Contrairement à ses aventures habituelles, Antoine de Maximy a rencontré en Algérie une certaine réticence à être filmés, et ce, de la part des habitants. Le globe-trotter raconte comment des personnes initialement consentantes ont finalement renoncé à participer.
"En Algérie, y a pas mal de gens qui n'aiment pas être filmés, pour des raisons religieuses d'une part. Et puis, y a beaucoup de gens qui n'aiment pas les caméras [...] Là où ça se complique, c'est que y a des gens qui disent 'oui' au début et puis après, ils changent d'avis et ne veulent plus être dans le film", raconte Antoine de Maximy lors d'un décryptage de son émission.
Ainsi, la décision de couper certaines séquences de "J'irai dormir chez vous" ne relève pas d'une volonté de censure arbitraire, mais plutôt d'un respect des choix individuels et des sensibilités culturelles. Antoine de Maximy souhaite avant tout préserver l'authenticité de ses rencontres et garantir le bien-être des personnes qu'il filme.
"En Algérie, y a pas mal de gens qui n'aiment pas être filmés, pour des raisons religieuses d'une part. Et puis, y a beaucoup de gens qui n'aiment pas les caméras [...] Là où ça se complique, c'est que y a des gens qui disent 'oui' au début et puis après, ils changent d'avis et ne veulent plus être dans le film", raconte Antoine de Maximy lors d'un décryptage de son émission.
« J’irai dormir chez vous » en Algérie sans censure
L’aventurier raconte une anecdote. Lors du tournage d'un clip dans la capitale, quatre jeunes ont donné leur accord pour figurer à l'image. Après le départ de trois d'entre eux, une jeune femme est restée avec la reporter et a proposé de l’accompagner dans une terrasse de café pour discuter. Cependant, « plusieurs semaines après mon retour en France, ceux qui étaient partis en voiture me disent qu'ils ne veulent pas être dans le film », regrette-t-il. Respectueux de leur choix, l'aventurier a décidé de ne pas diffuser les images, suivant sa philosophie de tournage basée sur l'authenticité et le consentement.Ainsi, la décision de couper certaines séquences de "J'irai dormir chez vous" ne relève pas d'une volonté de censure arbitraire, mais plutôt d'un respect des choix individuels et des sensibilités culturelles. Antoine de Maximy souhaite avant tout préserver l'authenticité de ses rencontres et garantir le bien-être des personnes qu'il filme.