Djihadisme : le cri d'alarme de malek boutih

Le khobzisme a de beaux jours devant lui avec des vendus comme lui

INFO LE FIGARO - Dans un rapport qu'il vient de transmettre à Manuel Valls, et que Le Figaros'est procuré, le député PS Malek Boutih décrit «une jeunesse frustrée, prête à basculer». Il craint que la dérive islamiste en France ne se transforme en phénomène de masse.

«Génération radicale»: le titre du rapport que le député PS de l'Essonne Malek Boutih vient de transmettre au premier ministre, et que Le Figaro s'est procuré, traduit bien son contenu. Dès la troisième ligne, il aborde son sujet: «L'analyse et la prévention des phénomènes de radicalisation et du djihadisme en particulier.» C'est une lecture politique que livre l'ancien président de SOS-Racisme, mandaté après les attentats de janvier. Il ne biaise pas avec son sujet, qui concerne avant tout la dérive islamiste d'une partie de la jeunesse française, sachant que près de 65 % des individus impliqués dans les filières djihadistes ont moins de 25 ans. Le député assure que son enquête a conforté son hypothèse de départ: «Le succès des recruteurs djihadistes auprès des jeunes repose sur l'adhésion à un projet politique entrant en résonance avec leurs préoccupations internationales et leur rejet de la société démocratique occidentale, plus qu'à une doctrine religieuse fondamentaliste.» D'où cette conséquence: «Une grande partie de la jeunesse se détourne de notre modèle de société.»

Une génération «au bord de la rupture»
Mondialisation, 11 Septembre, guerre en Irak, conflit israélo-palestinien ont marqué la jeune génération et façonné sa vision du monde, note Malek Boutih. Mais au-delà de ces événements, un nouveau marqueur - «l'enracinement d'un nouvel antisémitisme» - est particulièrement inquiétant. «Dans les quartiers, le discours du “deux poids deux mesures”, entre des juifs qui seraient insérés et protégés et des musulmans au contraire stigmatisés et marginalisés socialement, a rencontré un large écho, écrit le député. Les vieux préjugés sur les juifs qui seraient partout, tirant les ficelles du monde de la finance et des médias sont de retour. De façon remarquable, ils sont très largement répandus chez les jeunes aujourd'hui alors que cela aurait été inenvisageable il y a encore une vingtaine d'années.»

Le refus des valeurs démocratiques
«La société est vécue comme totalement verrouillée, ce qui génère une grande frustration», analyse Malek Boutih, qui parle de «jeunesse frustrée, prête à basculer». Il va plus loin: «Le corpus de valeurs et l'ordre social très peu contraignant de nos sociétés démocratiques occidentales ne fournissent pas un cadre suffisamment englobant et sécurisant pour s'y ancrer et s'y attacher (…). La notion de République est inintelligible, comme diluée dans le libéralisme et la modernité, et le sentiment d'appartenance à une communauté nationale est très affaibli. Or une partie de la jeunesse refuse ces valeurs trop “molles” et cherche à se distinguer.»

Le djihad, une «solution» globale
Reprenant les chiffres, notamment ceux, en hausse croissante, des départs de jeunes Français pour la Syrie, l'auteur du rapport estime que «la radicalité islamiste est dans un mouvement ascendant au sein de notre société», qu'il met en parallèle avec le niveau historique de l'extrême droite. Cependant, «face aux autres offres radicales qui visent la jeunesse, le djihadisme a une longueur d'avance, aussi bien dans sa dimension politique que théorique, note le député. Pour un jeune homme, une jeune femme assoiffée d'action, le djihad serait l'évidence. Il ne s'agit pas simplement d'assouvir réellement des pulsions meurtrières ou des envies de guerre. La dimension théorique du djihad est la plus complète dans son rejet de la démocratie, dans la désignation de responsables à abattre et enfin dans l'affirmation d'un contre-modèle total. Au creux de l'offre idéologique des forces politiques traditionnelles, le djihad propose des explications et une solution globale.» Conclusion sans appel: «Le djihadisme est bien la radicalité qui prédomine aujourd'hui dans l'offensive antidémocratique.»

Un phénomène de masse?
Les signalements recueillis par le numéro vert, destiné aux familles ou aux autorités que la dérive d'un jeune inquiète, sont éclairants sur la diversification des individus prêts à basculer dans l'extrémisme. Mais Malek Boutih va encore plus loin: «L'ampleur du phénomène et sa pénétration dans tous les milieux, avec la radicalisation de jeunes étudiants, et de jeunes filles en particulier, indiquent qu'on pourrait basculer dans un phénomène de masse.» «Si les premières vagues de djihadistes comportaient essentiellement des individus fragilisés, plus faciles à recruter, désormais les recruteurs ciblent des proies au profil plus stable et moins détectable et on peut penser que ce phénomène va s'amplifier», ajoute-t-il.

Un réseau structuré
«Les islamistes ont mis sur pied un réseau social humain où chacun joue un rôle dans l'expression de leur idéologie», remarque le député. Leur «emprise» se construit ainsi sur certains quartiers. Même si tous les jeunes, loin de là, ne sont pas tentés par l'expérience, «il faut tout de même prendre garde aux effets de contagion et d'identification croisée entre pairs, par lesquels une frange radicale peut influencer l'ensemble d'une génération», estime Malek Boutih.

Au terme de son rapport, son auteur dresse une série de propositions qui passent par l'école, la culture, les familles. Et la nécessité de réaffirmer avec force le credo républicain.


http://www.lefigaro.fr/actualite-fr...jihadisme-le-cri-d-alarme-de-malek-boutih.php
 
Bonjour,
ça veut dire quoi "khobzisme" ?
Définition Google, ça vaut ce que ça vaut.
Le catéchisme "khobziste" se résume ainsi: "Si Tu manges et s'Il mange, Je mange aussi!" Rien de plus simple. Et du fait qu'il en est qui souffrent d'une faim de loup, chronique, en somme originelle (!), ne nous étonnons pas outre mesure qu'ils fassent ripaille de tout ce qui peut se mettre sous la dent. Qu'importe la saveur! Ils sont alors de toutes les fêtes. Et en avant les honneurs!

J'en déduis que l'auteur du post suggère qu'il mange à tous les râteliers, mais vous savez quand on veut tuer son chien, on dit qu'il a la rage.
 
Définition Google, ça vaut ce que ça vaut.
Le catéchisme "khobziste" se résume ainsi: "Si Tu manges et s'Il mange, Je mange aussi!" Rien de plus simple. Et du fait qu'il en est qui souffrent d'une faim de loup, chronique, en somme originelle (!), ne nous étonnons pas outre mesure qu'ils fassent ripaille de tout ce qui peut se mettre sous la dent. Qu'importe la saveur! Ils sont alors de toutes les fêtes. Et en avant les honneurs!

J'en déduis que l'auteur du post suggère qu'il mange à tous les râteliers, mais vous savez quand on veut tuer son chien, on dit qu'il a la rage.

Merci :)
Je n'ai pas eu le temps de lire son rapport (80 pages), mais il est à télécharger dans le lien de l'article posté par @Makeda.
 
Le khobzisme a de beaux jours devant lui avec des vendus comme lui

INFO LE FIGARO - Dans un rapport qu'il vient de transmettre à Manuel Valls, et que Le Figaros'est procuré, le député PS Malek Boutih décrit «une jeunesse frustrée, prête à basculer». Il craint que la dérive islamiste en France ne se transforme en phénomène de masse.

«Génération radicale»: le titre du rapport que le député PS de l'Essonne Malek Boutih vient de transmettre au premier ministre, et que Le Figaro s'est procuré, traduit bien son contenu. Dès la troisième ligne, il aborde son sujet: «L'analyse et la prévention des phénomènes de radicalisation et du djihadisme en particulier.» C'est une lecture politique que livre l'ancien président de SOS-Racisme, mandaté après les attentats de janvier. Il ne biaise pas avec son sujet, qui concerne avant tout la dérive islamiste d'une partie de la jeunesse française, sachant que près de 65 % des individus impliqués dans les filières djihadistes ont moins de 25 ans. Le député assure que son enquête a conforté son hypothèse de départ: «Le succès des recruteurs djihadistes auprès des jeunes repose sur l'adhésion à un projet politique entrant en résonance avec leurs préoccupations internationales et leur rejet de la société démocratique occidentale, plus qu'à une doctrine religieuse fondamentaliste.» D'où cette conséquence: «Une grande partie de la jeunesse se détourne de notre modèle de société.»

Une génération «au bord de la rupture»
Mondialisation, 11 Septembre, guerre en Irak, conflit israélo-palestinien ont marqué la jeune génération et façonné sa vision du monde, note Malek Boutih. Mais au-delà de ces événements, un nouveau marqueur - «l'enracinement d'un nouvel antisémitisme» - est particulièrement inquiétant. «Dans les quartiers, le discours du “deux poids deux mesures”, entre des juifs qui seraient insérés et protégés et des musulmans au contraire stigmatisés et marginalisés socialement, a rencontré un large écho, écrit le député. Les vieux préjugés sur les juifs qui seraient partout, tirant les ficelles du monde de la finance et des médias sont de retour. De façon remarquable, ils sont très largement répandus chez les jeunes aujourd'hui alors que cela aurait été inenvisageable il y a encore une vingtaine d'années.»

Le refus des valeurs démocratiques
«La société est vécue comme totalement verrouillée, ce qui génère une grande frustration», analyse Malek Boutih, qui parle de «jeunesse frustrée, prête à basculer». Il va plus loin: «Le corpus de valeurs et l'ordre social très peu contraignant de nos sociétés démocratiques occidentales ne fournissent pas un cadre suffisamment englobant et sécurisant pour s'y ancrer et s'y attacher (…). La notion de République est inintelligible, comme diluée dans le libéralisme et la modernité, et le sentiment d'appartenance à une communauté nationale est très affaibli. Or une partie de la jeunesse refuse ces valeurs trop “molles” et cherche à se distinguer.»

Le djihad, une «solution» globale
Reprenant les chiffres, notamment ceux, en hausse croissante, des départs de jeunes Français pour la Syrie, l'auteur du rapport estime que «la radicalité islamiste est dans un mouvement ascendant au sein de notre société», qu'il met en parallèle avec le niveau historique de l'extrême droite. Cependant, «face aux autres offres radicales qui visent la jeunesse, le djihadisme a une longueur d'avance, aussi bien dans sa dimension politique que théorique, note le député. Pour un jeune homme, une jeune femme assoiffée d'action, le djihad serait l'évidence. Il ne s'agit pas simplement d'assouvir réellement des pulsions meurtrières ou des envies de guerre. La dimension théorique du djihad est la plus complète dans son rejet de la démocratie, dans la désignation de responsables à abattre et enfin dans l'affirmation d'un contre-modèle total. Au creux de l'offre idéologique des forces politiques traditionnelles, le djihad propose des explications et une solution globale.» Conclusion sans appel: «Le djihadisme est bien la radicalité qui prédomine aujourd'hui dans l'offensive antidémocratique.»

Un phénomène de masse?
Les signalements recueillis par le numéro vert, destiné aux familles ou aux autorités que la dérive d'un jeune inquiète, sont éclairants sur la diversification des individus prêts à basculer dans l'extrémisme. Mais Malek Boutih va encore plus loin: «L'ampleur du phénomène et sa pénétration dans tous les milieux, avec la radicalisation de jeunes étudiants, et de jeunes filles en particulier, indiquent qu'on pourrait basculer dans un phénomène de masse.» «Si les premières vagues de djihadistes comportaient essentiellement des individus fragilisés, plus faciles à recruter, désormais les recruteurs ciblent des proies au profil plus stable et moins détectable et on peut penser que ce phénomène va s'amplifier», ajoute-t-il.

Un réseau structuré
«Les islamistes ont mis sur pied un réseau social humain où chacun joue un rôle dans l'expression de leur idéologie», remarque le député. Leur «emprise» se construit ainsi sur certains quartiers. Même si tous les jeunes, loin de là, ne sont pas tentés par l'expérience, «il faut tout de même prendre garde aux effets de contagion et d'identification croisée entre pairs, par lesquels une frange radicale peut influencer l'ensemble d'une génération», estime Malek Boutih.

Au terme de son rapport, son auteur dresse une série de propositions qui passent par l'école, la culture, les familles. Et la nécessité de réaffirmer avec force le credo républicain.


http://www.lefigaro.fr/actualite-fr...jihadisme-le-cri-d-alarme-de-malek-boutih.php



Dans sa série de propositions, aucune sur l'islamophobie? C'est pourtant un moulin à frustrations déclencheur des pires haines.

Sacré malek
 
rapport tout réchauffer avec les mêmes thématique bidon,banlieue voile, racaille,échec scolaire, chômage, bref toujours les mêmes mots sensation employé sans aller au fond du problème .j'ai même vu dans son rapport qu'il proposait d'ouvrir des discothèque financé par le service public pour les jeunes filles et jeunes garçons des banlieues,(en gros il rapporte que le flirte et les relation entre les jeune des banlieue freinerait le Radicalisme)comme si le problème était là, il est toujours dans cette idée que pour qu'une maghrébine soit émancipé il faut qu'elle puisse porter les petites jupes et décolleté , il avance que dans les quartiers les jeune femme sont imposées par le grand frère de mettre le voile etc.... et encore plein d'ineptie de se genre.Bref du discours bien Connu. vivement qu'il dégage avec le ps... et cela même si je sais que ce qui remplaceront ne seront pas mieux....
 
Dernière édition:

UNIVERSAL

---lcdcjve---
VIB
Le khobzisme a de beaux jours devant lui avec des vendus comme lui

INFO LE FIGARO - Dans un rapport qu'il vient de transmettre à Manuel Valls, et que Le Figaros'est procuré, le député PS Malek Boutih décrit «une jeunesse frustrée, prête à basculer». Il craint que la dérive islamiste en France ne se transforme en phénomène de masse.

«Génération radicale»: le titre du rapport que le député PS de l'Essonne Malek Boutih vient de transmettre au premier ministre, et que Le Figaro s'est procuré, traduit bien son contenu. Dès la troisième ligne, il aborde son sujet: «L'analyse et la prévention des phénomènes de radicalisation et du djihadisme en particulier.» C'est une lecture politique que livre l'ancien président de SOS-Racisme, mandaté après les attentats de janvier. Il ne biaise pas avec son sujet, qui concerne avant tout la dérive islamiste d'une partie de la jeunesse française, sachant que près de 65 % des individus impliqués dans les filières djihadistes ont moins de 25 ans. Le député assure que son enquête a conforté son hypothèse de départ: «Le succès des recruteurs djihadistes auprès des jeunes repose sur l'adhésion à un projet politique entrant en résonance avec leurs préoccupations internationales et leur rejet de la société démocratique occidentale, plus qu'à une doctrine religieuse fondamentaliste.» D'où cette conséquence: «Une grande partie de la jeunesse se détourne de notre modèle de société.»

Une génération «au bord de la rupture»
Mondialisation, 11 Septembre, guerre en Irak, conflit israélo-palestinien ont marqué la jeune génération et façonné sa vision du monde, note Malek Boutih. Mais au-delà de ces événements, un nouveau marqueur - «l'enracinement d'un nouvel antisémitisme» - est particulièrement inquiétant. «Dans les quartiers, le discours du “deux poids deux mesures”, entre des juifs qui seraient insérés et protégés et des musulmans au contraire stigmatisés et marginalisés socialement, a rencontré un large écho, écrit le député. Les vieux préjugés sur les juifs qui seraient partout, tirant les ficelles du monde de la finance et des médias sont de retour. De façon remarquable, ils sont très largement répandus chez les jeunes aujourd'hui alors que cela aurait été inenvisageable il y a encore une vingtaine d'années.»

Le refus des valeurs démocratiques
«La société est vécue comme totalement verrouillée, ce qui génère une grande frustration», analyse Malek Boutih, qui parle de «jeunesse frustrée, prête à basculer». Il va plus loin: «Le corpus de valeurs et l'ordre social très peu contraignant de nos sociétés démocratiques occidentales ne fournissent pas un cadre suffisamment englobant et sécurisant pour s'y ancrer et s'y attacher (…). La notion de République est inintelligible, comme diluée dans le libéralisme et la modernité, et le sentiment d'appartenance à une communauté nationale est très affaibli. Or une partie de la jeunesse refuse ces valeurs trop “molles” et cherche à se distinguer.»

Le djihad, une «solution» globale
Reprenant les chiffres, notamment ceux, en hausse croissante, des départs de jeunes Français pour la Syrie, l'auteur du rapport estime que «la radicalité islamiste est dans un mouvement ascendant au sein de notre société», qu'il met en parallèle avec le niveau historique de l'extrême droite. Cependant, «face aux autres offres radicales qui visent la jeunesse, le djihadisme a une longueur d'avance, aussi bien dans sa dimension politique que théorique, note le député. Pour un jeune homme, une jeune femme assoiffée d'action, le djihad serait l'évidence. Il ne s'agit pas simplement d'assouvir réellement des pulsions meurtrières ou des envies de guerre. La dimension théorique du djihad est la plus complète dans son rejet de la démocratie, dans la désignation de responsables à abattre et enfin dans l'affirmation d'un contre-modèle total. Au creux de l'offre idéologique des forces politiques traditionnelles, le djihad propose des explications et une solution globale.» Conclusion sans appel: «Le djihadisme est bien la radicalité qui prédomine aujourd'hui dans l'offensive antidémocratique.»

Un phénomène de masse?
Les signalements recueillis par le numéro vert, destiné aux familles ou aux autorités que la dérive d'un jeune inquiète, sont éclairants sur la diversification des individus prêts à basculer dans l'extrémisme. Mais Malek Boutih va encore plus loin: «L'ampleur du phénomène et sa pénétration dans tous les milieux, avec la radicalisation de jeunes étudiants, et de jeunes filles en particulier, indiquent qu'on pourrait basculer dans un phénomène de masse.» «Si les premières vagues de djihadistes comportaient essentiellement des individus fragilisés, plus faciles à recruter, désormais les recruteurs ciblent des proies au profil plus stable et moins détectable et on peut penser que ce phénomène va s'amplifier», ajoute-t-il.

Un réseau structuré
«Les islamistes ont mis sur pied un réseau social humain où chacun joue un rôle dans l'expression de leur idéologie», remarque le député. Leur «emprise» se construit ainsi sur certains quartiers. Même si tous les jeunes, loin de là, ne sont pas tentés par l'expérience, «il faut tout de même prendre garde aux effets de contagion et d'identification croisée entre pairs, par lesquels une frange radicale peut influencer l'ensemble d'une génération», estime Malek Boutih.

Au terme de son rapport, son auteur dresse une série de propositions qui passent par l'école, la culture, les familles. Et la nécessité de réaffirmer avec force le credo républicain.


http://www.lefigaro.fr/actualite-fr...jihadisme-le-cri-d-alarme-de-malek-boutih.php
Salam Makeda,
Tu reproches quoi à ce rapprot ?
 
La culture n'est pas très différente à la base. Enfin si mais je veux dire que concernant le conflit israelo palestinien, beaucoup d'Algériens sont sur la même longueur d'onde que des marocains. Je vois pas le rapport.
 
La culture n'est pas très différente à la base. Enfin si mais je veux dire que concernant le conflit israelo palestinien, beaucoup d'Algériens sont sur la même longueur d'onde que des marocains. Je vois pas le rapport.
T'as toujours pas compris, depuis que tu es la ? Tout ceux qui essayeront de faire de l'auto-critique dans leur communauté seront taxés d'agents du Mossad. C'est la meilleure stratégie pour étouffer le débat. Circulez il n'y a rien a voir n'y a essayez de comprendre les raisons qui poussent des centaines de jeunes dans les bras de Daesh.
 
T'as toujours pas compris, depuis que tu es la ? Tout ceux qui essayeront de faire de l'auto-critique dans leur communauté seront taxés d'agents du Mossad. C'est la meilleure stratégie pour étouffer le débat. Circulez il n'y a rien avoir...
Je crois que certaines personnes ne sont pas crédibles sur certains sujets voilà tout :rolleyes:. Israel n'a rien à voir avec ce schmilblick .
Quand on connait un peu l'histoire de M. Boutih on souris doucement à sa pseudo "autocritique" :D(qui est plus que nécessaire si elle est menée sérieusement et de façon plus objective)
 
Je crois que certaines personnes ne sont pas crédibles sur certains sujets voilà tout :rolleyes:. Israel n'a rien à voir avec ce schmilblick .
Quand on connait un peu l'histoire de M. Boutih on souris doucement à sa pseudo "autocritique" :D(qui est plus que nécessaire si elle est menée sérieusement et de façon plus objective)
Ok mais ton approche est plus constructive que celle plus haut, qui consiste a voir le Mossad partout.
 
Une recette toute simplette pour couper l'apport en ressources humaines de Daesh provenant du Maghreb, France et Belgique.

Produire un reportage sous forme de vox-pop, avec sélection soigneuses des extraits les plus juteux, dans les pays du MO dans lequel on demande aux passants leur avis sur les Maghrébins en général. Beaucoup d'entre eux considérant les Maghrébins comme des larbins pas trop futés et pas trop civilisés, et les Maghrébines comme des *****.
 
rapport tout réchauffer avec les mêmes thématique bidon,banlieue voile, racaille,échec scolaire, chômage, bref toujours les mêmes mots sensation employé sans aller au fond du problème .j'ai même vu dans son rapport qu'il proposait d'ouvrir des discothèque financé par le service public pour les jeunes filles et jeunes garçons des banlieues,(en gros il rapporte que le flirte et les relation entre les jeune des banlieue freinerait le Radicalisme)comme si le problème était là, il est toujours dans cette idée que pour qu'une maghrébine soit émancipé il faut qu'elle puisse porter les petites jupes et décolleté , il avance que dans les quartiers les jeune femme sont imposées par le grand frère de mettre le voile etc.... et encore plein d'ineptie de se genre.Bref du discours bien Connu. vivement qu'il dégage avec le ps... et cela même si je sais que ce qui remplaceront ne seront pas mieux....
En fait quelque soit le milieu et les conditions de vie (riches ou pauvres), il y a des crapules, des voleurs et des gens respectueux !
C'est surtout une question d'éducation, de morale et même parfois cela dérape...
 
Produire un reportage sous forme de vox-pop, avec sélection soigneuses des extraits les plus juteux, dans les pays du MO dans lequel on demande aux passants leur avis sur les Maghrébins en général. Beaucoup d'entre eux considérant les Maghrébins comme des larbins pas trop futés et pas trop civilisés, et les Maghrébines comme des *****.
peut être si on pose la question à des neuneus.
 
Bonjour,
ça veut dire quoi "khobzisme" ?

Bonjour

Le khobzisme, c'est l'aliénation de ces africains du nord qui pour quelques miettes de pain sont prêt à vendre père, mère et enfants.

Salam Makeda,
Tu reproches quoi à ce rapprot ?

Salam Universal, j'avais l'intention de lire ce ramassis de raccourcis, mais quand j'ai lu quelques critiques, il n'en vaut pas la peine:

AU RAPPORT Le député de l'Essonne Malek Boutih vient de remettre un rapport sur le jihadisme, au Premier ministre Manuel Valls. Intitulé «Génération radicale», ce document caricature une jeunesse en soif de reconnaissance, radicalisée et qui banalise la violence.

Commandé par le Premier ministre Manuel Valls, le député de l’Essonne Malek Boutih vient de rendre un rapport sur les phénomènes de radicalisation et notamment du jihadisme. Son nom: «Génération radicale».


Pour décrypter ce phénomène il a auditionné une trentaine de personnes. Quelques spécialistes comme Gilles Kepel, Pierre Conesa, Pierre N’Gahane… Mais aussi des profils plus surprenant sur ce sujet à l’image de la porte-parole de la Manif pour tous Frigide Barjot, du polémiste Jean-Paul Ney ou encore du président des jeunes du Front national Gaëtan Dussausaye. Conséquence: certains passages de ce document ont une teneur étrange. Dans ce rapport d’une soixantaine de pages, félicité par la droite, Malek Boutih n’est pas tendre avec une jeunesse française «frustrée» et «prête à basculer».

DES JEUNES EN PLEIN MAL-ÊTRE QUI SE RADICALISENT
Au début de son rapport, Malek Boutih décrit une «génération au bord de la rupture». Pour étayer son argument, il liste toutes les dérives de la jeunesse française: «Consommation d’alcool ou d’autres substances psychoactives», «relations sexuelles non protégées», «conduites routières dangereuses», «ivresses répétées»… Pour le député de l’Essonne, ces comportements à risques et «l’état psychique des jeunes nous renseignent […] sur leur état d’esprit et leur rapport à la société».

Jamais loin de la caricature, il oppose des jeunes qui «rêvent de réussite rapide et clinquante», face à «la bien-pensance adulte qui les enjoint à l’abnégation et à la modération». D’après l’elu socialiste, cette soif de reconnaissance rapide et simple, «renvoie à une logique de domination: l’obligation d’affirmation virile pour les garçons et de choix radicaux (tout ou rien) en termes de sexualité pour les filles».

UNE JEUNESSE QUI BANALISE LA VIOLENCE
C’est au travers de violence et la radicalisation que la jeunesse exprime son malaise pointe Malek Boutih, s’appuyant sur quelques faits divers qui ont marqué l’opinion : «La profanation du cimetière juif de Sarre-Union ou le projet d’attentat contre une mosquée […] sont symptomatiques du niveau de violence dont est capable la jeunesse et de sa banalisation.»

Dans son rapport, il s’inquiète de la place conquise par le jihadisme dans l’Hexagone et met en garde pour l’avenir: «L’ampleur du phénomène et sa pénétration dans tous les milieux, avec la radicalisation de jeunes étudiants et de jeunes filles en particulier, indiquent qu’on pourrait basculer dans un phénomène de masse».

Il revient également sur la minute de silence organisée dans les établissements scolaires au lendemain des attentats de Charlie Hebdo et souligne «le malaise exprimé par une grande partie des élèves». Même si en réalité sur les 64 000 établissements concernés par cette minute de silence, l’Education nationale a recensé 200 incidents, ce qui n’est pas vraiment «une grande partie des élèves».

LES BOÎTES DE NUIT ET LES «REFOULÉS»
Pour contrer cette radicalisation galopante des jeunes français, Malek Boutih dégaine parfois des solutions pour le moins iconoclastes comme l’ouverture de «boîtes de nuit gérées par des associations et financées publiquement». Explication: le député de l’Essonne pointe la frustration que peuvent ressentir les jeunes refoulés des boîtes de nuit. De là à faire des refoulés de potentiels jihadistes, il y a un pas que le parlementaire n’hésite pas à franchir: «La haine qui germe chez un "refoulé" des boîtes de nuit est porteuse d’énormes frustrations et de haine. Plus on rencontre de jeunes de son âge, plus on flirte, plus on échange, plus on s’éloigne des logiques radicales».

Le rapport comporte également un chapitre «Internet, la loi du Far West»,qui assure que «si internet est un territoire il faut y établir des règles de droit, mais surtout il faut que l’esprit républicain y soit présent en permanence», prônant une «souveraineté numérique».

Il souhaite également mieux «former et sensibiliser les agents de l’Etat» et notamment «les travailleurs sociaux habitués à signaler des cas de maltraitance ou de décrochage scolaire, mais qui sont beaucoup moins à l’aise avec le signalement de cas de radicalisation religieuse». Malek Boutih souhaite aussi que le gouvernement continue à mettre l'accent sur l'Education nationale qui est redevenu le premier budget de l'Etat, sous François Hollande.

L'élu socialiste demande aussi aux pouvoirs publics «d'avoir une attention, des solutions et des budgets spécifiques aux territoires ruraux en déprise». Pour mener à bien cette mission il propose que ce soit «le ministère de le Ville, compte tenu de son expérience, qui soit chargé de la mise en oeuvre de cette politique».

Autre solution proposée, la constiution de groupements d'action républicaine (GAR), sur le modèle des groupements d'intérêt public ou des PPP (partenariats public privé), pour allier «la puissance de l'Etat et le dynamisme des acteurs sociaux et économiques». Les GAR «auraient toute latitude pour intervenir sur l'ensemble des dimensions de la vie d'un territoire, y compris sur le terrain de l'école, de la police ou du logement».

CERTAINS JEUNES ÉCHAPPERONT QUAND MÊME À LA RADICALISATION
Malgré ce tableau très noir de la jeunesse, Malek Boutih tient à rassurer. Tous les petits français ne deviendront pas des jihadistes. Certains arriveront à passer entre les gouttes : «Evidemment les jeunes ne sont pas tous tentés par le jihadisme, on peut même affirmer que nombre d’entre eux, qui disposent d’un bagage culturel solide et sont parfaitement insérés, sont à l’abri de cette dérive».

http://www.liberation.fr/politiques...dresse-un-tableau-noir-de-la-jeunesse_1342694

Les étonnants contributeurs d'un rapport sur le djihadisme
Deux noms semblent faire tache dans le document de Malek Boutih remis jeudi au gouvernement. Ceux de Frigide Barjot et Jean-Paul Ney.

Le rapport est intitulé "Génération radicale". Il avait été commandé par le gouvernement à l'ancien président de SOS-Racisme, Malek Boutih, après les attentats de Charlie Hebdo en janvier. Remis ce jeudi au Premier ministre Manuel Valls, ce document de 68 pages qui porte sur "l'analyse et la prévention des phénomènes de radicalisation et du djihadisme en particulier", a été publié dans son intégralité sur le site du Figaro. Si beaucoup se sont intéressés aux conclusions de ce rapport, d'autres se sont penchés sur les personnes auditionnées par le député PS de l'Essonne, pour réaliser ce document. Deux noms ont particulièrement retenu l'attention...Celui de l'ancienne porte-parole de la Manif' pour tous, Frigide Barjot, d'une part. "A priori, son expertise sur les dérives islamistes ne saute pas aux yeux", relève ainsi le site BuzzFeed France, qui n'a pas manqué d'interroger la militante sur la légitimité de son intervention. "J’ai rencontré Malek Boutih une heure il y a quelques mois déjà, leur a expliqué Frigide Barjot. Mais je ne pensais pas que son rapport ne portait que sur le djihad. J’ai expliqué l’importance du dialogue entre la société civile et la religion et le souci de ne pas manipuler la pensée religieuse. Je milite pour une laïcité respectueuse mais qui n’exclut pas la vision religieuse de l’humanité"."Je pisse sur Allah"L'autre nom qui a sauté aux yeux des internautes est celui de Jean-Paul Ney. Ce journaliste français avait notamment fait parler de lui lors des attentats de janvier, en postant des messages sur Twitter qui avaient provoqué la colère et l'indignation de nombreux utilisateurs. Jean-Paul Ney avait par exemple été parmi les premiers à relayer le nom complet des terroristes présumés de l'attaque de Charlie Hebdo, parmi lesquels un lycéen, qui n'avait finalement rien à avoir avec l'affaire. Le tout, assorti du message suivant : "On vous tiens enfants de p....".Il avait également écrit d'autres messages, vivement décriés sur les réseaux sociaux, comme "Bande de fils de p.... Je pisse sur Allah et sa secte". Des posts que les internautes font aujourd'hui remonter sur Twitter, pour prouver que le journaliste n'avait clairement pas sa place dans ce rapport. Sollicité là encore par BuzzFeed France, Jean-Paul Ney n'a pas donné suite.

"C'est lui qui a demandé à être auditionné"Le cabinet de Malek Boutih, lui, a accepté de répondre : "C’est Jean-Paul Ney qui a demandé à être auditionné sur le sujet et j’avoue que nous n’avons pas fait de recherche sur cette personne". Une version des faits que conteste le principal intéressé, à en croire des captures d'écran d'internautes (le compte Twitter de Jean-Paul Ney est en effet protégé, NDLR). "La république fait appel à moi. Ca ne se refuse pas : audition spéciale d'ici la fin de la semaine #Terrorisme #Djihadisme #GénérationMerah", aurait ainsi tweeté Jean-Paul Ney. Le hashtag Génération Merah fait ici référence au livre "Génération Merah, Pourquoi font-ils le djihad", dont il est l'auteur, mais qui n'a pas encore vu le jour. La date de parution ne cesse en effet d'être repoussée.

http://www.lepoint.fr/politique/les...t-sur-le-djihadisme-03-07-2015-1942250_20.php
 

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Bonjour

Le khobzisme, c'est l'aliénation de ces africains du nord qui pour quelques miettes de pain sont prêt à vendre père, mère et enfants.



Salam Universal, j'avais l'intention de lire ce ramassis de raccourcis, mais quand j'ai lu quelques critiques, il n'en vaut pas la peine:

AU RAPPORT Le député de l'Essonne Malek Boutih vient de remettre un rapport sur le jihadisme, au Premier ministre Manuel Valls. Intitulé «Génération radicale», ce document caricature une jeunesse en soif de reconnaissance, radicalisée et qui banalise la violence.

Commandé par le Premier ministre Manuel Valls, le député de l’Essonne Malek Boutih vient de rendre un rapport sur les phénomènes de radicalisation et notamment du jihadisme. Son nom: «Génération radicale».


Pour décrypter ce phénomène il a auditionné une trentaine de personnes. Quelques spécialistes comme Gilles Kepel, Pierre Conesa, Pierre N’Gahane… Mais aussi des profils plus surprenant sur ce sujet à l’image de la porte-parole de la Manif pour tous Frigide Barjot, du polémiste Jean-Paul Ney ou encore du président des jeunes du Front national Gaëtan Dussausaye. Conséquence: certains passages de ce document ont une teneur étrange. Dans ce rapport d’une soixantaine de pages, félicité par la droite, Malek Boutih n’est pas tendre avec une jeunesse française «frustrée» et «prête à basculer».

DES JEUNES EN PLEIN MAL-ÊTRE QUI SE RADICALISENT
Au début de son rapport, Malek Boutih décrit une «génération au bord de la rupture». Pour étayer son argument, il liste toutes les dérives de la jeunesse française: «Consommation d’alcool ou d’autres substances psychoactives», «relations sexuelles non protégées», «conduites routières dangereuses», «ivresses répétées»… Pour le député de l’Essonne, ces comportements à risques et «l’état psychique des jeunes nous renseignent […] sur leur état d’esprit et leur rapport à la société».

Jamais loin de la caricature, il oppose des jeunes qui «rêvent de réussite rapide et clinquante», face à «la bien-pensance adulte qui les enjoint à l’abnégation et à la modération». D’après l’elu socialiste, cette soif de reconnaissance rapide et simple, «renvoie à une logique de domination: l’obligation d’affirmation virile pour les garçons et de choix radicaux (tout ou rien) en termes de sexualité pour les filles».

UNE JEUNESSE QUI BANALISE LA VIOLENCE
C’est au travers de violence et la radicalisation que la jeunesse exprime son malaise pointe Malek Boutih, s’appuyant sur quelques faits divers qui ont marqué l’opinion : «La profanation du cimetière juif de Sarre-Union ou le projet d’attentat contre une mosquée […] sont symptomatiques du niveau de violence dont est capable la jeunesse et de sa banalisation.»

Dans son rapport, il s’inquiète de la place conquise par le jihadisme dans l’Hexagone et met en garde pour l’avenir: «L’ampleur du phénomène et sa pénétration dans tous les milieux, avec la radicalisation de jeunes étudiants et de jeunes filles en particulier, indiquent qu’on pourrait basculer dans un phénomène de masse».

Il revient également sur la minute de silence organisée dans les établissements scolaires au lendemain des attentats de Charlie Hebdo et souligne «le malaise exprimé par une grande partie des élèves». Même si en réalité sur les 64 000 établissements concernés par cette minute de silence, l’Education nationale a recensé 200 incidents, ce qui n’est pas vraiment «une grande partie des élèves».

LES BOÎTES DE NUIT ET LES «REFOULÉS»
Pour contrer cette radicalisation galopante des jeunes français, Malek Boutih dégaine parfois des solutions pour le moins iconoclastes comme l’ouverture de «boîtes de nuit gérées par des associations et financées publiquement». Explication: le député de l’Essonne pointe la frustration que peuvent ressentir les jeunes refoulés des boîtes de nuit. De là à faire des refoulés de potentiels jihadistes, il y a un pas que le parlementaire n’hésite pas à franchir: «La haine qui germe chez un "refoulé" des boîtes de nuit est porteuse d’énormes frustrations et de haine. Plus on rencontre de jeunes de son âge, plus on flirte, plus on échange, plus on s’éloigne des logiques radicales».

Le rapport comporte également un chapitre «Internet, la loi du Far West»,qui assure que «si internet est un territoire il faut y établir des règles de droit, mais surtout il faut que l’esprit républicain y soit présent en permanence», prônant une «souveraineté numérique».

Il souhaite également mieux «former et sensibiliser les agents de l’Etat» et notamment «les travailleurs sociaux habitués à signaler des cas de maltraitance ou de décrochage scolaire, mais qui sont beaucoup moins à l’aise avec le signalement de cas de radicalisation religieuse». Malek Boutih souhaite aussi que le gouvernement continue à mettre l'accent sur l'Education nationale qui est redevenu le premier budget de l'Etat, sous François Hollande.

L'élu socialiste demande aussi aux pouvoirs publics «d'avoir une attention, des solutions et des budgets spécifiques aux territoires ruraux en déprise». Pour mener à bien cette mission il propose que ce soit «le ministère de le Ville, compte tenu de son expérience, qui soit chargé de la mise en oeuvre de cette politique».

Autre solution proposée, la constiution de groupements d'action républicaine (GAR), sur le modèle des groupements d'intérêt public ou des PPP (partenariats public privé), pour allier «la puissance de l'Etat et le dynamisme des acteurs sociaux et économiques». Les GAR «auraient toute latitude pour intervenir sur l'ensemble des dimensions de la vie d'un territoire, y compris sur le terrain de l'école, de la police ou du logement».

CERTAINS JEUNES ÉCHAPPERONT QUAND MÊME À LA RADICALISATION
Malgré ce tableau très noir de la jeunesse, Malek Boutih tient à rassurer. Tous les petits français ne deviendront pas des jihadistes. Certains arriveront à passer entre les gouttes : «Evidemment les jeunes ne sont pas tous tentés par le jihadisme, on peut même affirmer que nombre d’entre eux, qui disposent d’un bagage culturel solide et sont parfaitement insérés, sont à l’abri de cette dérive».

http://www.liberation.fr/politiques...dresse-un-tableau-noir-de-la-jeunesse_1342694

Les étonnants contributeurs d'un rapport sur le djihadisme
Deux noms semblent faire tache dans le document de Malek Boutih remis jeudi au gouvernement. Ceux de Frigide Barjot et Jean-Paul Ney.

Le rapport est intitulé "Génération radicale". Il avait été commandé par le gouvernement à l'ancien président de SOS-Racisme, Malek Boutih, après les attentats de Charlie Hebdo en janvier. Remis ce jeudi au Premier ministre Manuel Valls, ce document de 68 pages qui porte sur "l'analyse et la prévention des phénomènes de radicalisation et du djihadisme en particulier", a été publié dans son intégralité sur le site du Figaro. Si beaucoup se sont intéressés aux conclusions de ce rapport, d'autres se sont penchés sur les personnes auditionnées par le député PS de l'Essonne, pour réaliser ce document. Deux noms ont particulièrement retenu l'attention...Celui de l'ancienne porte-parole de la Manif' pour tous, Frigide Barjot, d'une part. "A priori, son expertise sur les dérives islamistes ne saute pas aux yeux", relève ainsi le site BuzzFeed France, qui n'a pas manqué d'interroger la militante sur la légitimité de son intervention. "J’ai rencontré Malek Boutih une heure il y a quelques mois déjà, leur a expliqué Frigide Barjot. Mais je ne pensais pas que son rapport ne portait que sur le djihad. J’ai expliqué l’importance du dialogue entre la société civile et la religion et le souci de ne pas manipuler la pensée religieuse. Je milite pour une laïcité respectueuse mais qui n’exclut pas la vision religieuse de l’humanité"."Je pisse sur Allah"L'autre nom qui a sauté aux yeux des internautes est celui de Jean-Paul Ney. Ce journaliste français avait notamment fait parler de lui lors des attentats de janvier, en postant des messages sur Twitter qui avaient provoqué la colère et l'indignation de nombreux utilisateurs. Jean-Paul Ney avait par exemple été parmi les premiers à relayer le nom complet des terroristes présumés de l'attaque de Charlie Hebdo, parmi lesquels un lycéen, qui n'avait finalement rien à avoir avec l'affaire. Le tout, assorti du message suivant : "On vous tiens enfants de p....".Il avait également écrit d'autres messages, vivement décriés sur les réseaux sociaux, comme "Bande de fils de p.... Je pisse sur Allah et sa secte". Des posts que les internautes font aujourd'hui remonter sur Twitter, pour prouver que le journaliste n'avait clairement pas sa place dans ce rapport. Sollicité là encore par BuzzFeed France, Jean-Paul Ney n'a pas donné suite.

"C'est lui qui a demandé à être auditionné"Le cabinet de Malek Boutih, lui, a accepté de répondre : "C’est Jean-Paul Ney qui a demandé à être auditionné sur le sujet et j’avoue que nous n’avons pas fait de recherche sur cette personne". Une version des faits que conteste le principal intéressé, à en croire des captures d'écran d'internautes (le compte Twitter de Jean-Paul Ney est en effet protégé, NDLR). "La république fait appel à moi. Ca ne se refuse pas : audition spéciale d'ici la fin de la semaine #Terrorisme #Djihadisme #GénérationMerah", aurait ainsi tweeté Jean-Paul Ney. Le hashtag Génération Merah fait ici référence au livre "Génération Merah, Pourquoi font-ils le djihad", dont il est l'auteur, mais qui n'a pas encore vu le jour. La date de parution ne cesse en effet d'être repoussée.

http://www.lepoint.fr/politique/les...t-sur-le-djihadisme-03-07-2015-1942250_20.php
Salam Makeda,
Je pensais à une conclusion de conclusion.
Est ce qu'il est fait mention du rôle de l'internet et des sites fanatiques dans ce rapport et de la "religion" ?
Je ne suis pas contre ce genre de rapport, et ne me fie pas trop aux critiques surtout quand les politiques s'en mêle.
Pas la force de lire..après la harrira inchallah.
merci.
 

Curios

VIB
Bladinaute averti
Salam Makeda,
Je pensais à une conclusion de conclusion.
Est ce qu'il est fait mention du rôle de l'internet et des sites fanatiques dans ce rapport et de la "religion" ?
Je ne suis pas contre ce genre de rapport, et ne me fie pas trop aux critiques surtout quand les politiques s'en mêle.
Pas la force de lire..après la harrira inchallah.
merci.
page 17 il en parle, P17.
Il faut donc comprendre qu’internet est devenu une partie de l’univers social des jeunes, ils s’y comportent comme des acteurs tout-à-fait maîtres de leurs mouvements car ils en maîtrisent les codes. Par le choix des sites consultés, des images « likées » ou « retwitées »,l’adhésion à des communautés,ils se forgent un profil à leurimage et interagissent en produisant ou en diffusant des contenus. C’est un lieu d’échanges, où ils jouent, oùils nourrissent et entretiennent des amitiés, où ils nouent des relations sentimentales…. Si pour les adultes internet est un outil ȋde recherche d’information, de gain de temps, de communication) mis au service de leurs activités réelles, pour les jeunesc’est une partie de leur vie, au même titre que le réel.
Défiance envers les médias traditionnels D’autre part, si internet n’est pas nécessairement facteur d’acculturation, il est vrai qu’il contribue à la diffusion de croyances irrationnelles. Le phénomène désarçonne les adultes, qui manquent d’arguments pour contrer des théories finement élaborées, imagesà l’appui, et distillées par de multiples canaux. En 2014, la MIVILUDES (mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires) a observé la propagation des théories du complot, sans parvenir à identifier de source structurée. Elle faisait alors l’analogie avec la mode du satanisme et du spiritisme dans les années ͻͲ-2000 et rappelait que le questionnement du monde, la volonté de chercher des réponses ésotériques, de provoquer les adultes et de bousculer leurs certitudes étaient des comportements adolescents typiques. Dès 2005, Pierre-André Taguieff expliquait le succès des récits sur les Illuminati dansLa Foire aux illuminés: «Le récit )lluminati donne l’impression de connaître la cause de nos malheurs: discriminations, pauvreté, racisme. Pour des jeunes qui se sentent victimisés, ce grand récit explicatif omnipotent est séduisant : ils tiennent leurs coupables. Les Illuminati englobent les capitalistes, les francs-maçons, les juifs, les monarques, les clubs d’hommes politiques, les sociétés pseudo-secrètes, les finances apatrides, les banquiers, etc. ». Rudy Reichstadt, directeur du site Conspiracy Watch, spécialisé sur ces questions, met également en avant la fonction gratifiante des théories complotistes pour des jeunes qui acquièrent ainsi « un discours politique propre ». S’il faut s’inquiéter de ces phénomènes plutôt que de les mettre sur le compte d’une rébellion adolescente passagère, c’est d’une part à cause du public qu’ils touchent: des jeunes issus des milieux défavorisés, des ZEP et lycées professionnels, mais aussi de plus en plus d’étudiants, même au niveau de la licence, et d’autre part parce qu’ils font écho aux thèses de Dieudonné et de Soral qui professent qu’une oligarchie financiaro-américano-israéelienne («l’empire») dirige le monde. Enfin, le fait que les téléphones portables soient devenus les principaux terminaux consultés par les jeunes, y compris pour prendre connaissance de l’actualité, va de pair avec la perte d’influence des médias d’information traditionnels que sont la presse et la télévision. Les jeunes les consultent moins, mais au-delà certains ne leur font plus confiance. Alors que les adultes considèrent la presse comme la source d’information la plus fiable, une grande partiede la jeunesses’en méfient parce qu’ils seraient « du système». L’expressiontémoignede l’influence des théories complotistes, mais plus généralement c’est par le biais de sites d’information alternatifs, ou des vidéos qui circulent sur les grandes plateformesd’échange, que le doute s’installe sur certains faits. Et en quelque sorte plus la supercherie serait grande plus elle serait crédible aux yeux des jeunes.
 
Produire un reportage sous forme de vox-pop, avec sélection soigneuses des extraits les plus juteux, dans les pays du MO dans lequel on demande aux passants leur avis sur les Maghrébins en général. Beaucoup d'entre eux considérant les Maghrébins comme des larbins pas trop futés et pas trop civilisés, et les Maghrébines comme des *****.
Si les gens du moyen orient voient les choses comme ça, c'est pas pour rien. Il y a une oppression liée à l'argent. Les riches saoudiens, qataris, koweitiens doivent en être conscient. Poutine le disait aussi, quand on est pauvre et qu'on vit sous la coupe des puissants riches, la réaction des faibles est souvent la suivante : pour vivre sous la domination des seigneurs, l'homme aura tendance à devenir un larbin ou un voleur, la femme aura tendance à monnayer ses charmes. J'avais vu un ancien en Afrique qui disait la même chose.
Donc la solution pour moi serait qu'on doit se libérer de l'emprise de l'argent des seigneurs. Pour cela, il nous faut une communauté qui s'organise, pour créer des entreprises, des emplois... Le mieux serait qu'on crée une taxe qui servirait à financer un Fonds de Création de Projets pour les Discriminés Maghrébins, qui s'appellerait donc le FCPDM :)
 
Dernière édition:
Ben je me demandais si le Mossad avait un bureau de recrutement en Algérie?
Et rachida dati ? Nadjat vallaut-Belkacem ? Ce sont des agents marocains du Mossad ?

Jusqu'à preuve du contraire l'Algérie est le SEUL pays du maghreb à afficher publiquement un antisionisme assez virulent...même chez les kabyles chose stupéfiante !
 
Est ce une surprise dans la mesure ou Boutih est laic?

Qu'il soit laïc ne le dispense pas d'être objectif, la jeunesse musulmane en a pris plein la g lors du débat sur l'identité nationale, la parole islamophobe s'est libérée, et l'islamophobie sous couvert de liberté d'expression est devenue un sport national. On ne devient pas djihadiste en un claquement de doigt, qu'un rapport supposé pointer les causes de l'afflux de la jeunesse française vers daesh ne mentionne même pas l'islamophobie est tout simplement surprenant, malek boutait est soit incompétent soit lâche.
 
page 17 il en parle, P17.
Il faut donc comprendre qu’internet est devenu une partie de l’univers social des jeunes, ils s’y comportent comme des acteurs tout-à-fait maîtres de leurs mouvements car ils en maîtrisent les codes. Par le choix des sites consultés, des images « likées » ou « retwitées »,l’adhésion à des communautés,ils se forgent un profil à leurimage et interagissent en produisant ou en diffusant des contenus. C’est un lieu d’échanges, où ils jouent, oùils nourrissent et entretiennent des amitiés, où ils nouent des relations sentimentales…. Si pour les adultes internet est un outil ȋde recherche d’information, de gain de temps, de communication) mis au service de leurs activités réelles, pour les jeunesc’est une partie de leur vie, au même titre que le réel.
Défiance envers les médias traditionnels D’autre part, si internet n’est pas nécessairement facteur d’acculturation, il est vrai qu’il contribue à la diffusion de croyances irrationnelles. Le phénomène désarçonne les adultes, qui manquent d’arguments pour contrer des théories finement élaborées, imagesà l’appui, et distillées par de multiples canaux. En 2014, la MIVILUDES (mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires) a observé la propagation des théories du complot, sans parvenir à identifier de source structurée. Elle faisait alors l’analogie avec la mode du satanisme et du spiritisme dans les années ͻͲ-2000 et rappelait que le questionnement du monde, la volonté de chercher des réponses ésotériques, de provoquer les adultes et de bousculer leurs certitudes étaient des comportements adolescents typiques. Dès 2005, Pierre-André Taguieff expliquait le succès des récits sur les Illuminati dansLa Foire aux illuminés: «Le récit )lluminati donne l’impression de connaître la cause de nos malheurs: discriminations, pauvreté, racisme. Pour des jeunes qui se sentent victimisés, ce grand récit explicatif omnipotent est séduisant : ils tiennent leurs coupables. Les Illuminati englobent les capitalistes, les francs-maçons, les juifs, les monarques, les clubs d’hommes politiques, les sociétés pseudo-secrètes, les finances apatrides, les banquiers, etc. ». Rudy Reichstadt, directeur du site Conspiracy Watch, spécialisé sur ces questions, met également en avant la fonction gratifiante des théories complotistes pour des jeunes qui acquièrent ainsi « un discours politique propre ». S’il faut s’inquiéter de ces phénomènes plutôt que de les mettre sur le compte d’une rébellion adolescente passagère, c’est d’une part à cause du public qu’ils touchent: des jeunes issus des milieux défavorisés, des ZEP et lycées professionnels, mais aussi de plus en plus d’étudiants, même au niveau de la licence, et d’autre part parce qu’ils font écho aux thèses de Dieudonné et de Soral qui professent qu’une oligarchie financiaro-américano-israéelienne («l’empire») dirige le monde. Enfin, le fait que les téléphones portables soient devenus les principaux terminaux consultés par les jeunes, y compris pour prendre connaissance de l’actualité, va de pair avec la perte d’influence des médias d’information traditionnels que sont la presse et la télévision. Les jeunes les consultent moins, mais au-delà certains ne leur font plus confiance. Alors que les adultes considèrent la presse comme la source d’information la plus fiable, une grande partiede la jeunesses’en méfient parce qu’ils seraient « du système». L’expressiontémoignede l’influence des théories complotistes, mais plus généralement c’est par le biais de sites d’information alternatifs, ou des vidéos qui circulent sur les grandes plateformesd’échange, que le doute s’installe sur certains faits. Et en quelque sorte plus la supercherie serait grande plus elle serait crédible aux yeux des jeunes.

"Conspiracy Watch, spécialisé sur ces questions, met également en avant la fonction gratifiante des théories complotistes pour des jeunes qui acquièrent ainsi « un discours politique propre ». S’il faut s’inquiéter de ces phénomènes plutôt que de les mettre sur le compte d’une rébellion adolescente passagère, c’est d’une part à cause du public qu’ils touchent: des jeunes issus des milieux défavorisés, des ZEP et lycées professionnels, mais aussi de plus en plus d’étudiants, même au niveau de la licence, et d’autre part parce qu’ils font écho aux thèses de Dieudonné et de Soral qui professent qu’une oligarchie financiaro-américano-israéelienne («l’empire») dirige le monde."

"Les jeunes les consultent moins (média traditionnel), mais au-delà certains ne leur font plus confiance. Alors que les adultes considèrent la presse comme la source d’information la plus fiable, une grande partiede la jeunesses’en méfient parce qu’ils seraient « du système». L’expression témoigne de l’influence des théories complotistes, mais plus généralement c’est par le biais de sites d’information alternatifs, ou des vidéos qui circulent sur les grandes plateformes d’échange, que le doute s’installe sur certains faits. Et en quelque sorte plus la supercherie serait grande plus elle serait crédible aux yeux des jeunes."


Les thèse complotiste stipule justement que les djihadistes, daesh, al Nosra, al Qaïda etc...servent les intérêts américano-sioniste, donc c'est complètement stupide d'affirmer que ces thèses pousse les jeunes aux djihadisme ! vue qu'elles leur font comprendre qu'une telle attitude sert la cause de ceux qu'ils prétendent combattre...ça voudrait dire que les jeunes parte au djihade et ce radicalise parce que les théories du complot leur ont fait comprendre que ça sert la cause américano-sioniste ?!

Insensé ! on voie qu'il maîtrise pas son sujet...
 
Dans sa série de propositions, aucune sur l'islamophobie? C'est pourtant un moulin à frustrations déclencheur des pires haines.

Sacré malek

Ben non voyons ! on peut dire que l'islamisme pousse à l'islamophobie (pauvre petit islamophobe qui généralise...c'est pas de leur faute...:( ) par contre, dire que l'islamophobie, en excluant un jeune musulman qui n'as rien demandé peut pousser celui ci au djihadisme et à l'occidentalophobie ça non ! c'est impossible voyons...

Les djihadistes sont toujours responsable de leur haine, les islamophobes jamais !
 
Ben non voyons ! on peut dire que l'islamisme pousse à l'islamophobie (pauvre petit islamophobe qui généralise...c'est pas de leur faute...:( ) par contre, dire que l'islamophobie, en excluant un jeune musulman qui n'as rien demandé peut pousser celui ci au djihadisme et à l'occidentalophobie ça non ! c'est impossible voyons...

Les djihadistes sont toujours responsable de leur haine, les islamophobes jamais !

Ce qui est sur c'est que si chacun se replie sur sa communauté, ça ne fera qu'empirer. Le vivre ensemble doit être une valeur sacrée et nous devons trouver l'équilibre, tous ensemble (européens de souche et extra européens) pour que chacun puisse vivre en harmonie avec son voisin. Il devrait y avoir un grand débat public la dessus.
Éviter le communautarisme, les ghettos, mélanger les populations ... Pauvres/riches, vieux/jeunes, fds/ immigrés, etc... Serait pour moi l'idéal, dans la société multiculturelle que nous voulons
 
Ce qui est sur c'est que si chacun se replie sur sa communauté, ça ne fera qu'empirer. Le vivre ensemble doit être une valeur sacrée et nous devons trouver l'équilibre, tous ensemble (européens de souche et extra européens) pour que chacun puisse vivre en harmonie avec son voisin. Il devrait y avoir un grand débat public la dessus.
Éviter le communautarisme, les ghettos, mélanger les populations ... Pauvres/riches, vieux/jeunes, fds/ immigrés, etc... Serait pour moi l'idéal, dans la société multiculturelle que nous voulons

Rassure toi c'est qui il y a, c'est juste quelques minorité renfermé sur elle même qui font plus de bruit que tous les autres qui sont plus tranquille et modéré (aussi bien musulman que non musulman).
 
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