Derniers faits divers impliquant des Maghrebins

like you and me

Judas Juda-a-a,Judas GAGA
VIB
Tu sais "like you and me", laisse parler les gens!

Ce type n'a toujours rien pigé, ne te prends pas la tête avec ce genre d'individu.
Messieur est content alors laisse messieur faire joujou...
Mesken!

Comme tu le dis si bien... il fait pitié.

tkt, j'ai très vite compris c'est pr ça que je l'ai zappé..pcq s'il y ' a bien une chose dont j'ai horreur ds la vie,c'est la bêtise humaine ...et lui il l'a représente à son apogée...meskine , on ne peut qu'attendre un miracle divin, sinn , il est irrécupérable...
 

compteblad

PLD (Peace, Love and Diversity)
tu m aimes plus? mdr hihihi

je sais que quand tu m attaques c est une sorte d amour a mon egard....

me trompe je? mdr

vous ave enfin compris que la liberte d expression est un droit et que je n aime pas trop la burqa? mdr


Tu sais quoi j'ai même plus envie de perdre mon tps à te répondre .. tu comprends vraiment rien de ce qu'on te reproche , en fait tu me fait pitié ds la mesure où je remarque que ton QI est bien en dessous de la norme , alors éclates toi à faire du copier coller .. bon vent ...
 

compteblad

PLD (Peace, Love and Diversity)
tiens comme par hasard quand c est pas un maghrebin la DH ne precise pas...
Fathi c est plutot Albanais, Yougouslave ou turc et quand on voit la video il s agit bien de ce profil la


Evidemment la DH dans ce cas ne met pas la nationalite de la personne....


Le braqueur filmé a été arrêté(04/06/2009)

© Guidicelli Eric
Fathi, un multirécidiviste de 30 ans, avait agressé une caissière enceinte du magasin Carrefour

Regardez la vidéo du braquage

IXELLES Souvenez-vous, il y a quinze jours vous avez pu voir sur notre site www.dh.be à quel point un braqueur peut être patient. Durant plus d'une heure, il avait attendu que les portes du Carrefour Express, situé au coin du boulevard Général Jacques, à Ixelles, ouvre ses portes.

Dès qu'il a pu entrer dans le supermarché ouvert en ce dimanche matin à 8 h et non 7 h comme en semaine, il a fait son petit shopping à son aise.

Vêtu d'un polo rayé et d'une casquette, il n'a, à aucun moment, tenté de cacher son visage... ignorant sans doute qu'il était filmé en permanence par les différentes caméras de surveillance... lors de son attente devant les portes closes, lors de ses achats mais également lorsqu'il a braqué la caissière enceinte pour dérober la caisse en entier !

Nous pouvons vous annoncer que le braqueur a été interpellé. Il s'agit de Fatih, 30 ans, un malfrat archiconnu de la justice, qui a fait l'objet d'une quarantaine de dossiers au parquet, qui a déjà été condamné à plus de 7 ans et demi de prison.

À la vue des images de surveillance, l'auteur à la casquette avait pu être formellement identifié le jour même. Une patrouille s'était rendue chez lui, mais le gaillard ne s'y trouvait pas.

Après avoir joué la carte de la prudence pendant plus de deux semaines, Fatih a sous-estimé la mémoire phénoménale des policiers de Bruxelles-Capitale-Ixelles. "Une patrouille de la recherche locale de passage rue de la Poste a reconnu le suspect qui se trouvait à la porte d'un établissement", nous confirme le porte-parole de la police. "Il a été interpellé et emmené au commissariat."

Fatih, habitué aux interrogatoires, n'a même pas cherché à nier. Il était effectivement arrivé vers 6 h du matin devant le magasin qu'il comptait attaquer dès son ouverture à 7 h. Mais le dimanche, le supermarché ouvre une heure plus tard. Donc, il a attendu devant la porte.

Ensuite, en quatre minutes, il a fait ses courses et a braqué la caissière. Il est reparti avec toute la caisse dans les mains et s'en est débarrassé en la jetant sous une voiture.




Braquage filmé d'une caissière enceinte - DH.be
Le malfrat a attendu une heure pour que les portes du Carrefour s'ouvrent

Mots-clés : braquege carrefour ixelles malfrat bandit vol caissière caissier enceinte arme
Video de ladh



Emmanuelle Praet

© La Dernière Heure 2009
 

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PLD (Peace, Love and Diversity)
Un postier arrêté pour vols(29/07/2009)

Belkacem, 26 ans, connu pour seize faits, profitait de ses tournées pour faire son shopping

ANDERLECH Et dire que sans le témoignage crucial d'un riverain, Belkacem, un postier âgé de 26 ans, serait toujours occupé à faire son shopping ... parmi les colis qu'il était censé livrer !

"Ce témoin nous a contactés le 10 juillet. Durant la nuit, il avait remarqué les agissements suspects d'un homme qui se trouvait dans un camion de La Poste", nous confirme la police de la zone Midi. "De sa fenêtre, ce riverain a vu que le conducteur a ouvert le hayon du camion et qu'il a sauté dans un des chariots qui s'y trouvaient." Et puis Belkacem a fait son choix !

"Certains objets étaient jetés vers l'avant du camion, d'autres sur la rue." Belkacem a ouvert les colis qui l'intéressaient et jeté son dévolu sur certains. Ensuite, il a refermé les colis avec du collant. "Le témoin l'a vu remonter dans le camion mais juste avant, il a mis quelque chose sous sa veste."

Le Service d'enquête et de recherches de la zone Midi a immédiatement ouvert l'enquête. "Et, effectivement, La Poste avait reçu des plaintes de colis perdus ou ouverts." À La Poste, on confirme ces dires. "Nous allons devoir prendre les mesures disciplinaires nécessaires" , lance Éric Halloy, porte-parole adjoint de La Poste. "Il y aura des sanctions. Et dans ce cas, ça signifie bien souvent le licenciement."

Hier, durant la nuit, Belkacem a remis cela; mais cette fois, les témoins étaient... policiers ! "Il a été arrêté et mis à la disposition du parquet." Un endroit qu'il connaît bien, puisqu'il est déjà connu pour seize faits !

Un casier bien chargé, mais qui n'est pas synonyme d'exclusion à La Poste. "Il faut pouvoir surmonter la chose. Nous devons respecter la volonté de réinsertion des personnes qui ont payé pour leurs fautes" , ajoute Éric Halloy. "Mais nous restons vigilants par rapport aux fonctions que nous attribuons à ces personnes."

La Poste a-t-elle été suffisamment prudente cette fois-ci ? L'enquête le déterminera. La question, elle, devait être posée.




E. Pr. et A. C.

© La Dernière
 

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PLD (Peace, Love and Diversity)
Escroc sur le parking Ikea(29/07/2009)

© Benoit Vanzeveren
Exclusif ! Ils proposent des PC avec factures... En fin de compte, ce sont des bouteilles !

ANDERLECHT L'escroquerie a déjà fait plusieurs victimes... et elles se posent toutes la même question : comment ont-ils fait, puisque tout se passe sous leurs yeux ?

Les escrocs agissent sur le parking du magasin Ikea d'Anderlecht. Anouar, 31 ans, venait de garer sa voiture lorsqu'il a été abordé par deux personnes qui lui ont proposé une bonne affaire : deux PC (un HP et un Sony) pour 900 euros. "Ils avaient les factures d'achat du mois de novembre au Média Markt."

Par chance pour les auteurs, Anouar était intéressé. Malin, il a tout de même réussi à marchander. De 900 euros, les deux ordinateurs sont passés à 450 euros. Anouar n'ayant pas d'argent sur lui, il a proposé de se rendre à la banque toute proche. Un des auteurs l'a accompagné. Le second est resté sur le parking.

Sitôt l'argent retiré, le complice les a rejoints. Anouar, prudent, a encore bien regardé que le contenu de la mallette n'avait pas changé. Marché conclu, puisque les deux PC étaient encore bien dedans. Anouar a donné les 450 euros, le vendeur a tendu la mallette, et tout le monde est reparti content. Les vendeurs un peu plus quand même, puisqu'ils venaient de réussir une nouvelle fois leur escroquerie.

Sur le chemin de retour vers son domicile, à Jette, Anouar eut un doute. Il a ouvert la mallette noire. Et là, surprise : les deux PC s'étaient volatilisés. "À la place, il y avait des papiers, de la publicité, et une bouteille d'eau Cristalline d'un litre et demi !"

Si cela peut rassurer Anouar, il n'a pas été le seul à se laisser prendre. En octobre 2007, Olivier, boxeur, avait lui aussi subi la même mésaventure.


Les deux escrocs - peut être ceux d'Olivier ? - tous les deux d'origine nord-africaine ont fait d'autres victimes ! Ils sont d'ailleurs activement recherchés par la police qui est occupée à centraliser toutes les affaires similaires. Un des malfrats est reconnaissable, puisqu'il a un plâtre au bras droit.




Emmanuelle Praet

© La Dernière Heure 2009
 

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PLD (Peace, Love and Diversity)
Un Néerlandais incarcéré à Anvers par erreur(24/07/2009)

Le tribunal correctionnel d'Anvers a acquitté vendredi un Néerlandais de 31 ans originaire de Dordrecht et lui a présenté ses excuses au nom de la Justice


ANVERS L'homme a en effet été incarcéré par erreur pendant 11 jours à la prison de Forest. Hicham G. avait été condamné par défaut le 22 avril 2008 à huit mois de prison pour des infractions commises sous son identité. En réalité, l'homme n'avait personnellement jamais eu affaire ni à la police, ni à la justice, son portefeuille et ses papiers d'identité ayant été volés à Rotterdam.

Lors d'un contrôle d'identité le 7 juillet à l'aéroport de Bruxelles, alors qu'il partait en vacances avec sa famille, le Néerlandais d'origine marocaine, sur lequel pesait le jugement par défaut, a été interpellé et conduit à la prison de Forest.

L'homme a alors directement fait opposition et a finalement bénéficié vendredi d'un acquittement. "La juge m'a demandé expressément de présenter les excuses de la Justice à mon client", a expliqué l'avocat du Néerlandais. Aussi bien les empreintes digitales qu'une comparaison photographique ont rapidement innocenté l'infortuné Néerlandais. "Nous devons nous concerter au cours des prochaines semaines pour voir si nous allons réclamer des dommages et intérêts", a encore indiqué son avocat.

© La Dernière Heure 2009
 

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"Je suis conscient d'être en tort, mais..."(23/07/2009)

© DEMOULIN
Thibault reconnaît avoir menacé Mounir, le taximan, et s'explique

ANDERLECHT Dans notre édition d'hier, nous vous parlions de cette agression entre un taximan et son client. Une dispute malheureuse à propos d'une carte Visa lors de laquelle une arme a été exhibée.

Thibault, 19 ans, le client et l'agresseur, a tenu à s'expliquer. "Je suis conscient d'être en tort. J'ai pété un plomb, je ne sais pas le dire autrement". Mais Thibault tient à expliquer le contexte. "Je suis dans une mauvaise période, mon amie m'a quittée et dans quelques jours, c'est l'anniversaire du décès de ma maman".

Cet incident, ce fut la goutte qui a fait déborder le vase . "J'ai commandé un taxi en précisant que j'allais payer par Visa. J'étais place Louise, un taximan s'est arrêté et m'a dit : "C'est vous la carte Visa ?" Thibault est monté à bord et a demandé de l'emmener à une adresse. "Mais il n'y avait personne. J'ai dit qu'il fallait me ramener chez moi, à Anderlecht".

Arrivé à Saint-Guidon , le chauffeur a changé d'avis. "Il n'avait pas envie que je paye par carte, il voulait du cash". Thibault dit l'avoir rassuré sur la validité de sa carte. "J'ai expliqué que je payais toujours les taxis comme ça, je lui ai proposé d'aller chercher les vouchers".

Thibault est monté comme proposé chez lui. "J'ai pris les papiers, la carte et une arme de défense". Pourquoi cette arme ? "Lors d'un de mes autres trajets en taxi, le chauffeur avait changé la course. De zone 1, il l'a passée en zone 2, ce qui signifie que c'est bien plus cher. J'avais refusé de payer, car c'était de la fraude. Il avait sorti une arme télescopique".

Thibault affirme que l'arme (qui est factice), c'était juste au cas où. "Il m'a demandé ma carte d'identité et la carte Visa. Et puis, un collègue est arrivé avec un sabot". La course a été payée et le collègue est parti.

"Le chauffeur râlait. Il m'a dit : "Tu as intérêt que la carte soit bonne. Je te jure que je te retrouverai". Thibault aurait été vexé par ce manque de confiance. "Je lui ai dit qu'il n'y avait pas de problème". Le taximan a avancé. "Et puis, il a fait une marche arrière. Il est revenu à ma hauteur et m'a encore menacé. J'ai sorti l'arme". Et puis Thibault s'est enfui chez lui. "Il m'a suivi. Des collègues sont arrivés." Et la police aussi...




Emmanuelle Praet

© La Dernière Heure 2009
 

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PLD (Peace, Love and Diversity)
Double agression à Bruxelles(20/07/2009)

© DEMOULIN
En deux jours, trois personnes ont été blessées dans le centre de Bruxelles

BRUXELLES Les agressions se suivent dans le centre de Bruxelles. En deux jours, trois personnes ont été blessées soit par arme à feu, soit par couteau. Deux des trois victimes sont grièvement blessées.

Samedi aux petites heures, Karim, 33 ans, un portier d'une boîte de nuit de la capitale, a été victime d'un règlement de comptes. Un homme portant un casque de moto (qui lui cachait intégralement le visage) est entré dans l'établissement dans lequel il se trouvait. Sans hésiter, il s'est avancé dans sa direction et a fait feu sur ses jambes.

"Il y avait une vingtaine de personnes dans le café Andalousia, situé boulevard Stalingrad, dans le centre-ville, lorsque l'homme est entré", indique le parquet. "Les témoins ont entendu quatre détonations mais la police a retrouvé trois impacts de balles." L'une dans la banquette sur laquelle la victime était assise, les deux autres dans chaque jambe de la victime. "On suppose qu'il existe un lien entre l'incident qui a eu lieu la veille devant la discothèque." L'auteur, qui a sans doute été refoulé à l'entrée et qui a voulu se venger, est toujours activement recherché. Quant au portier, il souffre de fractures ouvertes aux deux jambes.

Durant la nuit de samedi à dimanche, un second incident a eu lieu dans le centre de Bruxelles. "Deux passants ont été blessés vers 3 h du matin par trois Tunisiens ivres", indique le parquet. "Ils ont été agressés sans motif alors qu'ils se promenaient près de la Bourse. Les deux victimes ont reçu tour à tour des coups de couteau."

Il s'agit de deux Ghanéens âgés de 15 et 29 ans. L'état du plus jeune a même été qualifié de critique avant que le médecin ne se montre plus rassurant.

Quelques instants après l'agression, les trois auteurs ont été interpellés par la police de Bruxelles-Capitale-Ixelles. "Ils se trouvaient à bord d'une voiture volée."

Un des trois agresseurs est passé aux aveux. "Trois mandats d'arrêt ont été demandés."




Emauelle Praet

© La Dernière Heure 2009
 

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PLD (Peace, Love and Diversity)
Ils ont décidé de l'éliminer à coups de barre de fer(20/07/2009)

© DEMOULIN
Samira a été retrouvé en sang sur le trottoir

LIÈGE C'est dans la nuit de samedi à dimanche que ces faits se sont produits, dans la rue Foidart, dans le quartier de Droixhe (Liège). Grâce à des témoins, Samira, d'origine marocaine et en séjour illégal, a échappé à la mort.

Voici quelques mois que Samira et Mohamed, également en séjour illégal, habitaient chez Ahmed (prénom d'emprunt).

Depuis quelques jours toutefois, la tension était palpable, Ahmed soupçonnant Samira de faire du trafic de drogue. Ainsi, en concertation avec Mohamed, Ahmed a décidé d'en finir avec son hôte... et de l'éliminer.

Vers 4 h ce dimanche matin, ce sont des passants qui permettront malgré eux d'arrêter le massacre.

Lorsque ceux-ci arriveront dans la rue Foidart, en effet, ils verront Ahmed frapper Samira à grands coups de barre de fer. Mohamed se contentait de regarder la scène. Voyant les témoins, l'agresseur et son spectateur décideront de fuir.

Mohamed sera toutefois récupéré par la police qui avait été immédiatement prévenue et sera déféré au parquet de Liège.

Dimanche soir, les jours de Samira (transporté à l'hôpital Saint-Joseph) n'étaient plus en danger mais il avait néanmoins une jambe cassée et souffrait de blessures au crâne, à la main gauche et au ventre.




M. B.

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Ali le Fou arrêté à St-Josse(17/07/2009)

Condamné en 1994 à vingt ans de réclusion, Halid Srihi était en cavale depuis 2008

ST-JOSSE Hier en fin de matinée, la police a interpellé à St-Josse un homme en cavale réputé dangereux : connu depuis 1994 du parquet de Bruxelles pour vols à main armée et agressions, Halid Srihi, 41 ans, s'était échappé le 9 septembre 2008 de la prison de Forest, où il était interné. Dans les années 1990, Halid Srihi avait été condamné à vingt ans de réclusion dans un dossier de violence lié à la détention d'armes de guerre (kalachnikov), explosifs et munitions. Les médias l'avaient surnommé Ali le Fou. Sur papier, il devait rester détenu jusqu'en 2014.

En 2002, Halid Srihi avait pourtant bénéficié d'un congé pénitentiaire de circonstance avec obligation de réintégrer la prison de Tournai à la date du 1er août, ce qu'il n'avait pas respecté. Devenu un ennemi public n° 1, Srihi fut repris en novembre 2002 chez une amie, rue Volta à Ixelles.

Hier, il a été repris vers 11 h 20 dans le quartier de la rue du Moulin, après dix mois de cavale, par la police de la zone Nord et l'appui du Fast, le fugitive active search team de la police fédérale. Il était armé d'un revolver chargé.

Le coup de filet d'Ali le Fou a fait une victime : alors que la police recherchait Srihi dont elle possédait la photo, des policiers ont croisé un homme très ressemblant, un vrai sosie. À la vue des policiers, le sosie a réagi en s'encourant, immédiatement poursuivi par les policiers qui l'ont rattrapé... en partie sans doute parce que le malheureux, tant il était paniqué, n'avait pu retenir ses sphincters. :rolleyes:

Au commissariat, la police découvrant l'erreur, s'est excusée et lui a proposé de prendre une douche. Sur les photos de police, Halid Srihi portait la barbe. En plus, le sosie était barbu alors que le vrai Ali le Fou arrêté quelques instants plus tard l'avait par contre rasée. Halid Srihi a été conduit à la prison de Forest.




Gilbert Dupont

© La Dernière Heure 2009
 

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PLD (Peace, Love and Diversity)
Sursis pour le petit ami violent(10/07/2009)

Radhouane avait tenté d'immoler et d'étrangler sa nouvelle compagne car elle avait cuisiné du porc

LIÈGE Ah les vacances ! Des idylles naissent et donnent parfois lieu à de belles histoires. Dans le cas de Maryline, elle risque de garder un goût amer de Radhouane, son amour ramené de vacances en Tunisie.

Le jeune homme était animateur dans un camp de vacances de ce pays. Maryline et lui sont tombés amoureux et un mariage a eu lieu dans le pays d'origine de l'homme.

En Belgique, le comportement du mari a complètement changé. Maryline a subi des coups, des insultes ou encore du harcèlement. Des scènes de coups qui ont causé à la victime un nez cassé et un tympan perforé. Elle a alors décidé d'agir en déposant plainte et en demandant le divorce. Malgré tout, le mari violent n'a pas compris et a continué à harceler son ex épouse.

Le prévenu a écopé d'une peine de travail de 200 h pour ces faits, mais au lieu de cela, il a préféré purger un an de prison. Maryline a changé de domicile, de numéro de téléphone, de voiture, mais aussi de plaque minéralogique. Radhouane a tout de même réussi à la retrouver et ce n'est pas la rencontre avec une autre jeune fille qui a calmé l'excité. Cette seconde compagne a déclaré avoir été régulièrement frappée. Des scènes d'une violence rare puisque Radhouane a essayé de l'immoler et de l'étrangler avec un câble parce qu'elle avait cuisiné du porc !

Redhouane a d'abord pratiquement tout nié, affichant un sourire narquois. Le tribunal a estimé que tous les faits étaient établis et a condamné le prévenu à 13 mois de prison avec sursis pour ce qui excède le surplus de la détention préventive.




Sarah Rasujew
 

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PLD (Peace, Love and Diversity)
Sexe, fric et chantage(09/07/2009)

© DEMOULIN
L'assassin du Roi de l'Ilot Sacré est-il le bon ? En prison depuis cinq mois, le suspect n°1 nie

BRUXELLES Et c'est à une trace d'ADN sur du tissu, l'étoffe de la jambe intérieure du pantalon de la victime, qu'un restaurateur de la rue des Bouchers, Tarek Ladhari, 54 ans, doit d'être le suspect n°1, en fait le seul suspect du meurtre d'Adrien-Denis Debouvrie, le Roi de l'Ilot Sacré égorgé en septembre 2008 et dont l'enquête révèle après dix mois une personnalité qui n'attire pas la sympathie.

En prison depuis février, Tarek Ladhari est-il le bon assassin ?

Cinq mois qu'il nie . Nous avons mené l'enquête : un faisceau d'indices - 2 indices matériels et 2 indices psychologiques - désigne Ladhari qui, pour autant, trouve réponse.

Rue des Bouchers, Ladhari, qui exploite La Petite Fontaine, est le voisin d'en face de Debouvrie retrouvé dans son bureau le 10 septembre 2008 à l'étage du restaurant La Vieille Ville .

Debouvrie, un homme immensément riche, officiellement domicilié à Saint-Tropez, porte les vêtements qu'il portait la veille à 18 h 30 lorsqu'il a été filmé, la dernière fois, par des caméras dans la rue.

Et c'est précisément sur le bord intérieur de l'étoffe de la jambe gauche de son pantalon que les experts ont trouvé l'ADN de Ladhari. ADN que les experts retrouvent aussi sur un ouvre-bouteilles dans le bureau de la victime : ce sont les 2 indices matériels.

L'ADN de l'ouvre-bouteilles ? Ladhari se rendait dans le restaurant de son voisin et dans un restaurant, dit-il, un ouvre-bouteilles se manipule constamment : vraiment rien d'étonnant à ce qu'on retrouve mon ADN.

C'est plus délicat pour l'ADN du pantalon mais Ladhari dit que "2 ou 3 jours plus tôt, il est monté avec Debouvrie sur le toit à l'arrière de son restaurant, qu'ils ont dû empiler des bacs pour accéder à la toiture, que Debouvrie en équilibre instable a failli tomber et que (Ladhari) l'a retenu par les chevilles, ce qui peut expliquer son ADN à l'intérieur du pantalon de Debouvrie".

L'explication serait rocambolesque si Ladhari ne pouvait prouver que la voisine leur avait effectivement demandé de débarrasser le toit encombré, et la présence des bacs empilés dans la pièce pour accéder au toit.

Ladhari, que les policiers voulaient interroger après le meurtre, a pris l'avion le jour même, l'après-midi, pour la Tunisie.

C'est interprété comme une fuite mais c'est un séjour comme Ladhari en faisait régulièrement dans sa famille, celui-là était prévu de longue date, Ladhari ne s'est jamais caché en Tunisie et puis, il est revenu en novembre.

Enfin : un différend de loyers opposait les deux hommes. En réalité, les avait opposés car un arrangement était intervenu entre-temps pour les retards de loyers : nous ne trouvons personne rue des Bouchers pour soutenir qu'on aurait jamais vu Ladhari et Debouvrie en venir aux mains. Par contre beaucoup nous disent, vrai ou faux, que Ladhari "ne ferait pas de mal à une mouche".

C'est le paradoxe de cette affaire d'incriminer le dernier qui avait un mobile, dans cette enquête qui fait apparaître que Debouvrie avait fait venir depuis des années des dizaines de Nord-Africains pour les mettre sous sa coupe, avec chantage à l'emploi, pour satisfaire ses caprices homosexuels. Nous avons voulu contacter l'avocat de Ladhari, Suzanne Hage. Celle-ci se refuse à tout commentaire. Son client a été prolongé de trois mois en chambre du conseil.




Gilbert Dupont

© La Dernière Heure 2009
 
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