Je travaille dans le monde de la Justice et je peux te confirmer que T’as choisis le mauvais lieu sur cette planéte pour divorcer !! Au Canada, nombre de femmes peuvent se prévaloir d’une pension alimentaire à vie. Pas étonnant que 80 % des demandes de divorce proviennent de la gent feminine !!
Malgré les prétentions de la loi sur le divorce qui présentent ladite pension comme une mesure transitoire obligeant le conjoint le plus fortuné à soutenir le plus vulnérable, le temps que ce dernier reconquière son autonomie, aucune limite de temps pour ce faire n’est fixée lol
Cela signifie en clair que si la conjointe décide, pendant son union, de ne travailler qu’à temps partiel parce qu’elle veut plus de temps pour son épanouissement personnel, un retour aux études ou s’occuper de ses enfants, elle pourra, lors d’un divorce, invoquer la faiblesse de ses revenus pour obtenir une pension alimentaire pour elle, indépendamment de celle qu’elle encaissera pour ses enfants, confiés à leur génitrice dans 80 % des cas. Pourquoi se tuer au travail dans pareilles circonstances ? Laissons ce soin à «mon homme », quitte à lui faire faire du temps supplémentaire !! Réveillez vous , Au Canadales lois sont faites pour satisfaire Le lobby féministe depuis une belle lurette
J’en ai en mémoire des dizaines d’exemples qui se ressemblent pourtant J’ai gardé le « meilleur » pour vous, La monstruosité de l’appareil juridique est illustrée avec ce cas dans toute son inhumanité et toute sa laideur : Je me rappele bien d’un Mr qui a élevé seul ses deux enfants, il a été traîné neuf fois en Cour par son ex-épouse. La pension alimentaire était pour elle un dû inaliénable. Elle n’avait pas la garde de ses enfants. Chaque requête impliquait des honoraires à verser, contrairement à Madame qui bénéficiait de l’aide juridique. Il a déboursé au total 80 000 $ en honoraires d’avocats et de comptables. Ce calvaire a duré 25 ans. Son ex-épouse disait qu’elle avait une tendinite et qu’elle ne pouvait donc pas travailler. Pourtant, des photos la montraient sortant des bars de danse à trois heures du matin !!!! Et la preuve démontra qu’elle faisait entre 20 et 30 heures de bénévolat par semaine !!!! les dernières années, Le Mr a été diagnostiqué cardiaque et a été victime de deux infarctus : conséquence d’un travail trop dur pour se donner un train de vie décent. Il a tenté d’interrompre les versements de la pension. En Cour, on a retenu la tendinite de Madame, mais on a ignoré les crises cardiaques du Mr. Enfin , il a obtenu une date de cessation de cette pension. Cette fois, le juge a exigé de Madame un peu de bonne volonté et elle a accepté pour
Ce Mr n’est qu’un petit exemple entre des centaines qui subissent l’injustice d’aprés divorce au Canada et ont honte d’en parler ca peut t’aider à jetter une lumière crue sur la bassesse et le sexisme de notre Justice envers les hommes.
Pour moi Jour après jour je constate la dérive d’un féminisme d’État juridique qui, de la nécessaire valorisation de l’autonomie des femmes, est passé à la revendication de leur dépendance au revenu de l’ex-conjoint, trop souvent promu au rang de guichet automatique, parfois même à vie.
Au lendemain d’un divorce, les hommes se retrouvent avec la menace d’obligations à vie, et les femmes, avec l’opportunité de privilèges inaliénables. Et dire que nos féministes nous serinent toujours le refrain des privilèges patriarcaux ! Tant et aussi longtemps que l’État québécois n’aura pas redressé la barre en vue de la conquête d’une indispensable autonomie financière, reposant sur une véritable prise en charge individuelle, notre système familial, qui se nourrit des injustices qu’il favorise, aura fait la preuve de l’échec du féminisme étatique.
On ne peut que constater, derrière les hymnes à l’égalité homme femme de ce dernier, l’évidence d’une fraude aux conséquences incalculables.
Malgré les prétentions de la loi sur le divorce qui présentent ladite pension comme une mesure transitoire obligeant le conjoint le plus fortuné à soutenir le plus vulnérable, le temps que ce dernier reconquière son autonomie, aucune limite de temps pour ce faire n’est fixée lol
Cela signifie en clair que si la conjointe décide, pendant son union, de ne travailler qu’à temps partiel parce qu’elle veut plus de temps pour son épanouissement personnel, un retour aux études ou s’occuper de ses enfants, elle pourra, lors d’un divorce, invoquer la faiblesse de ses revenus pour obtenir une pension alimentaire pour elle, indépendamment de celle qu’elle encaissera pour ses enfants, confiés à leur génitrice dans 80 % des cas. Pourquoi se tuer au travail dans pareilles circonstances ? Laissons ce soin à «mon homme », quitte à lui faire faire du temps supplémentaire !! Réveillez vous , Au Canadales lois sont faites pour satisfaire Le lobby féministe depuis une belle lurette
Mr vous avez une image idéalisée de la loi et du monde ! Vous parlez de se quitter à l’occidental et sans rancune ! lol Connaissez vous la loi Québecoise ? Je m’en doute !... La clé c'est de ne jamais considérer une femme comme bénéficiare d'une charité, c'est sa partenaire à vie. Si ça marche pas, on se quitte à l'occidental et sans rancune ni calcul.
J’en ai en mémoire des dizaines d’exemples qui se ressemblent pourtant J’ai gardé le « meilleur » pour vous, La monstruosité de l’appareil juridique est illustrée avec ce cas dans toute son inhumanité et toute sa laideur : Je me rappele bien d’un Mr qui a élevé seul ses deux enfants, il a été traîné neuf fois en Cour par son ex-épouse. La pension alimentaire était pour elle un dû inaliénable. Elle n’avait pas la garde de ses enfants. Chaque requête impliquait des honoraires à verser, contrairement à Madame qui bénéficiait de l’aide juridique. Il a déboursé au total 80 000 $ en honoraires d’avocats et de comptables. Ce calvaire a duré 25 ans. Son ex-épouse disait qu’elle avait une tendinite et qu’elle ne pouvait donc pas travailler. Pourtant, des photos la montraient sortant des bars de danse à trois heures du matin !!!! Et la preuve démontra qu’elle faisait entre 20 et 30 heures de bénévolat par semaine !!!! les dernières années, Le Mr a été diagnostiqué cardiaque et a été victime de deux infarctus : conséquence d’un travail trop dur pour se donner un train de vie décent. Il a tenté d’interrompre les versements de la pension. En Cour, on a retenu la tendinite de Madame, mais on a ignoré les crises cardiaques du Mr. Enfin , il a obtenu une date de cessation de cette pension. Cette fois, le juge a exigé de Madame un peu de bonne volonté et elle a accepté pour
Ce Mr n’est qu’un petit exemple entre des centaines qui subissent l’injustice d’aprés divorce au Canada et ont honte d’en parler ca peut t’aider à jetter une lumière crue sur la bassesse et le sexisme de notre Justice envers les hommes.
Pour moi Jour après jour je constate la dérive d’un féminisme d’État juridique qui, de la nécessaire valorisation de l’autonomie des femmes, est passé à la revendication de leur dépendance au revenu de l’ex-conjoint, trop souvent promu au rang de guichet automatique, parfois même à vie.
Au lendemain d’un divorce, les hommes se retrouvent avec la menace d’obligations à vie, et les femmes, avec l’opportunité de privilèges inaliénables. Et dire que nos féministes nous serinent toujours le refrain des privilèges patriarcaux ! Tant et aussi longtemps que l’État québécois n’aura pas redressé la barre en vue de la conquête d’une indispensable autonomie financière, reposant sur une véritable prise en charge individuelle, notre système familial, qui se nourrit des injustices qu’il favorise, aura fait la preuve de l’échec du féminisme étatique.
On ne peut que constater, derrière les hymnes à l’égalité homme femme de ce dernier, l’évidence d’une fraude aux conséquences incalculables.