Merci pour ta participation, je vois que tu n'as aucun arguments à opposer aux miens, continus à te berçer d'illusion, la majorité des gens pensent comme moi, demande leur ce qu'ils pensent des irresponsables qui sont un goufres pour les finances du pays, tu verras la réponse.
Tu dois fûmer, boire, te nourrir n'importe comment et avoir des rapports sexuelles irresponsables pour trouver mes propos extrêmistes, bien entendu ton comportement à toi est exemplaire !
Pour m'a part j'ai assez donné pour les débauchés, je passe mon tour.
non, non et heureusement la majorité ne pense pas comme toi.
Sinon on pourrais dire ******* de pauvre et de sans travail pour qui nous sommes obligé de payer des charges.
Ta dernière phrase que je cites : " Pour m'a part j'ai assez donné pour les débauchés, je passe mon tour". prouve bien quelle femme sans cœur tu es. On donne plus avec son cœur qu'avec son porte monnaie. Celui qui compte ce qu'il donne à un pauvre ou un malade ne mérite pas le titre de croyant.
Je comprend pourquoi la zakat est obligatoire chez les bédouins.
C'est que le prophète avait bien compris que sans contrainte, il n'y aurait pas de solidarité.
Pauvre humanité même pas au niveau de l'animal.
Pauvre shlopo qui juge autrui et donne suivant son jugement.
Je te pose un poême de ce sacré Victor :
Mon père, ce héros au sourire si doux,
Suivi d’un seul housard qu’il aimait entre tous
Pour sa grande bravoure et pour sa haute taille,
Parcourait à cheval, le soir d’une bataille,
Le champ couvert de morts sur qui tombait la nuit.
Il lui sembla dans l’ombre entendre un faible bruit.
C’était un Espagnol de l’armée en déroute
Qui se traînait sanglant sur le bord de la route,
Râlant, brisé, livide, et mort plus qu’à moitié.
Et qui disait: ” A boire! à boire par pitié ! ”
Mon père, ému, tendit à son housard fidèle
Une gourde de rhum qui pendait à sa selle,
Et dit: “Tiens, donne à boire à ce pauvre blessé. ”
Tout à coup, au moment où le housard baissé
Se penchait vers lui, l’homme, une espèce de maure,
Saisit un pistolet qu’il étreignait encore,
Et vise au front mon père en criant: “Caramba! ”
Le coup passa si près que le chapeau tomba
Et que le cheval fit un écart en arrière.
“Donne-lui tout de même à boire”, dit mon père.
Victor Hugo