A
AncienMembre
Non connecté
Bonjour à tous, Salut à chacun,
Comment définir le Français de souche (ou le Français de base), cette créature étrange qui, contrairement à d'autres composants de la société française, n'est pas représentée ou défendue par des associations particulières, ni ne semble participer à une communauté culturelle ou ethnique spécifique ?
Alain Soral s'est posé la question (voir sur Youtube), Eric Zemmour et Nicolas Domenach se sont posés la question (toujours Youtube), Aymeric Patricot aussi (voir son livre Les Petits blancs), de même qu'un certain nombre de médias écrits et audiovisuels... Bref ! Il s'agit d'un problème qui concerne notre société tourmentée, dont tous les membres font la course à l'identité et souvent en dramatisant la chose plus que de raison.
Mais en fait, définir le Français de souche selon moi, c'est très simple : il est le seul qui rentre simultanément dans toutes les catégorisations ethniques et religieuses suivantes ! Il est donc le seul qui soit tout à la fois gwer, toubab, goy, gadjo, patos, kafir, gringo, blanco, métro, etc.
Voilà pour ce qui est de son identification horizontale sur le plan de notre société. Parlons maintenant de son identité verticale sur ce même plan ! Car le Français de souche (ou de base) se répartit dans différentes classes sociales, qui pour certaines semblent lui être propres : il peut être en effet aristo, bourge, bobo, prolo, plouc, cassos ou clodo.
Pour finir, quant à ses options religieuses, elles se résument le plus généralement à deux grands groupes : les cathos et les post-cathos (parmi lesquels je compte les athées, les déistes, les agnostiques, les bouddhistes, les néo-païens, les évangéliques, les adeptes de toutes les nouvelles formes de croyance, etc... tous conservant un fond culturel fortement marqué par le catholicisme !). Je précise que les convertis au judaïsme ou à l'islam ne font pas partie de ce second groupe, car ils ne pourraient alors plus être qualifié de goys ou de kouffar.
Voilà, et maintenant qu'on a cerné le bonhomme, on pourrait se demander quel pourcentage de la population française il concerne aujourd'hui !
Vous êtes d'accord avec cette analyse ?
Comment définir le Français de souche (ou le Français de base), cette créature étrange qui, contrairement à d'autres composants de la société française, n'est pas représentée ou défendue par des associations particulières, ni ne semble participer à une communauté culturelle ou ethnique spécifique ?
Alain Soral s'est posé la question (voir sur Youtube), Eric Zemmour et Nicolas Domenach se sont posés la question (toujours Youtube), Aymeric Patricot aussi (voir son livre Les Petits blancs), de même qu'un certain nombre de médias écrits et audiovisuels... Bref ! Il s'agit d'un problème qui concerne notre société tourmentée, dont tous les membres font la course à l'identité et souvent en dramatisant la chose plus que de raison.
Mais en fait, définir le Français de souche selon moi, c'est très simple : il est le seul qui rentre simultanément dans toutes les catégorisations ethniques et religieuses suivantes ! Il est donc le seul qui soit tout à la fois gwer, toubab, goy, gadjo, patos, kafir, gringo, blanco, métro, etc.
Voilà pour ce qui est de son identification horizontale sur le plan de notre société. Parlons maintenant de son identité verticale sur ce même plan ! Car le Français de souche (ou de base) se répartit dans différentes classes sociales, qui pour certaines semblent lui être propres : il peut être en effet aristo, bourge, bobo, prolo, plouc, cassos ou clodo.
Pour finir, quant à ses options religieuses, elles se résument le plus généralement à deux grands groupes : les cathos et les post-cathos (parmi lesquels je compte les athées, les déistes, les agnostiques, les bouddhistes, les néo-païens, les évangéliques, les adeptes de toutes les nouvelles formes de croyance, etc... tous conservant un fond culturel fortement marqué par le catholicisme !). Je précise que les convertis au judaïsme ou à l'islam ne font pas partie de ce second groupe, car ils ne pourraient alors plus être qualifié de goys ou de kouffar.
Voilà, et maintenant qu'on a cerné le bonhomme, on pourrait se demander quel pourcentage de la population française il concerne aujourd'hui !
Vous êtes d'accord avec cette analyse ?