Trump signe un décret stipulant que le couscous est d’origine marocaine
Le président Trump qui va quitter ses fonctions le 20 janvier prochain, a décidé de marquer plus fortement son mandat déjà bien terne par une nouvelle provocation à l’égard de l’Algérie. Non content d’avoir provoqué l’ire d’Alger en prétendant que Sahara Occidental était un territoire marocain et en poussant le Maroc à accepter d’officialiser ses relations avec Israël, le président américain a décidé de faire un ultime cadeau à son ami Mohamed VI, à l’occasion de l’entrée du couscous au patrimoine universel de l’Humanité à l’UNESCO.
Le couscous, les graines d’un nouveau conflit
La semaine passée, l’UNESCO annonçait fièrement que le dossier déposé conjointement par l’Algérie, le Maroc, la Tunisie et la Mauritanie pour faire entrer le couscous au patrimoine universel de l’Humanité avait été accepté. Une très belle victoire pour les pays du Maghreb qui ont pu, malgré leurs différences géopolitiques et l’échec de l’UMA, s’entendre sur un sujet qui parle à tout le monde et qui fait la fierté de toute la région. Là où les politiques ont échoué, la cuisine a fait un miracle, certes symbolique, mais ô combien important.
La fête aurait pu être totale si ce n’est le jeu de coulisses engagé secrètement par le Maroc auprès des Etat-Unis. En effet, le Royaume Chérifien qui a toujours essayé de s’approprier la recette originelle du couscous, a demandé à Trump de jouer le jeu des décrets de reconnaissance comme il l’avait fait avec le Sahara Occidental, et de déclarer officiellement que le couscous était d’origine marocaine. Sans aucune hésitation et tout content d’avoir pu introduire Israël au Maroc, le président US a immédiatement accepté de signer le décret comme ultime provocation envers l’Algérie et pour témoigner de son amitié avec le Roi. Et pour faire un peu plus dans la provoc’, Trump a choisi de signer le décret dans un restaurant marocain situé à Manhattan avec comme mise en scène, l’ambassadeur du Maroc à Washington lui servant un plat de couscous.
D’après nos sources, la riposte d’Alger serait imminente et pourrait prendre la forme d’un dossier pour faire reconnaitre le Zviti comme remède anti-Covid.
El manchar