Défilé nocturne sur les champs-elysées : les policiers ont-ils le droit de manifester ?

les enfants passent le plus clair de leur Temps a l école .. ce ne sont pas les parents qui sont responsable de leur education mais avant tout l Education National . , c est pour cela qu elle porte ce nom d ailleurs non ??

L'école est d'abord là pour enseigner et si elle donne un cadre aux enfants qui accentue leur bon comportement en société, c'est un plus et on s'en félicite mais ça c'est plutôt en école privée...

. ce sont les enseignants qui depuis 40 ans masque leur incompétence derrière cette critique réccurente des parents . qui eux sont deja bien accablé de problème .. comme passer la plupart de sa journée au travail et dans ls transport .. transport toujours problématique dans ces quartier difficile

Je suis d'accord...

voila la vrai vérité que vous voulez pas admettre ... alors vous accusez les parents .. voir leur culture car évidemment .. on sait bien que tout ces critique sur les mauvais parent vise évidemment les immigré ..

Ça, c'est la théorie d'extreme droite qui tend à faire croire que les problèmes sont liés à l'immigration ainsi qu'à la différence de culture.Je pense que c'est plutôt lié au contexte social.
En Pologne aussi il y a de la délinquance...:cool:
 
et comment tu comptes éduquer les parents?
Ce n'est pas à moi d'éduquer les parents et je n'ai pas toutes les clés de la réussite sur cette entreprise.
Les facteurs de parents en échec sont multiples et les solutions le sont donc aussi.
Par exemple, le gouvernement, au lieu de passer son temps à vouloir éclater la famille, considérant cela comme un modèle dépasser et qu'en défendre ses fondements, serait un combat dépassé, il ferait bien au contraire de le protéger...
 
Après Nantes et Marseille, 400 policiers manifestent dans la nuit à Toulouse

« On continue notre mouvement puisqu’on n’est pas entendus », a assuré une porte-parole toulousaine. A Marseille, une délégation a été reçue par le préfet de police.
LeMonde.fr
 
les enfants passent le plus clair de leur Temps a l école .. ce ne sont pas les parents qui sont responsable de leur education mais avant tout l Education National . , c est pour cela qu elle porte ce nom d ailleurs non ??

. ce sont les enseignants qui depuis 40 ans masque leur incompétence derrière cette critique réccurente des parents . qui eux sont deja bien accablé de problème .. comme passer la plupart de sa journée au travail et dans ls transport .. transport toujours problématique dans ces quartier difficile

c est un cumul de facteur qui a produit cette situation et l école est la premiere responsable de ce que nous vivions ..
le problème des profs c est que la moitié sont des bon a rien qui pensent qu il suffit d avoir son diplome pour etre un bon educateur ..
et ceux qui ont ca dans l âme sont vite écrasé par systeme ..

voila la vrai vérité que vous voulez pas admettre ... alors vous accusez les parents .. voir leur culture car évidemment .. on sait bien que tout ces critique sur les mauvais parent vise évidemment les immigré ..


Faudrait peut être arrêter de se déresponsabiliser à un moment et tout rejeter toujours sur les institutions.. Non l'école n'a pas vocation à éduquer les enfants, c'est à ceux qui les ont pondus de le faire - si on ne s'en sent pas capable on en fait pas, point. On prend la pilule, on se fait vasectomiser et on arrête de polluer les autres avec ses gamins non élevés.
Quand le soir il y a des gamins d'une dizaine d'années qui trainent en bas de tours avec des plus grands tu crois qu'il y a un prof qui doit lui prendre la main et lui expliquer que ce n'est pas sa place ou ça serait à ses parents de s'inquiéter de ce qu'il fait et avec qui ? Quand tu fais des enfants pour les délaisser ne t'étonne pas qu'ils tournent mal.
L'école sert à instruire et la nuance avec l'éducation est grande, les profs ne sont pas des parents de substitution.
(et puis quand bien même il y aurait des profs qui voudraient "éduquer" et remettre dans le droit chemin, il y a encore des parents qui seraient capables de s'offusquer et de se plaindre, voir d'agresser physiquement)
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
la mobilisation des policiers en colère ne se dément pas. Ils étaient plusieurs centaines, à Lyon, vendredi soir, et dans plusieurs villes de France au cours de la semaine, pour dire leur désaccord avec le gouvernement, la hiérarchie et les syndicats.

Il est vrai que, traditionnellement, les mouvements de cette nature trouvaient leur solution avec un peu de matériel, quelques primes ou quelques points d’indice supplémentaires. Sans doute le pouvoir en place comptait-il, avec l’aide des syndicats, sur ce vieux remède pour calmer les policiers récalcitrants. Ils ont la réponse.
L’erreur fondamentale dans le traitement de cette affaire, c’est de ne pas avoir compris deux choses. Premièrement, la situation sécuritaire de notre pays est tragique. Les attentats terroristes, les violentes manifestations, mais aussi les campagnes de dénigrement à répétition dont les forces de l’ordre ont été l’objet, ont sapé une institution négligée et surmenée. Deuxièmement, les temps ont changé.
Finie l’époque du policier encarté auprès d’un syndicat dès sa sortie d’école, et prêt à lui obéir à la moindre sollicitation. Aujourd’hui, à l’instar du reste de la société, les policiers savent porter un regard critique sur une institution qui, incapable de se réformer en profondeur, est en train de payer son immobilisme et ses pratiques d’un autre âge. Dans ce phénomène, chacun porte sa part de responsabilité. L’État, qui par confort s’est toujours reposé sur des syndicats aux ordres. La hiérarchie qui, parfois par carriérisme, mais souvent sous la menace, n’a pas su anticiper l’avenir. Les syndicats qui, trop proches du pouvoir politique en place, n’ont pas su garder l’indépendance indispensable à la défense de celles et ceux qui leur faisaient confiance.
Dés lors, une seule question se pose aujourd’hui.
Continue-t-on comme ça ?
Continue-t-on de maintenir, fût-ce avec l’aide de l’IGPN, le couvercle sur la marmite ?
Ou bien, conscient de l’évolution de notre société, et de sa dangerosité qui croît de façon exponentielle depuis plusieurs années, rebat-on les cartes pour redonner du sens et de l’efficacité à une institution à la dérive.
Le Grenelle de la sécurité, suggéré, en direct, par des policiers à Alain Juppé au sortir de l’émission des primaires de la droite, est sans doute une piste. Mais avant cela, il y a urgence à entendre ce que les policiers, sur le terrain, ont à dire. Si on ne les entend pas, il y a fort à parier qu’ils seront rejoints, d’ici peu, par d’autres professionnels confrontés aux mêmes difficultés, voire même par des citoyens qui n’en peuvent plus de vivre dans l’insécurité et l’incertitude du lendemain.
il y a urgence à trouver des réponses fortes et adaptées au vécu et au ressenti des policiers

mam
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
Du Trocadéro à l'Arc de Triomphe, les policiers ont manifesté une nouvelle fois

Un mois de protestation. Une centaine de policiers ont manifesté vendredi soir à Paris, du parvis du Trocadéro à l’Arc de Triomphe, pour exprimer leur « colère »

En civil, portant souvent un brassard orange, les policiers, accompagnés de proches, et malgré le froid, s’étaient réunis vers 21h30 pour manifester une nouvelle fois après l’agression de quatre policiers aux cocktails Molotov le 8 octobre à Viry-Châtillon, en Essonne, près de la cité de la Grande Borne.

Partis du parvis du Trocadéro, qui surplombe le Champs de Mars, ils ont entonné à plusieurs reprises la Marseillaise, ils ont marché jusqu’à l’avenue des Champs-Elysées qu’ils ont remontée jusqu’à l’Arc de Triomphe, aux cris de « policiers en colère, citoyens solidaires », et « Hollande t’es foutu, la police est dans la rue ».
Un enfant tenait une pancarte sur laquelle il était écrit: « mon papa n’est pas une cible ».
Sur une autre on lisait: « la police protège le peuple, qui protège la police? »

« Le plan annoncé » par le gouvernement fin octobre pour répondre à la grogne « est insuffisant », « la mobilisation ne fait que commencer », a assuré Guillaume, l’un des organisateurs, qui travaille dans une BAC en banlieue parisienne. Un autre policier, Aziz, masqué, a défendu un « mouvement apolitique et asyndical ».

bd volt

mam
 
Faudrait peut être arrêter de se déresponsabiliser à un moment et tout rejeter toujours sur les institutions.. Non l'école n'a pas vocation à éduquer les enfants, c'est à ceux qui les ont pondus de le faire - si on ne s'en sent pas capable on en fait pas, point. On prend la pilule, on se fait vasectomiser et on arrête de polluer les autres avec ses gamins non élevés.
Quand le soir il y a des gamins d'une dizaine d'années qui trainent en bas de tours avec des plus grands tu crois qu'il y a un prof qui doit lui prendre la main et lui expliquer que ce n'est pas sa place ou ça serait à ses parents de s'inquiéter de ce qu'il fait et avec qui ? Quand tu fais des enfants pour les délaisser ne t'étonne pas qu'ils tournent mal.
L'école sert à instruire et la nuance avec l'éducation est grande, les profs ne sont pas des parents de substitution.
(et puis quand bien même il y aurait des profs qui voudraient "éduquer" et remettre dans le droit chemin, il y a encore des parents qui seraient capables de s'offusquer et de se plaindre, voir d'agresser physiquement)

Je suis d'accord avec toi, à ceci près que tous ceux qui travaillent avec les enfants contribuent aussi à l'éducation des enfants. D'ailleurs, on parle d'éducation nationale et non d'instruction nationale.

Il ne s'agit pas de pallier les carences éducatives parentales, mais d'assurer ses missions d'enseignement avec un apport éducatif.

Sinon, effectivement, les parents irresponsables, démissionnaires... qui n'apportent pas de cadre éducatif à leurs enfants, ne devraient pas s'étonner qu'ils tournent mal.
 
Moi, j'ai l'impression qu'en France on tourne en boucle.

Quand est-ce que l'on donnera des moyens adaptés aux gardiens de l'ordre public et de la justice pour remplir leurs missions?

Nos gouvernants me désespèrent!
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
La fronde des policiers, "une rupture nette avec les syndicats"

Il s'agit en effet de la première rupture nette avec les syndicats. Ces dernières années, les quelques mobilisations policières d'ampleur ont eu lieu à leur initiative. Cette fois-ci, ils sont hors jeu. Il semble que ce soit essentiellement la sécurité publique qui manifeste depuis quelques semaines, alors que la police judiciaire, les services d'intervention et le renseignement sont quasi absents des rassemblements. Ils sont la partie de la "maison" qui fait le travail ingrat et que les ministères de l'Intérieur successifs ont le moins gâtée depuis vingt ans. Et ils sont souvent surdiplômés par rapport aux tâches qu'on leur demande, ce qui provoque une frustration.

Que reprochent-ils à leurs représentants syndicaux?

Ils leur reprochent de profiter du système de cogestion entre l'administration et la police. Les syndicats sont présents à tous les niveaux: dans les instances disciplinaires et dans celles qui gèrent les carrières.
Dans chaque département, ils connaissent les promotions et les mutations avant le directeur départemental de la sécurité publique.
En prime, leurs délégués ne sont pas tenus, eux, au devoir de réserve et peuvent donc s'exprimer publiquement.

Le plan annoncé par le ministre de l'Intérieur répond-il aux revendications?

Non, car on ne s'attaque pas aux véritables causes du malaise: la perte de sens du métier, du service à la population. La police française se distingue, au niveau européen, par la très faible satisfaction des citoyens, et un déficit criant de légitimité auprès du public. Cela tient au fait qu'elle n'a pas été construite pour servir la population, mais le ministère de l'Intérieur.
Tout, y compris les outils statistiques, est tourné vers les exigences centrales plutôt que vers la satisfaction des besoins locaux.
http://www.lexpress.fr/actualite/so...rupture-nette-avec-les-syndicats_1850939.html

mam
 
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