C'est du n'importe quoi et comment un médecin peut mesurer le degré de souffrance psychologique d'une personne? est il dans son corps? dans sa tête? ce toubib ne peut pas ressentir mais seulement essayer d'imaginer, on peut pas se substituer dans le corps d'autrui pour le ressenti! des dépressifs ne sont pas objectifs, parfois la souffrance dont ils parlent peut être grossi....
Tant que les gens voudront absolument se tuer, autant leur mettre des moyens a leur disposition pour qu'ils le fassent le plus effectivement et le moins douleureusement possible . Il n'y a aucune raison de leur compliquer inutilement l'exit; un exit qu'ils choisiront de toutes facons.
Celui qui est reellement desespere passe generalement a l'acte et fait tout ce qu'il peut pour qu'il ait du succes; celui qui crie au secours se limite generalement a un simulacre d'ou on peut encre le sauver in-extremis (genre s'assoir sur le bord d'un pont et attendre que des unites de secours viennent l'en dissuader).
Il y a une liste de criteres objectifs d'apres ICD-10 pour classifier les depressions par leur degre de severite...
Mais t'as raison... seule la personne qui en souffre peut en juger subjectivement son intensite emotionelle. C'est pour ca, qu'a mon avis, il faudrait laisser aux personnes concernees la liberte de choisir l'exit ou non et leur en donner des moyens humains s'ils le veulent; et non la deleguer a des medecins.
Je connais une personne, mère de 2 enfants, atteinte de troubles psy depuis plus de 20 ans : 3 tentatives de suicide à son actif !
Des appels à l'aide ou une réelle volonté d'en finir : avec le recul elle se dit que c'est les 2 à la fois.
Aujourd'hui, elle est toujours atteinte de ses troubles ( souvent hospitalisée ) mais elle est heureuse d'avoir finalement survécue et d'avoir vu grandir ses enfants. Elle sait pertinemment, que cette attirance vers la mort la pousuit quand elle va au plus mal : mais les médecins qui la suivent l'aide à vivre et à remonter la pente à chaque fois.
Sans doute un jour tentera t-elle une énième fois d'en finir : mais elle sera seule à prendre sa décision et sans aide extérieur et sans à faire porter cette responsabilité au corps médical.
Ceci pour dire, dans le cas de troubles psy il est difficile de savoir si la décision prise à un instant T est la bonne et si le patient est vraiment conscient de sa requête.
Faudrai peut être lui donner une bonne dose létale de barbituriques et lui dire : "Au pire si tu veux mourir, prend ça."
(Captez l'ironie)
Je suis pas psy mais je me pose souvent cette question,ces gens là qui sont à la déprime à l'xtrem,un vrai koh lanta ne leur ferait rien moralement?
Une jeune femme de 24 ans souffrant d’une maladie psychique a obtenu le droit d’être euthanasiée. Sa souffrance intérieure, qui la ronge depuis longtemps, a suffi à lui donner le droit de mourir.
Depuis quelques jours, l’histoire de Laura fait la une des médias flamands. A 24 ans, elle souffre de dépression chronique et a fini par introduire une demande d'euthanasie qui devrait se dérouler cet été. Sa souffrance s’inscrit dans les conditions de la loi, comme l’explique Jacqueline Herremans, avocate et membre de la commission de contrôle euthanasie : "Elle souffre d’une infection psychiatrique – il s’agit bien d’une infection médicale grave-, et dans le cas de Laura, incurable. Tout a été tenté. Elle exprime des souffrances qui sont d’ordre essentiellement psychique. Elle se trouve dans cette situation depuis des années et vit un enfer au quotidien."
Des euthanasies pour raisons psychiatriques
Le cas de Laura n’est pas isolé. En 2014, une soixantaine de personnes souffrant de maladie neuropsychiatrique, comme la maladie d'Alzheimer, ont opté pour l’euthanasie. Cela représente 3% des cas. Une loi du 28 mai 2002 autorise en effet les patients à faire une demande d’euthanasie quand leur "souffrance physique et/ou psychique est constante, insupportable et inapaisable."
Les demandes en augmentation
En 2014, 1928 euthanasies ont été pratiquées et les demandes devraient continuer à augmenter. "Je pense qu’il y aura une augmentation, mais pas une augmentation exponentielle dans les années prochaines", précise Jacqueline Herremans. Pourquoi ? "Parce que demander une euthanasie n’est jamais quelque chose de facile. Et accepter pour le médecin de pratiquer une euthanasie, n’est jamais quelque chose de banale", explique-t-elle.
En même temps, difficile de juger réellement une situation avec quelques lignes étalées dans les journaux à sensation. On n'est pas médecin !Grand n'importe quoi sérieux. Y'a des personnes qui meurent à petit feu d'une maladie incurable et elle, elle ose réclamer l'euthanasie pour une dépression suite à une déception amoureuse ?? La bêtise de l'être humain dans toute sa splendeur. C'est deux grosses baffes qu'on devrait lui donné oui.
Je suis pas psy mais je me pose souvent cette question,ces gens là qui sont à la déprime à l'xtrem,un vrai koh lanta ne leur ferait rien moralement?
Il y a une liste de criteres objectifs d'apres ICD-10 pour classifier les depressions par leur degre de severite...
Mais t'as raison... seule la personne qui en souffre peut en juger subjectivement son intensite emotionelle. C'est pour ca, qu'a mon avis, il faudrait laisser aux personnes concernees la liberte de choisir l'exit ou non et leur en donner des moyens humains s'ils le veulent; et non la deleguer a des medecins.
En même temps, difficile de juger réellement une situation avec quelques lignes étalées dans les journaux à sensation. On n'est pas médecin !
C'est pas magique.Je suis pas psy mais je me pose souvent cette question,ces gens là qui sont à la déprime à l'xtrem,un vrai koh lanta ne leur ferait rien moralement?
Oui.Je dis justement que ce n'est pas aux medecins de decider. C'est aux candidats au suicide de decider.
Non ; il est juste non pénalisé, et pour cause...Le suicide est legal dans plusieurs pays,