de l'Esprit Saint le guide ultime des hommes après la disparition de Jésus. S'accorde-til
avec le texte de Jean?
La question doit être posée car, a priori, il semble curieux que l'on puisse attribuer à l'Esprit Saint le dernier paragraphe cité plus haut : < D ne parlera pas de son propre chef, mais il dira ce qu'il entendra et il vous communiquera tout ce qui doit venir. » II paraît inconcevable qu'on puisse prêter à l'Esprit Saint les pouvoirs de parler et de dire ce qu'il entend... A ma connaissance, cette question, que la logique commande de soulever, n'est généralement pas l'objet de commentaires.
1. En réalité, c'est bien au cours même de la < Ciné » que, pour Jean, Jésus a prononcé le long discours où il est
sujet du Paraclet, discours non rapporté par les autres évangélistes.
Pour avoir une idée exacte du problème, il est nécessaire de se reporter au texte grec de base, ce qui est d'autant
plus important que l'on reconnaît à l'évangéliste Jean d'avoir écrit en grec et non en une autre langue. Le texte
grec consulté fut celui de Novum Testamentum graece '.
Toute critique textuelle sérieuse commence par la recherche des variantes. Il apparaît ici que, dans l'ensemble des manuscrits connus de l'Evangile de Jean, il n'existe pas d'autre variante susceptible d'altérer le sens de la phrase que celle du passage 14, 26 de la fameuse version en langue syriaque appelée Palimpseste'. Ici, on ne mentionne pas l'Esprit Saint, mais l'Esprit tout court. Le scribe a-t-il fait un simple oubli, ou bien placé en face d'un texte à recopier qui prétendait faire entendre et parler l'Esprit Saint, n'a-t-il pas osé écrire ce qui lui paraissait être une absurdité ? A part cette remarque, il n'y a pas lieu d'insister sur d'autres variantes, si ce n'est
les variantes grammaticales qui ne changent rien au sens général. L'essentiel est que ce qui est exposé ici sur la
signification précise des verbes « entendre »- et <; parler » vaille pour tous les manuscrits de l'Evangile de Jean
et c'est le cas.
Le verbe « entendre » de la traduction française est le verbe grec akouô, qui signifie percevoir des sons. Il a
donné, par exemple, en français le mot acoustique, en anglais acoustics, qui est la science des sons.
Le verbe « parler » de la traduction française est le verbe grec laleô, qui a le sens général d'émettre des sons et le
sens particulier de parler. Ce verbe revient très souvent dans le texte grec des Evangiles pour désigner une
déclaration solennelle de Jésus au cours de sa prédication. Il apparaît donc que la communication aux hommes dont il est fait état ici ne consiste nullement en une inspiration qui serait à l'actif de l'Esprit Saint, mais elle a un caractère matériel évident en raison de la notion d'émission de son attachée au mot grec qui la dé finit.
Les deux verbes grecs akouô et laleô définissent donc des actions concrètes qui ne peuvent concerner qu'un être
doué d'un organe de l'audition et d'un organe de la parole. LES APPLIQUER PAR CONSEQUENT A L'ESPRIT SAINT N'EST POSSIBLE.
Ainsi, tel qu'il nous est livré par les manuscrits grecs, le texte de ce passage de l'Evangile de Jean est
parfaitement incompréhensible si on l'accepte dans son intégrité avec les mots Esprit Saint de la phrase (14, 26) :« Le Paraclet, l'Esprit Saint que le Père enverra en mon nom... », etc., seule phrase qui, dans l'Evangile de Jean, établit l'identité entre Paraclet et Esprit Saint."
Si au moins tu lisait mes réponses avant de parler et de dire du n'importe quoi et de te ridiculiser devant tout le monde, le texte de l'évangile de Jean n'est pas compréhensible, et l'analyse des mots employés par jésus christ montre clairement qu'il est impossible que ça soit le saint esprit, mais un caractère matériel comme le confirme Maurice Bucaille.
Attribuer le saint esprit alors que le saint esprit existe déjà avant jésus n'est pas crédible.